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    Correction d'un texte

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    Correction d'un texte
    Message de datchay91 posté le 27-04-2018 à 05:44:28 (S | E | F)
    Bonsoir. Merci de bien vouloir me corriger !

    Il était une fois un homme qui avait deux enfants qui étaient encore très petits, l'un avait dix ant et l'autre sept ans. Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupaux des boeufs et des chèvres mais il était avare et dur envers ses propres gosses. Tous les jours, il leur demandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le chatiment qu'il leur infligé était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus si maigres et si fragiles. En depit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait de gré ou de force à grand coeur ouvert. Un jour, l'homme decida de se remarier vers un âge très avancé. Quand il s'est marié, il ne pouvait plus differencier le jour de la nuit et la nuit du jour, il était aveugle. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de sa richessesse, détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenent qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son bonheur et celui d'elle, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretenerait encore mieux après le depart de ses enfants de la maison. Il accepta de bon coeur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient de rester, il s'étranglerait. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir à leur cause, les enfants démenagèrent tout en ésperant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger contre tout mal éventuel. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusèment accueillis. Après que les villageois avaient connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, sa femme lui avait arraché toutes ses richessesses et l'expulsa de la maison. Il avait perdu la raison et était mort.

    Merci d'avance !

    -------------------
    Modifié par webmaster le 27-04-2018 10:23


    Réponse : Correction d'un texte de lenastyler, postée le 27-04-2018 à 15:12:15 (S | E)
    Bonjour j'ai fait une correction rapide de votre texte


    Il était une fois un homme qui avait deux enfants qui étaient encore très petits, l'un avait dix ant(pluriel : an avec s)et l'autre sept ans. Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupaux (troupeaux) des boeufs et des chèvres mais il était avare et dur envers ses propres gosses. Tous les jours, il leur demandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le chatiment qu'il leur infligé(terminaison :eait) était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus si maigres et si fragiles. En depit(accent sur le e ) de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait de gré ou de force à grand coeur ouvert. Un jour, l'homme decida (accent sur le e) de se remarier vers un âge très avancé. Quand il s'est marié, il ne pouvait plus differencier (accent sur le premier e) le jour de la nuit et la nuit du jour, il était aveugle. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de sa richessesse (esse en trop), détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenent (maintenant) qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son bonheur et (le sien), qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretenerait (entretiendrait) encore mieux après le depart (accent sur le e ) de ses enfants de la maison. Il accepta de bon coeur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient de rester, il s'étranglerait. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir (mourir) à leur cause, les enfants démenagèrent tout en ésperant (accent sur le deuxième e) le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger (accent sur le premier e) contre tout mal éventuel. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusèment (pas d'accent) accueillis (pas de s). Après que les villageois avaient (eurent) connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, sa femme lui avait arraché toutes ses richessesses (richesses) et l'expulsa de la maison. Il avait perdu la raison et était mort.

    Merci d'avance !



    Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 27-04-2018 à 23:27:52 (S | E)
    Bonsoir. Merci de bien vouloir me corriger !

    Il était une fois un homme qui avait deux enfants qui étaient encore très petits, l'un avait dix ans et l'autre sept ans. Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupeaux des boeufs et des chèvres mais il était avare et dur envers ses propres gosses. Tous les jours, il leur demandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le chatiment qu'il leur infligeait était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus si maigres et si fragiles. En dépit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait de gré ou de force à grand coeur ouvert. Un jour, l'homme decida de se remarier vers un âge très avancé. Quand il s'est marié, il ne pouvait plus différencier le jour de la nuit et la nuit du jour, il était aveugle. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de ses richessesses, détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenant qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son bonheur et le sien, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretiendrait encore mieux après le depart de ses enfants de la maison. Il accepta de bon coeur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient de rester, il s'étranglerait. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir à leur cause, les enfants démenagèrent tout en espérant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger contre tout mal éventuel. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusement accueillis. Après que les villageois eurent connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, sa femme lui avait arraché toutes ses richessesses et l'expulsa de la maison. Il avait perdu la raison et était mort.

    Merci de tout coeur !
    Merci d'avance !



    Réponse : Correction d'un texte de alienor64, postée le 28-04-2018 à 00:18:02 (S | E)

    Bonsoir lenastyler

    On ne vous demande pas de faire une 'correction rapide', mais d'aider le demandeur à corriger lui-même les erreurs que vous lui aurez signalées. Cela demande, bien sûr, un peu plus de temps que de servir du prêt-à-recopier.





    Réponse : Correction d'un texte de alienor64, postée le 28-04-2018 à 11:46:09 (S | E)

    Bonjour datchay91

    Merci de bien vouloir me corriger m'aider à corriger ce texte !

