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    Production ecrite

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    Production ecrite
    Message de souad123 posté le 05-02-2014 à 12:32:44 (S | E | F)
    Bonjour,

    S
    'il vous plaît, pouvez-vous m'aider à corriger le texte suivant et merci:

    Actuellement, la plupart des familles vivent dans des immeubles gigantesques ou dans des maisons où cohabitent plusieurs voisins ; d'autres préfèrent vivre dans une demeure indépendante.
    Le narrateur de « La Boîte à merveilles » déteste la vie à Dar Chouafa. Ce voisinage lui inspire l'anxiété et le dégoût. D'autre part, cette promiscuité engendre des mésententes : la mère du narrateur ne s'est-elle pas disputée avec Rahma à cause de la lessive faute d’espace. La vie au sein d’un immeuble est souvent est l’origine des disputes entre les voisines à cause des enfants criards, du volume de la télévision ou des ordures jetées sur l'escalier. Par ailleurs, la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de notre intimité. La moindre scène de ménage peut être entendue par des voisins indiscrets, la moindre nouvelle parcourt tous les logis. Les gens ne sont-ils pas tous au courant de la disparition de Zineb et de la ruine du père du narrateur ?
    Mais en dépit de ces inconvénients, la vie dans de telles habitations présente des avantages indiscutables. L'individu se sent toujours chez lui ; les voisins deviennent une seconde famille. Et dans les moments de crise, un élan de solidarité spontané naît : La mère du narrateur, par exemple, s'est
    réconciliée avec sa voisine Rahma après la retrouvaille de sa fille Zineb. Les voisins sont devenus accueillants envers le narrateur après le voyage de
    son père à la campagne.
    La vie dans une maison indépendante protège notre intimité : les voisins curieux ne peuvent se mêler de notre vie privée. Nous sommes plus
    libres. Sidi Mohammed rêve de posséder une maison avec un jardin vivre au milieu d'une armée de chats et non à proximité d'êtres humains quand il sera adulte. Les gens ayant une maison indépendante n'ont pas de problèmes avec leurs voisins, puisque la terrasse et les escaliers qui posent généralement problème ne sont pas communs.
    Toutefois, avoir une maison indépendante c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île. La solidarité et la familiarité qui naissent dans la cohabitation et la promiscuité disparaissent. Les habitants des villas ne sont-ils pas des êtres solitaires ? Se connaissent-ils ? Cela est peu probable.
    Personnellement, je préfère vivre dans une demeure indépendante pour avoir ma chambre à moi et pour pouvoir y vivre sans contrainte parce que L'être humain a besoin d'intimité et de liberté. D'ailleurs, de nos jours, les gens sont devenus égoïstes, individualistes et profiteurs. La solidarité, la générosité et le dévouement qui caractérisaient les voisins d'autrefois ont disparu. Les voisins sont devenus des étrangers les uns pour les autres. C'est peut-être ce qui pousse certains riches à vivre sur des îles et même sur des bateaux.

    -------------------
    Modifié par mariebru le 05-02-2014 13:36


    Réponse: Production ecrite de jij33, postée le 05-02-2014 à 13:52:29 (S | E)
    Bonjour souad123
    Votre texte est fort bien écrit. Vous aurez très peu de corrections à apporter.

