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    Expression écrite

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    Expression écrite
    Message de killianb75 posté le 19-03-2016 à 14:56:33 (S | E | F)
    Bien le bonjour à tous, je suis un enfant de 12 ans qui fait confiance à ce site, c'est pour cela que je poste une de mes première production écrite. Je vous en serais reconnaissant de m'aider à la corriger, s'il vous plaît.
    Merci :

    Mon enfance est pleine des souvenirs que j’ai, qui ont fait cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris. Quelques choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve ça difficile à croire que je faisais ces choses.

    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grand-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillants de loin. Cependant, c’était une question différente quand c’était sombre, sans lune ni étoiles. Je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois je courais aux bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dans ses bras, je me sentais sauvée, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, était une façon magique de me calmer.

    Parlant de la nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatres coins de la cour que l’on avait pas besoin d’être appellé, l’odeur te disait que c’était l’heure pour manger. Notamment, je me rappelle de son poisson grillé accompagné par du riz basmati et une sauce très délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait des jus du citron, des épices et de l’huile de tournesol. Comment je me manque cette délicatesse, en tout cas, je ne l’oublierai jamais. Sa sauce avait de différents ingrédients comme les oignons, les poivrons verts, la branche de sellerie, les tomates, les poivrons et un cube de bouillon de poulet, c’était tellement savoureux. C’était toujours un cauchemar de ne pas pouvoir manger la nourriture de ma grand-mère comme conséquence d’être méchant, c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir lancé le premier missile dans la bouche, le goût qui en provenait est quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 14 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalait ledébut des activités et nous accompagnaient à la rivière pour chercher l’eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous interdisait surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leur chants, un phénomène qui n’existe plus en ville où toute la nature a été décampée par la construction de batiments. Le soir, à cause du manque d'électricité, on se mettait toujours autour du feu où grand-père nous racontait des fables avec des belles melodies que nous savions tous chanter. Comme le plus petit, des fois, je dormais avant que grand-père finisse la première fable, toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je sentais ne peut pas être décriré. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravé dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux, vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grand-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.
    -------------------
    Modifié par bridg le 30-03-2016 23:52


    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 20-03-2016 à 00:00:00 (S | E)
    Bonsoir KillianB75

    Mon enfance est pleine des souvenirs que j'ai(enlever), qui ont fait(autre verbe au passé composé) cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout (ici, pronom démonstratif)que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris. Quelques( mieux : autre mot) choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve ça(enlever) difficile à(autre préposition) croire que je faisais ces choses(ici, trait d'union + adverbe qui renforce le déterminant).

    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grand(accord)-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillants(participe présent : invariable) de loin( autres termes ). Cependant, c'était une( enlever ; mettre déterminant défini ) question ( ici, conjuguez 'être' à l'imparfait)différente quand c'était( forme impersonnelle de 'faire' à l'imparfait) sombre, sans lune ni étoiles. Je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois je courais aux(incorrect) bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dans ses bras, je me sentais sauvée( êtes-vous du féminin ???), libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, (ici, pronom démonstratif élidé)était une façon magique de me calmer.

    Parlant de la nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatres(orthographe) coins de la cour que l’on avait pas besoin d’être appellé ( orthographe) ( de à : à reformuler), l’odeur te disait que c’était l’heure pour(autre préposition) manger. Notamment, je me rappelle de(enlever) son poisson grillé accompagné par du(préposition) riz basmati et (d')une sauce très(enlever) délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait des(déterminant partitif) jus du(préposition) citron, des épices et de l’huile de tournesol. Comment je me manque cette délicatesse ( de à : cela n'a pas de sens), en tout cas, je ne l’oublierai jamais. Sa sauce avait(autre verbe) de différents ingrédients comme les(déterminant indéfini) oignons, les(idem) poivrons verts, la(idem) branche de sellerie(orthographe), les(déterminant indéfini) tomates, les(idem) poivrons et un cube de bouillon de poulet, c’était tellement savoureux. C’était toujours un cauchemar de ne pas pouvoir manger la nourriture de ma grand-mère comme conséquence d’être méchant ( de à : à reformuler), c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir lancé le premier missile( ??? autre mot !) dans la bouche, le goût qui en provenait est quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 14 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalait(accord) ledébut des activités et nous accompagnaient à la rivière pour chercher l’eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous (ici, pronom personnel COD à élider)interdisait surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leur(accord) chants, un phénomène qui n’existe plus en ville où toute la nature a été décampée( autre mot ou autre formulation) par la construction de batiments(accent circonflexe). Le soir, à cause du manque d'électricité, on se mettait toujours autour du feu où grand-père nous racontait des fables avec des belles melodies(accent) que nous savions tous chanter. Comme (il manque un verbe et son pronom personnel) le plus petit, des fois, ( autre adverbe synonyme à placer après le verbe) je dormais( autre verbe : 's'endormir') avant que grand-père finisse la première fable,(autre ponctuation) toujours, il me prenait dans ses bras et continuait.



