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    Rédaction/Germinal, les mines

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    Rédaction/Germinal, les mines
    Message de cokecola posté le 28-11-2010 à 16:46:33 (S | E | F)
    Bonjour.
    Dans une rédaction, je dois ecrire un article sur les mines en décrivant dans celui ci un passage de Germinal. Je voulais savoir si l'article était bien et par la même occasion comment le presenter (ville en haut, date?)
    Merci d'avance


    Lens


    Au cœur de la mine

    C’est avec la collaboration des mineurs de la fosse 123 d’Anzin que nous avons suivit le parcours de ces hommes qui ne cessent de travailler malgré des conditions de vie exécrables et ce, à plus de 100 mètres sous nos pieds.



    Les galeries de l’enfer
    La fosse n°123 des mines d’Anzin
    La compagnie des mines d’Anzin est une ancienne compagnie minière qui exploite les mines depuis 1757 date à laquelle elles ont été crées par le vicomte Jacques Désandrouin. C’est elles qui ont lancé l’exploitation du charbon dans le Nord de la France et sont l’une des premières grandes sociétés industrielles françaises. Cette compagnie comporte un nombre très important de fosse. C’est pourquoi nous avons fait le tour de celles-ci avant d’être particulièrement touché par la vie des mineurs de la fosse n°123 qui n’ont eu peur de crier leur mécontentement face à la dure vie qu’ils mènent.

    La fosse n°123 où la fosse Dutemple à Anzin à été foncé en 1740 et rencontre du charbon à 79 mètres. On rencontre pour la première fois ce que l'on appelera "le torrent d'Anzin", une nappe souterraine qui ralentit les travaux. Le fonçage ne reprend qu’en 1806 tellement les eaux sont abondantes.

    Une descente parmi les mineurs
    C’est en suivant Maurice, le sexagènere du groupe que nous avons suivit les mineurs dans la fosse.
    La mine est profonde et c’est à plus de cinq-cent mètres sous terre que la cage s’arrête. La salle qui accueille n’est autre que celle de l’accrochage. Elle est plutôt vaste, formée de hautes voûtes en maçonnerie dont s’échappe une odeur de cave. Le bruit des bruits de nombreux chargeurs qui roulent des berlines pleines brisent la fraîcheur de la pièce. Une écurie de bois jonche les murs de la pièce et l’on sent les souffles des chevaux se reposant après leurs corvées. Tout en suivant le guide, Maurice, quatres galeries se dessinent enfin telles des gouffres prêt à engloutir. La galerie choisit, tout à gauche est plus sombre que la nuit. Eclairés par la lueur des lampes, les murs de roc paraissent solides et ténébreux et accentue une irrégularité surprenante des hauts murs froids.
    La peur règne lorsque le bruit d’un orage se fait entendre. Bernard un acolyte de Maurice dit qu’il ne faut pas s’inquiéter. Dès lors, sa voix résonne en échos dans les plafonds et ce, tout en glaçant la peau. Un cheval blanc noirci au charbon fait soudain face, attelé à un train de berlines ce qui fait trembler le roc. Enfin on continua à suivre les rails qui mené à deux nouvelles galeries.
    Ce que l’on raconte sur les mines n’est rien comparé à une descente dans cet enfer. C’est pire. Les hommes qui passe on le visage sali par leur vie à la mine et leur traits ne le sont pas moins. Le sol est boueux, et éviter les mares est un exploit extraordinaire sans compter les bosses qui parsème le plafond bas. Plus le chemin se poursuit, plus la température chute. Ce changement était démoralisant. Brusquement, c’est la chaleur suffocante des machines qui vient réveiller comme une pesanteur de plomb. Les machines provoquent les modifications du climat. Tout en suivant la route le chemin devient si étroit qu’il faut être cambré pour savoir marcher, avec de l’eau jusqu’au chevilles en plus. Deux cent mètres plus loin il faut monter pour finir la route le long d’une mince ouverture dans l’obscurité des lieux. Et c’est en rampant le long des paroi glacée que se hisse les ouvriers, trempés de la distance déjà parcourue. Après avoir gravi ce douloureux passage où l’on s’écorche les mains et les poignets à cause de morceaux de bois laissés la comme échelon. Finalement, trente mètres plus haut s’arrête l’escapade après avoir suivit de nombreuses voies qui se superposaient dans ce labyrinthe qui n’en finit plus.