    Il était une fois un homme qui avait deux enfants qui étaient (supprimer) encore très petits, l'un avait dix ans et l'autre sept ans.(supprimer) Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupeaux des(erreur : préposition) boeufs(orthographe : œ ; cliquez sur 'Accents' pour écrire le 'œ') et des(préposition) chèvres(virgule) mais il était avare et dur envers ses propres gosses(trop familier : autre mot). Tous les jours, il leur demandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le chatiment(accent circonflexe) qu'il leur infligeait était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus si(incorrect, autre adverbe d'intensité ; 'si' ne convient pas, sauf s'il introduit une proposition subordonnée conjonctive avec 'que') maigres et si(idem) fragiles. En dépit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait de gré ou de force (virgule) à(déterminant défini) grand(entre le nom et l'adjectif) coeur(orthographe : œ) ouvert. Un jour, l'homme decida(accent) de se remarier vers(autre préposition) un âge très avancé. Quand il s'est marié(incorrect pour exprimer la suite de l'histoire. Mettez 'Une fois marié' ou ' Après son mariage'), il ne pouvait(autre temps : passé composé ou passé simple) plus différencier le jour de la nuit et la nuit du jour, il était(autre verbe : 'devenir' au plus-que-parfait) aveugle. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de ses richessesses(orthographe), détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenant qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son bonheur et le sien, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretiendrait encore mieux après le depart(accent) de ses(déterminant indéfini) enfants de la maison(supprimer). Il accepta de bon coeur(orthographe : voir plus haut) et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient de(autre préposition) rester, il s'étranglerait( pourquoi donc s'étranglerait-il ? Autre verbe). Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir(orthographe) à leur cause(incorrect : gardez le mot 'cause' et mettez la locution qui convient et qui exprime une responsabilité), les enfants démenagèrent(il manque un accent) tout en espérant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger(accent) contre(autre préposition) tout mal éventuel(supprimer). Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusement accueillis. Après que les villageois eurent connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, (ce qui suit est incorrect car le sujet doit être 'leur père' et non 'sa femme' : à reformuler dans une construction correcte) sa femme lui avait arraché('arracher' ne convient pas ; autre verbe au plus-que-parfait) toutes ses richessesses (orthographe) et l'expulsa de la maison. Il avait perdu la raison et était mort(autre temps).

    Bonne correction



    Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 29-04-2018 à 03:43:23 (S | E)
    Bonsoir. Merci de bien vouloir m'aider à corriger le texte !

    Il était une fois un homme qui avait deux enfants encore très petits, l'un avait dix et l'autre sept ans. Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupaux de bœufs et de chèvres mais il était avare et dur envers ses propres enfants. Tous les jours, il leur démandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le châtiment qu'il leur infligeait était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus maigres et fragiles. En dépit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait volentiers. Un jour, l'homme décida de se remarier à un âge très avancé alors même qu'il ne pouvait plus différencier le jour de la nuit et la nuit du jour. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de ses richesses, détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenant qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son bonheur et le sien, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretiendrait encore mieux après le départ des enfants. Il accepta de bon cœur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient à rester, il allait se suicider. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir à cause d'eux, les enfants déménagèrent tout en espérant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger de tout mal. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusement accueillis. Après que les villageois eurent connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, il perdut tout ce qu'il possédait, fut expulsé de la maison et mourrut.

    Merci beaucoup de votre aide.



    Réponse : Correction d'un texte de alienor64, postée le 29-04-2018 à 11:56:30 (S | E)

    Bonjour datchay91

    C'est beaucoup mieux, mais quelques erreurs que vous aviez corrigées, refont surface ici.

    Vous avez modifié certaines expressions au lieu de corriger ce que je vous avais indiqué !


    Il était une fois un homme qui avait deux enfants encore très petits, l'un avait dix et l'autre sept ans(à enlever et à placer après le premier nombre). Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupaux(orthographe) de bœufs et de chèvres (virgule) mais il était avare et dur envers ses propres enfants. Tous les jours, il leur démandait(pas d'accent) d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le châtiment qu'il leur infligeait était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus maigres et fragiles. En dépit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient tout ce qu'il leur demandait volentiers(orthographe + après le premier verbe). Un jour, l'homme décida de se remarier à un âge très avancé alors même qu'il ne pouvait plus différencier le jour de la nuit et la nuit du jour. Sa nouvelle épouse, voulant hériter de ses richesses, détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenant qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son propre bonheur et le sien, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretiendrait encore mieux après le départ des enfants. Il accepta de bon cœur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient à rester, il allait se suicider. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourrir(orthographe) à cause d'eux, les enfants déménagèrent tout en espérant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le proteger(accent) de tout mal. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusement accueillis. Après que les villageois eurent connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, il perdut(orthographe de ce passé simple) tout ce qu'il possédait, fut expulsé de la maison et mourrut(orthographe).