    Actuellement, la plupart des familles vivent dans des immeubles gigantesques ou dans des maisons où cohabitent plusieurs voisins ; d'autres préfèrent vivre dans une demeure indépendante.
    Le narrateur de « La Boîte à merveilles » déteste la vie à Dar Chouafa. Ce (plutôt un déterminant possessif) voisinage lui inspire l'anxiété et le dégoût. D'autre part, cette promiscuité engendre des mésententes : la mère du narrateur ne s'est-elle pas disputée avec Rahma à cause de la lessive faute d’espace. (point d'interrogation) La vie au sein d’un immeuble est souvent est (à remplacer par une préposition) l’origine des disputes entre les voisines à cause des enfants criards, du volume de la télévision ou des ordures jetées sur l'escalier. Par ailleurs, (il manque une préposition ou une locution prépositive) la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de notre (autre déterminant possessif, se référant à la 3ème personne du singulier) intimité. La moindre scène de ménage peut être entendue par des voisins indiscrets, la moindre nouvelle parcourt tous les logis. Les gens ne sont-ils pas tous au courant de la disparition de Zineb et de la ruine du père du narrateur ?
    Mais en dépit de ces inconvénients, la vie dans de telles habitations présente des avantages indiscutables. L'individu se sent toujours chez lui ; les voisins deviennent une seconde famille. Et dans les moments de crise, un élan de solidarité spontané (à placer après "élan") naît : La mère du narrateur, par exemple, s'est réconciliée avec sa voisine Rahma après la retrouvaille (on dit plutôt "les retrouvailles avec") de sa fille Zineb. Les voisins sont devenus accueillants envers le narrateur après le voyage de son père à la campagne.
    La vie dans une maison indépendante protège notre intimité : les voisins curieux ne peuvent se mêler de notre vie privée. Nous sommes plus libres. Sidi Mohammed rêve de posséder une maison avec un jardin (virgule et ajouter une préposition avant le verbe suivant) vivre au milieu d'une armée de chats et non à proximité d'êtres humains quand il sera adulte. Les gens ayant une maison indépendante n'ont pas de problèmes avec leurs voisins, puisque la terrasse et les escaliers (virgule) qui posent généralement problème (virgule) ne sont pas communs.
    Toutefois, avoir une maison indépendante c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île. La solidarité et la familiarité qui naissent dans la cohabitation et la promiscuité disparaissent. Les habitants des villas ne sont-ils pas des êtres solitaires ? Se connaissent-ils ? Cela est peu probable.
    Personnellement, je préfère vivre dans une demeure indépendante pour avoir ma chambre à moi et pour pouvoir y vivre sans contrainte parce que L (minuscule)'être humain a besoin d'intimité et de liberté. D'ailleurs, de nos jours, les gens sont devenus égoïstes, individualistes et profiteurs. La solidarité, la générosité et le dévouement qui caractérisaient les voisins d'autrefois ont disparu. Les voisins sont devenus des étrangers les uns pour les autres. C'est peut-être ce qui pousse certains riches à vivre sur des îles et même sur des bateaux (point final)

    Bonne (et rapide) correction !



    Réponse: Production ecrite de souad123, postée le 05-02-2014 à 14:09:05 (S | E)
    Merci et maintenant ?
    Actuellement, la plupart des familles vivent dans des immeubles gigantesques ou dans des maisons où cohabitent plusieurs voisins ; d'autres préfèrent vivre dans une demeure indépendante.
    Le narrateur de « La Boîte à merveilles » déteste la vie à Dar Chouafa. Son voisinage lui inspire l'anxiété et le dégoût. D'autre part, cette promiscuité engendre des mésententes : la mère du narrateur ne s'est-elle pas disputée avec Rahma à cause de la lessive faute d’espace ? La vie au sein d’un immeuble est souvent d’origine des disputes entre les voisines à cause des enfants criards, du volume de la télévision ou des ordures jetées sur l'escalier. Par ailleurs, quant à la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de son intimité. La moindre scène de ménage peut être entendue par des voisins indiscrets, la moindre nouvelle parcourt tous les logis. Les gens ne sont-ils pas tous au courant de la disparition de Zineb et de la ruine du père du narrateur ?
    Mais en dépit de ces inconvénients, la vie dans de telles habitations présente des avantages indiscutables. L'individu se sent toujours chez lui ; les voisins deviennent une seconde famille. Et dans les moments de crise, un élan spontané de solidarité naît : La mère du narrateur, par exemple, s'est réconciliée avec sa voisine Rahma après les retrouvailles avec sa fille Zineb. Les voisins sont devenus accueillants envers le narrateur après le voyage de son père à la campagne.
    La vie dans une maison indépendante protège notre intimité : les voisins curieux ne peuvent se mêler de notre vie privée. Nous sommes plus libres. Sidi Mohammed rêve de posséder une maison avec un jardin, de vivre au milieu d'une armée de chats et non à proximité d'êtres humains quand il sera adulte. Les gens ayant une maison indépendante n'ont pas de problèmes avec leurs voisins, puisque la terrasse et les escaliers, qui posent généralement problème, ne sont pas communs.
    Toutefois, avoir une maison indépendante c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île. La solidarité et la familiarité qui naissent dans la cohabitation et la promiscuité disparaissent. Les habitants des villas ne sont-ils pas des êtres solitaires ? Se connaissent-ils ? Cela est peu probable.
    Personnellement, je préfère vivre dans une demeure indépendante pour avoir ma chambre à moi et pour pouvoir y vivre sans contrainte parce que l’être humain a besoin d'intimité et de liberté. D'ailleurs, de nos jours, les gens sont devenus égoïstes, individualistes et profiteurs. La solidarité, la générosité et le dévouement qui caractérisaient les voisins d'autrefois ont disparu. Les voisins sont devenus des étrangers les uns pour les autres. C'est peut-être ce qui pousse certains riches à vivre sur des îles et même sur des bateaux.