    Les conditions : la solitude souterraine
    La sécurité laisse à désirer
    La mine tue, la mort peut surprendre le mineur partout. Telle est la vie de ces ouvriers. Les accidents sont très nombreux et arrivent très souvent. Parmi eux, le plus important est le Grisou qui est un gaz explosif issus de la houille. Le carbone présent dans l’air s’enflamme, on appelle cela un coup de Grisou. Les inondations à cause des pluies et les éboulements sont eux aussi présents dans ces sous-sols.

    L’isolement de ces hommes
    Ces hommes nous ont étonnés. Sur vingt-cinq, seulement six gardent contact avec leur famille. Maurice nous dit alors : « Entre les heures de travail et le repos, qui est important, les relations sont très dures à entretenir. Les seules amitiés que nous avons, ce sont celles des hommes qui sont tout les jours à nos côtés. » Peut après il s’empresse d’ajouter qu’un mineur garde rarement les mêmes compagnon toute sa carrière. En effet, peut de mineurs ne sont pas victime d’accidents. Le chômage a lui aussi augmenté à cause de l’exode rural et de la crise démographique ce qui a rendu le nombre de travailleur en excès. Le mineur a donc particulièrement peur d’être remplacer par un « jeune » comme nous l’explique Maurice. Le patron peut aussi se permettre de garder les salaires bas sans problèmes.
    Malgré tout, Maurice se dit être accompagné de son meilleur allié de force. Ce n’est autre qu’Ecuyer son fidèle cheval.

    Le travail des chevaux
    En arrivant à la mine, les chevaux sont d'abord rebaptisés, puis ils suivent un dressage spécifique, beaucoup plus dur qu'un dressage normal, car ils mettront à rude épreuve leur corps et leur moral: parcours sur des rails, traction d'un nombre croissant de wagonnets, le tout dans un environnement agité et bruyant. Certains apprennent vite à "compter" les chariots : au démarrage du convoi, un bruit de chaînes accompagne la mise en mouvement successive des chariots, et des chevaux peuvent refuser d'avancer s'il y a plus de chariots qu'il ne doit !
    Les mineurs travaillent à la voix avec leurs chevaux. Ceux-ci doivent avoir un bon caractère et être très costaud s’ils restent dans la mine. Ils y passeront pour la plupart environ dix à quinze ans.
    L’harnachement des bêtes étant souvent abîmé, il faut un bourrelier pour trente chevaux en général. Des écuries en bois sont spécialement montés pour accueillir « les travailleurs ». Des gardes sont responsables des chevaux qu’ils doivent nourrir et nettoyer leurs litières. Cet ainsi que les chevaux aident les ouvriers.
    Merci d’avance, cordialement

    -------------------
    Modifié par lucile83 le 28-11-2010 18:44

    Germinal avec une majuscule, merci pour Emile Zola.



    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de melle-zou, postée le 28-11-2010 à 18:05:20 (S | E)
    Beau travail

    A ta place, en dessous de ton titre "Au coeur de la mine", tu devrais mettre un sous-titre dans lequel tu inclus l'information du lieu .. Là, "Lens" ..



    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de dolfine56, postée le 28-11-2010 à 18:24:09 (S | E)
    Bonsoir,

    Les galeries de l’enfer
    La fosse n°123 des mines d’Anzin
    La compagnie des mines d’Anzin est une ancienne compagnie minière qui exploite les mines depuis 1757 date à laquelle elles ont été crées par le vicomte Jacques Désandrouin. C’est elles qui ont lancé l’exploitation du charbon dans le Nord de la France et sont l’une des premières grandes sociétés industrielles françaises. Cette compagnie comporte un nombre très important de fosse. C’est pourquoi nous avons fait le tour de celles-ci avant d’être particulièrement touché par la vie des mineurs de la fosse n°123 qui n’ont eu peur de crier leur mécontentement face à la dure vie qu’ils mènent.