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 20-03-2016 à 00:05:53 (S | E)
    La suite !
    La sensation physique que je sentais(autre verbe) ne peut pas être décriré( ce mot n'existe pas). L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne (ici, pronom personnel COD)retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravé(accord) dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut on(trait d'union entre ces deux mots) oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux,(c'est un interrogation, donc : ?) vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grand-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.
    Bonne soirée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 20-03-2016 à 08:39:25 (S | E)
    Je te remercie énormément, meilleur site au monde de français gg



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 20-03-2016 à 10:15:38 (S | E)
    Bonjour KIllianb75
    Remercier, c'est bien et très agréable à la personne qui apporte son aide, mais proposer votre texte corrigé, c'est mieux !
    Bon dimanche !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 20-03-2016 à 10:21:26 (S | E)
    Sa ça ne m'étonne pas . Bon dimanche
    -------------------
    Modifié par bridg le 07-04-2016 09:42



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 20-03-2016 à 10:22:32 (S | E)
    Je posterais une autre expression écrite dans pas très longtemps 👍



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 20-03-2016 à 11:14:21 (S | E)
    Bonjour Killianb
    Corrigez d'abord ce texte avant d'en poster un nouveau. C'est le principe de base de ce forum.

    Bonne journée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 20-03-2016 à 17:38:20 (S | E)
    PRODUCTION ECRITE BIS :

    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris. Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais des choses pareilles.

    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillantes au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles. Je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois je courais dans les bras de bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dans ses bras, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique de me calmer.

    Parlant de la nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatre coins de la cour que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Notamment, je me rappelle son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait de différents ingrédients tel des oignons, des poivrons verts, des branches de selleries, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet, c’était tellement savoureux. C’était toujours un cauchemar qu’elle nous prive de manger ses plats car on ne l’avait pas écouté ou s’être bagarré avec les uns ou les autres, c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût qui en provenait est quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 14 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour chercher l’eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des constructions de bâtiments. Le soir, à cause du manque d'électricité, on se mettait toujours autour du feu où grand-père nous racontait des fables avec des belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne la retrouverais jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 20-03-2016 à 19:36:16 (S | E)
    Bonsoir Killianb75
    PRODUCTION ECRITE BIS :

    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris. Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais des choses pareilles( autre adjectif à placer devant le nom précédé d'un autre article. Pourquoi n'avoir pas tenu compte de l'indication donnée dans la correction précédente ? ).

    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillantes( mieux : participe présent : déjà signalé) au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles.(point-virgule) Je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois (virgule)je courais dans les bras de bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dans ses ses bras(répétition), je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique de me calmer.

    Parlant de la nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatre coins de la cour (ici, adverbe marquant l'intensité pour que la phrase soir correcte )que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Notamment, je me rappelle son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait de(enlever : 'contenir' est transitif)) différents ingrédients tel(accord ; mais à enlever et à remplacer par deux points des oignons, des poivrons verts, des branches de selleries(orthographe : déjà signalé), des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet, c’était tellement savoureux. C’était toujours un cauchemar qu’elle nous prive de manger ses plats car on ne l’avait pas écouté ou s’être bagarré avec les uns ou les autres ( à reformuler car construction incorrecte. Mettez : sujet : ' Le cauchemar' + verbe + subordonnée conjonctive ; n'oubliez pas l'accord du participe passé et changez le pronom réfléchi de ' se bagarrer') , c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût qui en provenait est(autre temps) quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 14 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour chercher l’eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait (virgule)surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des constructions de bâtiments. Le soir, à cause( répétition à éviter) du manque d'électricité, on se mettait toujours autour du feu où grand-père nous racontait des fables avec des( mieux : autre article devant un adjectif) belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable;( espace devant un point-virgule) toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne la retrouverais( mieux : futur ) jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.