    Réponse: Production ecrite de jij33, postée le 05-02-2014 à 14:25:15 (S | E)
    Un nouveau bonjour
    Encore quelques petites erreurs sur les prépositions...
    Actuellement, la plupart des familles vivent dans des immeubles gigantesques ou dans des maisons où cohabitent plusieurs voisins ; d'autres préfèrent vivre dans une demeure indépendante.
    Le narrateur de « La Boîte à merveilles » déteste la vie à Dar Chouafa. Son voisinage lui inspire l'anxiété et le dégoût. D'autre part, cette promiscuité engendre des mésententes : la mère du narrateur ne s'est-elle pas disputée avec Rahma à cause de la lessive (virgule) faute d’espace ? La vie au sein d’un immeuble est souvent d’ (préposition "à" et ajouter un article défini devant le nom qui suit) origine des disputes entre les voisines à cause des enfants criards, du volume de la télévision ou des ordures jetées sur (bizarrement, on dit plutôt "dans" l'escalier, "dans" la rue et "sur" la route"...) l'escalier. Par ailleurs, quant à (locution exprimant la cause) la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de son intimité. La moindre scène de ménage peut être entendue par des voisins indiscrets, la moindre nouvelle parcourt tous les logis. Les gens ne sont-ils pas tous au courant de la disparition de Zineb et de la ruine du père du narrateur ?
    Mais en dépit de ces inconvénients, la vie dans de telles habitations présente des avantages indiscutables. L'individu se sent toujours chez lui ; les voisins deviennent une seconde famille. Et dans les moments de crise, un élan spontané de solidarité naît : La mère du narrateur, par exemple, s'est réconciliée avec sa voisine Rahma après les retrouvailles avec sa fille Zineb. Les voisins sont devenus accueillants envers le narrateur après le voyage de son père à la campagne.
    La vie dans une maison indépendante protège notre intimité : les voisins curieux ne peuvent se mêler de notre vie privée. Nous sommes plus libres. Sidi Mohammed rêve de posséder une maison avec un jardin, de vivre au milieu d'une armée de chats et non à proximité d'êtres humains quand il sera adulte. Les gens ayant une maison indépendante n'ont pas de problèmes avec leurs voisins, puisque la terrasse et les escaliers, qui posent généralement problème, ne sont pas communs.
    Toutefois, avoir une maison indépendante c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île. La solidarité et la familiarité qui naissent dans la cohabitation et la promiscuité disparaissent. Les habitants des villas ne sont-ils pas des êtres solitaires ? Se connaissent-ils ? Cela est peu probable.
    Personnellement, je préfère vivre dans une demeure indépendante pour avoir ma chambre à moi et pour pouvoir y vivre sans contrainte parce que l’être humain a besoin d'intimité et de liberté. D'ailleurs, de nos jours, les gens sont devenus égoïstes, individualistes et profiteurs. La solidarité, la générosité et le dévouement qui caractérisaient les voisins d'autrefois ont disparu. Les voisins sont devenus des étrangers les uns pour les autres. C'est peut-être ce qui pousse certains riches à vivre sur des îles et même sur des bateaux.