    La fosse n°123 où la fosse Dutemple à Anzin à été foncé en 1740 et rencontre--mal dit du charbon à 79 mètres. On rencontre pour la première fois ce que l'on appelera "le torrent d'Anzin", une nappe souterraine qui ralentit les travaux. Le fonçage ne reprend--futur qu’en 1806 tellement les eaux sont abondantes.




    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de dolfine56, postée le 28-11-2010 à 18:28:21 (S | E)
    Une descente parmi les mineurs
    C’est en suivant Maurice, le sexagènere du groupe que nous avons suivit les mineurs dans la fosse.
    La mine est profonde et c’est à plus de cinq-cent mètres sous terre que la cage s’arrête. La salle qui accueille n’est autre que celle de l’accrochage. Elle est plutôt vaste, formée de hautes voûtes en maçonnerie dont s’échappe une odeur de cave. Le bruit des bruits de nombreux chargeurs qui roulent des berlines pleines brisent la fraîcheur de la pièce. Une écurie de bois jonche les murs de la pièce et l’on sent les souffles des chevaux se reposant après leurs corvées. Tout en suivant le guide, Maurice, quatres galeries se dessinent enfin telles des gouffres prêt à engloutir. La galerie choisit, tout à gauche est plus sombre que la nuit. Eclairés par la lueur des lampes, les murs de roc paraissent solides et ténébreux et accentue une irrégularité surprenante des hauts murs froids.
    La peur règne lorsque le bruit d’un orage se fait entendre. Bernard un acolyte de Maurice dit qu’il ne faut pas s’inquiéter. Dès lors, sa voix résonne en échos dans les plafonds et ce, tout en glaçant la peau. Un cheval blanc noirci au charbon fait soudain face, attelé à un train de berlines ce qui fait trembler le roc. Enfin on continua à suivre les rails qui mené à deux nouvelles galeries.
    Ce que l’on raconte sur les mines n’est rien comparé à une descente dans cet enfer. C’est pire. Les hommes qui passe on le visage sali par leur vie à la mine et leur traits ne le sont pas moins. Le sol est boueux, et éviter les mares est un exploit extraordinaire sans compter les bosses qui parsème le plafond bas. Plus le chemin se poursuit, plus la température chute. Ce changement était démoralisant. Brusquement, c’est la chaleur suffocante des machines qui vient réveiller comme une pesanteur de plomb. Les machines provoquent les modifications du climat. Tout en suivant la route le chemin devient si étroit qu’il faut être cambré--courbé? pour savoir marcher, avec de l’eau jusqu’au chevilles en plus. Deux cent mètres plus loin il faut monter pour finir la route le long d’une mince ouverture dans l’obscurité des lieux. Et c’est en rampant le long des paroi glacée que se hisse les ouvriers, trempés de la distance déjà parcourue. Après avoir gravi ce douloureux passage où l’on s’écorche les mains et les poignets à cause de morceaux de bois laissés la comme échelon. Finalement, trente mètres plus haut s’arrête l’escapade après avoir suivit de nombreuses voies qui se superposaient dans ce labyrinthe qui n’en finit plus.





    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de dolfine56, postée le 28-11-2010 à 18:34:09 (S | E)
    Les conditions : la solitude souterraine
    La sécurité laisse à désirer
    La mine tue, la mort peut surprendre le mineur partout. Telle est la vie de ces ouvriers. Les accidents sont très nombreux et arrivent très souvent. Parmi eux, le plus important est le Grisou qui est un gaz explosif issus de la houille. Le carbone présent dans l’air s’enflamme, on appelle cela un coup de Grisou. Les inondations à cause des pluies et les éboulements sont eux aussi présents dans ces sous-sols.