    Bonne soirée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 01-04-2016 à 22:01:03 (S | E)
    Bonjour, voilà la correction de mon expression écrite, j'espère que l'orthographe sera presque idéal.
    Merci.
    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris.

    Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de tels choses.
    Quand j’étais petit, je vivaient à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; Je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dedans, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique de me calmer.

    Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatre coins de la cour, autant que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Notamment, je me rappelle son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privé de nourriture car on avait fait des aberration, c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût qui en provenait était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des constructions de bâtiments. Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu et écoutait grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne la retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.
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    Modifié par bridg le 07-04-2016 03:48



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 02-04-2016 à 00:29:20 (S | E)
    Bonsoir Killianb75
    C'est nettement mieux ! Un lien sur les conjonctions de subordination et locutions conjonctives : Lien internet



    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris.

    Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de tels(accord) choses.
    Quand j’étais petit, je vivaient( sujet : 'je') à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; Je(minuscule) n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que j’étais dedans( à mieux exprimer), je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique de(autre préposition indiquant le but) me calmer.

    Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L’atmosphère changeait dans les quatre coins de la cour( de à : à mieux formuler, avec d'autres noms et un autre verbe plus adaptés à une bonne odeur), autant que(incorrect ; autre locution conjonctive ) l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Notamment,(après le verbe) je me rappelle son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privé de nourriture car on avait fait des aberration(pluriel + autres termes ou autre verbe que 'faire des aberrations'), c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût qui en provenait(expression maladroite ; à formuler plus simplement) était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des constructions de bâtiments( à mieux formuler : choisir 'constructions' ou ' bâtiments'). Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu et écoutait( à remplacer par : préposition indiquant le but + verbe infinitif) grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse( correct, même si le subjonctif imparfait aurait respecté la concordance des temps)la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne la(autre pronom COD ) retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.

    Bonne soirée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 02-04-2016 à 13:38:15 (S | E)
    Désolé mais quelqu'un pourrait-il m'aider pour la phrase : chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que j'étais dedans. Je n'arrive pas à mieux exprimer cette phrase help me please ??
    Merci. Je tiens à préciser que j'ai bien chercher ...



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 02-04-2016 à 15:16:44 (S | E)
    Bonjour killianb75
    '...chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que j'étais dedans(pourquoi ne pas conjuguer ' se blottir'/ 'se réfugier' sans oublier le pronom personnel complément mis pour ' dans les bras'; vous ferez alors l'élision du pronom réfléchi à la 1ère personne singulier). Je n'arrive pas à mieux exprimer cette phrase help me please ??
    Merci. Je tiens à préciser que j'ai bien chercher( Je n'en doute pas ! Mais commencez par corriger cette erreur et pour éviter de la refaire, lisez attentivement ce lien : Lien internet


    Bon week-end !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 02-04-2016 à 18:01:35 (S | E)
    Je n'ai pas fait attention pour la règle du -er et la règle du -é. Pourtant je la connais par coeur. Merci pour votre aide !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 04-04-2016 à 17:33:00 (S | E)
    bonjour, voici la correction de mon expression écrite. Qu'en pensez-vous ?


    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris.

    Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd’hui et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de telles choses.
    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais dans lui, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique pour me calmer.

    Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L'odeur changeait dans les quatre coins de la maison, tellement que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Je me rappelle notamment de son poisson grillé
    accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privé de nourriture car on avait fait des sottises, c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des bâtiments. Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu en écoutant notre grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne le retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que
    l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.





    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 04-04-2016 à 17:35:58 (S | E)
    Désolé mais j'ai sauté une ligne sans le faire exprès dans cette phrase : Je me rappelle notamment de son poisson grillé
    accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse.
    Faute d'inattention



    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 04-04-2016 à 18:56:53 (S | E)
    Bonsoir Killianb75


    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris.