    Bon dimanche



    Réponse : Correction d'un texte de vivamy, postée le 29-04-2018 à 12:23:43 (S | E)
    Bonjour Datchay91

    Je rajoute une aide à celles d'Aliénor.
    On ne dit pas hériter de quelque chose, mais hériter quelque chose.
    On dit hériter de quelqu'un.
    Bon dimanche
    Vivamy



    Réponse : Correction d'un texte de alienor64, postée le 29-04-2018 à 15:46:28 (S | E)
    Bonjour vivamy

    Merci pour votre remarque, mais elle n'est pas exacte, car si l'on peut hériter de quelqu'un, on peut hériter de quelque chose et non uniquement quelque chose. Cependant, en considérant que la nouvelle épouse de ce vieux monsieur n'hérite pas de façon successorale, mais reçoit en héritage : 'hériter de ses richesses' devient alors 'hériter ses richesses'. La frontière est ténue ! Je lis sur mon Larousse : - 'Hériter': -verbe intransitif : Recueillir un héritage. - verbe transitif indirect(de) : Recevoir par voie de succession : 'Hériter d'une grande fortune' et - verbe transitif : Recevoir quelque chose de quelqu'un par voie d'héritage : 'Il a hérité une maison en Bretagne'. et sur le site de l'Académie : Lien internet
    je lis que le verbe 'hériter' peut être transitif direct ou indirect et que l'emploi de la préposition n'est pas une erreur lorsque le complément désigne un bien matériel :
    A. − Emploi trans. dir. ou indir. Hériter (de) qqc.; hériter (qqc.) de qqn
    1.
    a) [Le suj. désigne une pers.; le compl. désigne un bien matériel, un titre, un droit] Devenir propriétaire, possesseur (de quelque chose); recevoir (quelque chose) par droit de succession, par héritage. Hériter des biens, (d')un capital, (d')une (grande/grosse) fortune, (d')une maison (de qqn).

    Et pour être complet et précis, j'ajoute ce qu'en dit M.Grevisse : ' Quand hériter a à la fois le complément de la personne et celui de la chose, on dit hériter quelque chose de quelqu'un. Hériter de quelque chose de quelqu'un est rare et peu recommandable : les deux régimes ne sont pas là différenciés, sans compter que le double de ne plaît pas aux oreilles délicates ; cela choque moins avec dontet en : 'Un secret dont j'ai hérité de mes pères (Nodier, Contes), mais je lis aussi :
    'J'ai hérité de lui d'un opéra qui était admirable (Marivaux).

    Bon dimanche




    Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 29-04-2018 à 23:09:55 (S | E)
    Bonsoir. Merci infiniment de votre aide !
    Il était une fois un homme qui avait deux enfants encore très petits, l'un avait dix ans et l'autre sept. Ils avaient perdu leur mère depuis leur tendre enfance. Leur père, quoiqu'il fût riche, les faisait travailler dur et les nourrissait mal. Il avait des centaines de troupeaux de bœufs et de chèvres, mais il était avare et dur envers ses propres enfants. Tous les jours, il leur demandait d'aller garder les animaux très tôt le matin et de ne revenir qu'à la tombée de la nuit. Le châtiment qu'il leur infligeait était tellement dur pour eux qu'ils étaient devenus maigres et fragiles. En dépit de cela, les enfants aimaient fort leur père et faisaient volontiers tout ce qu'il leur demandait. Un jour, l'homme décida de se remarier à un âge très avancé alors même qu'il ne pouvait plus différencier le jour de la nuit et la nuit du jour. Sa nouvelle épouse, voulant hériter ses richesses, détestait ses enfants encore plus qu'il ne les détestait. Un soir, elle lui dit que, maintenant qu'il était devenu tout vieux et qu'il n'avait plus d'yeux pour voir, ses enfants constituaient un danger pour lui et qu'il faudrait les chasser de la maison avant qu'il ne fût trop tard. Elle lui dit qu'il devrait lui faire confiance s'il voulait son propre bonheur et le sien, qu'elle garderait les animaux et qu'elle les entretiendrait encore mieux après le départ des enfants. Il accepta de bon cœur et pria ces derniers de s'en aller en leur disant qu'il ne se sentait pas du tout en sécurité en leur présence et que, s'ils s'entêtaient à rester, il allait se suicider. Vu qu'ils ne voulaient pas faire de la peine à leur papa et le voir mourir à cause d'eux, les enfants déménagèrent tout en espérant le revoir encore et en suppliant Dieu de veiller sur lui et de le protéger de tout mal. Ils arrivèrent dans un pays où tous les habitants s'entendaient bien et où ils furent chaleureusement accueillis. Après que les villageois eurent connu leur histoire, ils les jugèrent dignes de confiance en faisant de l'un deux un roi quelques années plus tard. Ils s'étaient, tous deux, enrichis et avaient fait des enfants. Quant à leur père, il perdit tout ce qu'il possédait, fut expulsé de la maison et mourut.



    Réponse : Correction d'un texte de alienor64, postée le 29-04-2018 à 23:18:14 (S | E)
    Bonsoir datchay91

    Cette fois, votre texte est parfait ! Supprimez simplement la préposition 'de' : 'voulant hériter de ses richesses'...

    Bonne continuation



    Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 01-05-2018 à 22:58:00 (S | E)
    Bonsoir. Je l'ai déjà fait.




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