    L’isolement de ces hommes
    Ces hommes nous ont étonnés. Sur vingt-cinq, seulement six gardent contact avec leur famille--pluriel. Maurice nous dit alors : « Entre les heures de travail et le repos, qui est important, les relations sont très dures à entretenir. Les seules amitiés que nous avons, ce sont celles des hommes qui sont tout les jours à nos côtés. » Peut après il s’empresse d’ajouter qu’un mineur garde rarement les mêmes compagnon toute sa carrière. En effet, peut de mineurs ne sont pas victime d’accidents. Le chômage a lui aussi augmenté à cause de l’exode rural et de la crise démographique ce qui a rendu le nombre de travailleur en excès--plutôt un adj,excessif?. Le mineur a donc particulièrement peur d’être remplacer par un « jeune » comme nous l’explique Maurice. Le patron peut aussi se permettre de garder les salaires bas sans problèmes.
    Malgré tout, Maurice se dit être accompagné de son meilleur allié de force. Ce n’est autre qu’Ecuyer son fidèle cheval.




    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de dolfine56, postée le 28-11-2010 à 18:38:50 (S | E)
    Le travail des chevaux
    En arrivant à la mine, les chevaux sont d'abord rebaptisés, puis ils suivent un dressage spécifique, beaucoup plus dur qu'un dressage normal, car ils mettront à rude épreuve leur corps et leur moral: parcours sur des rails, traction d'un nombre croissant de wagonnets, le tout dans un environnement agité et bruyant. Certains apprennent vite à "compter" les chariots : au démarrage du convoi, un bruit de chaînes accompagne la mise en mouvement successive des chariots, et des chevaux peuvent refuser d'avancer s'il y a plus de chariots qu'il ne doit ! qu(il ne se doit ou qu'il ne devrait
    Les mineurs travaillent à la voix avec leurs chevaux. Ceux-ci doivent avoir un bon caractère et être très costaud s’ils restent dans la mine. Ils y passeront pour la plupart environ dix à quinze ans.
    L’harnachement des bêtes étant souvent abîmé, il faut un bourrelier pour trente chevaux en général. Des écuries en bois sont spécialement montés pour accueillir « les travailleurs ». Des gardes sont responsables des chevaux qu’ils doivent nourrir etils doivent aussi nettoyer leurs litières. Cet ainsi que les chevaux aident les ouvriers.
    Merci d’avance, cordialement

    L'expression est très bonne, avec deux ou trois expressions maladroites, et quelques fautes d'orthographe à corriger...




    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de cokecola, postée le 28-11-2010 à 18:56:32 (S | E)
    merci melle-zou c'est gentil .
    Je vais rajouter le sous titre que tu me dis.


    dolfine56: merci de m'avoir trouvé ces fautes je ne les avaient pas vues.
    Pour ce qui est des fautes :
    -rencontre : trouve ?
    -reprend : reprendrai ?
    -parsème : je ne sais pas quoi mettre... Déforme?
    -la : là
    -suivit : suivi ?



    Est-ce que c'est cela ?
    Merci de m'avoir aidé quand même



    Réponse: Rédaction/Germinal, les mines de anne40, postée le 28-11-2010 à 23:58:34 (S | E)
    Bonsoir,
    Ce serait encore mieux de reposter le texte corrigé !

    Très bien , mais encore quelques fautes d'orthographe, en rouge :

    -nous avons suivit
    -sexagènere
    -à été foncé en (fondé_)

    Le bruit des bruits (redondant) de nombreux chargeurs qui roulent des berlines pleines brisent (sujet singulier ou pluriel?) la fraîcheur de la pièce.

    des gouffres prêt à engloutir
    La galerie choisit, tout à gauche , (virgule)
    accentue

    Bernard un acolyte de Maurice dit qu’il ne faut pas s’inquiéter. OK mais + 2 virgules

    continua à suivre les rails qui mené à
    -échelon: au pluriel ?
    -tout les jours
    -Peut après

    « jeune », comme VIRGULE




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