    Ces choses me semblent drôles et irréalistes aujourd'hui(mieux en début de phrase et suivi d'une virgule) et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de telles choses (répétition du mot 'choses ' à éviter).
    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais dans(autre préposition) lui, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique pour me calmer.

    Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. L'odeur changeait dans les quatre coins de la maison, tellement que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger(le mot ' odeur' revient trois fois à quelques mots d'intervalle. Pouvez-vous éviter ces répétitions en formulant la phrase différemment ?). Je me rappelle notamment de(enlever ; ' se rappeler quelque chose ou quelqu'un/ se souvenir de quelque chose) son poisson grillé
    accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privé de nourriture car on avait fait des sottises,(point-virgule) c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause des bâtiments (ou ' de l'urbanisation'). Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu en écoutant notre grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne le(incorrect, déjà signalé ; autre pronom personnel COD. Pour savoir lequel employer, regardez quel COD remplace ce pronom)) retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que
    l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.

    Bonne soirée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 05-04-2016 à 20:55:38 (S | E)
    bonjour, voila la correction de mon expression écrite !! J'espère cette fois, enfin, pour une fois 😝😝 qu'il n'y aura plus de faute. Merci



    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris.

    Aujourd'hui, ces choses me semblent drôles et irréaliste et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de telles aventures.
    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais sur lui, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique pour me calmer.

    Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. Celle-ci changeait dans les quatre coins de la maison, tellement que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Je me rappelle notamment son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privé de nourriture car on avait fait des sottises ; c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause de l'urbanisation. Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu en écoutant notre grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne les retrouverai jamais.

    Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret dubonheur de la famille reste en eux.

    Voilà 👍👍👍👍




    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 06-04-2016 à 09:21:29 (S | E)
    Bonjour Killianb75
    Il reste encore quelques erreurs et des formulations incorrectes. Dans la dernière phrase de votre texte, que je n'ai pas recopiée, il y a deux mots, que vous avez malencontreusement accolés.

    -Aujourd'hui, ces choses me semblent drôles et irréaliste(accord) et parfois, je trouve difficile de croire que je faisais de telles aventures(' aventures' ne convient pas avec le verbe 'faire' ; on ne fait pas des aventures ! Autre mot ou mieux autre formulation ; pour vous aider, voici une suggestion : ' trouver difficile de s'imaginer dans de telles situations') .
    - Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais sur(incorrect ; autre préposition : on ne se blottit pas sur quelqu'un) lui, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique pour me calmer.

    -Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. Celle-ci changeait (incorrect ; à remplacer par un verbe indiquant que cette bonne odeur se propageait. Ne recopiez pas ce verbe mais trouvez un synonyme) dans les quatre coins de la maison, tellement que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger.
    - Notre pire cauchemar était d'être privé(accord : ' Notre' indique un pluriel) de nourriture car on avait fait des sottises ; c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal.

    Bonne journée !




    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 06-04-2016 à 18:54:38 (S | E)
    Bonjour, correction de mon expression écrite 👍👍👍 j'espère cette fois qu'il n'y a plus de faute 😝😝 .

    Mon enfance est pleine de souvenirs, ils ont marqué cette époque mémorable. Je me souviens de presque tout ce que je faisais à 5 ans, et chaque fois que j’en parle avec mes amis, je ris. 

    -Aujourd'hui, ces choses me semblent drôles et irréalistes et parfois, je trouve difficile de m'imaginer dans de telles situations.
    Quand j’étais petit, je vivais à la campagne avec mes grands-parents. J’aimais rester dans la nature jusque dans la nuit et regarder les étoiles brillant au-dessus de moi. Cependant, ce n’était pas la même chose quand il faisait sombre, sans lune ni étoiles ; je n’allais jamais dehors. Dans mon imagination je voyais des monstres, des esprits marchant vers moi et voulant m’emmener avec eux dans un pays inconnu. Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais en lui, je me sentais sauvé, libéré de ces forces du mal et toujours, mon grand-père me donnait de la nourriture et ça, c’était une façon magique pour me calmer.