    Bravo pour toute la fin du texte !



    Réponse: Production ecrite de souad123, postée le 05-02-2014 à 16:06:00 (S | E)
    Et maintenant ?
    Actuellement, la plupart des familles vivent dans des immeubles gigantesques ou dans des maisons où cohabitent plusieurs voisins ; d'autres préfèrent vivre dans une demeure indépendante.
    Le narrateur de « La Boîte à merveilles » déteste la vie à Dar Chouafa. Son voisinage lui inspire l'anxiété et le dégoût. D'autre part, cette promiscuité engendre des mésententes : la mère du narrateur ne s'est-elle pas disputée avec Rahma à cause de la lessive, faute d’espace ? La vie au sein d’un immeuble est souvent à l'origine des disputes entre les voisines à cause des enfants criards, du volume de la télévision ou des ordures jetées dans l'escalier. Par ailleurs, car la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de son intimité. La moindre scène de ménage peut être entendue par des voisins indiscrets, la moindre nouvelle parcourt tous les logis. Les gens ne sont-ils pas tous au courant de la disparition de Zineb et de la ruine du père du narrateur ?
    Mais en dépit de ces inconvénients, la vie dans de telles habitations présente des avantages indiscutables. L'individu se sent toujours chez lui ; les voisins deviennent une seconde famille. Et dans les moments de crise, un élan spontané de solidarité naît : La mère du narrateur, par exemple, s'est réconciliée avec sa voisine Rahma après les retrouvailles avec sa fille Zineb. Les voisins sont devenus accueillants envers le narrateur après le voyage de son père à la campagne.
    La vie dans une maison indépendante protège notre intimité : les voisins curieux ne peuvent se mêler de notre vie privée. Nous sommes plus libres. Sidi Mohammed rêve de posséder une maison avec un jardin, de vivre au milieu d'une armée de chats et non à proximité d'êtres humains quand il sera adulte. Les gens ayant une maison indépendante n'ont pas de problèmes avec leurs voisins, puisque la terrasse et les escaliers, qui posent généralement problème, ne sont pas communs.
    Toutefois, avoir une maison indépendante c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île. La solidarité et la familiarité qui naissent dans la cohabitation et la promiscuité disparaissent. Les habitants des villas ne sont-ils pas des êtres solitaires ? Se connaissent-ils ? Cela est peu probable.
    Personnellement, je préfère vivre dans une demeure indépendante pour avoir ma chambre à moi et pour pouvoir y vivre sans contrainte parce que l’être humain a besoin d'intimité et de liberté. D'ailleurs, de nos jours, les gens sont devenus égoïstes, individualistes et profiteurs. La solidarité, la générosité et le dévouement qui caractérisaient les voisins d'autrefois ont disparu. Les voisins sont devenus des étrangers les uns pour les autres. C'est peut-être ce qui pousse certains riches à vivre sur des îles et même sur des bateaux.



    Réponse: Production ecrite de jij33, postée le 05-02-2014 à 19:16:18 (S | E)
    Bonsoir Souad123

    C'est presque parfait maintenant. Voyons seulement ce qui est à corriger...
    Par ailleurs, car la cohabitation dans un pareil espace, on ne peut jouir pleinement de son intimité. "car" est une conjonction de coordination ; parmi les prépositions ou les locutions prépositives qui introduisent la cause, vous avez le choix entre en raison de, à cause de, vu, étant donné...
    Toutefois, avoir une maison indépendante (ici, ajouter une virgule donnerait un meilleur rythme à la phrase) c'est s'isoler, vivre sur une sorte d'île.
    Bonne continuation




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