    -Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. Celle-ci se propageait dans les quatre coins de la maison, tellement que l’on n’avait pas besoin d’être appelé, l’odeur te disait que c’était l’heure de manger. Je me rappelle notamment son poisson grillé accompagné de riz basmati et d’une sauce délicieuse. La chair du poisson était tendre, juteuse surtout lorsqu’elle ajoutait du jus de citron, des épices et de l’huile de tournesol. Sa sauce contenait différents ingrédients : des oignons, des poivrons verts, des branches de céleri, des tomates, des poivrons et un cube de bouillon de poulet. C'était tellement savoureux. Notre pire cauchemar était d'être privée de nourriture car on avait fait des sottises ; c’était sa manière de nous punir quand nous nous conduisions mal. Immédiatement après avoir mangé le premier morceau de poisson, le goût était quelque chose que je ne peux pas expliquer maintenant que j'ai 12 ans.

    -Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autretentation, la baignade, mais ma grand-mère nous l’interdisait, surtout le matin quand l’eau était encore froide. Nous connaissions tous les oiseaux par leurs chants, un phénomène qui n’existe plus en ville à cause de l'urbanisation. Le soir, manquant d'électricité, on se mettait autour du feu en écoutant notre grand-père nous raconter des fables avec de belles mélodies que nous savions tous chanter. Comme j’étais le plus petit, souvent, je m’endormais avant que grand-père finisse la première fable ; toujours, il me prenait dans ses bras et continuait. La sensation physique que je ressentais ne peut pas être décrite. L’amour et l’assurance que je trouvais dans les bras de mon grand-père, je ne les retrouverai jamais.

    -Ces souvenirs restent gravés dans ma mémoire, je ne peux pas les oublier. Comment peut-on oublier la personne que l’on admire et adore, la personne qui te rend heureux ? Vraiment c’est très dur. Longue vie à mes grands-parents car le secret du bonheur de la famille reste en eux.





    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 07-04-2016 à 00:37:29 (S | E)
    Bonsoir Killianb75

    Des erreurs, il y en a encore quelques-unes ! Ne recopiez pas la totalité du texte mais seulement les phrases ci-dessous après les avoir corrigées. Courage !
    .-- Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais en( décidément, vous ne la trouvez pas, cette préposition, celle qui convient avec 'se blottir' ! On se blottit 'dans les bras ' de quelqu'un, mais pas 'dans' quelqu'un, ni 'en' quelqu'un. La préposition à trouver est 'contre' ; on se blottit contre quelqu'un) lui, je me sentais sauvé, libéré...

    -Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. Celle-ci se propageait(vous n'avez fait que recopier l'indication que je vous donnais au lieu d'en trouver vous-même le synonyme... Cherchez ! ) dans les quatre coins de la maison,..
    - Notre pire cauchemar était d'être privée(erreur d'accord ; pourquoi ce féminin ? Le déterminant possessif ' Notre' indique qu'il y a plusieurs personnes ) de nourriture car on avait fait des sottises ;

    -Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autretentation,(séparez ces deux mots).

    Bonne soirée !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 07-04-2016 à 08:41:08 (S | E)
    Et maintenant ??
    .-- Chaque fois, je courais dans les bras de mon grand-père et aussitôt que je me blottissais contre lui, je me sentais sauvé, libéré...

    -Parlant de nourriture, je me souviens de la bonne odeur qui accompagnait toujours les repas de ma grand-mère. Celle-ci se répandait dans les quatre coins de la maison,..
    - Notre pire cauchemar était d'être privés de nourriture car on avait fait des sottises ;

    -Les chants des oiseaux à l’aube signalaient le début des activités et nous accompagnaient à la rivière pour prendre de l'eau. Là-bas, il y avait une autre tentation,





    Réponse: Expression écrite de alienor64, postée le 07-04-2016 à 11:55:52 (S | E)
    Bonjour Killianb75

    Je ne peux que vous dire ' Bravo ' ! Votre texte est maintenant très correct.

    Bonne continuation !



    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 07-04-2016 à 16:45:31 (S | E)




    Réponse: Expression écrite de killianb75, postée le 07-04-2016 à 16:46:07 (S | E)
    Merci beaucoup pour votre attention et votre patiente !!!




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