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    Texte à corriger
    Message de datchay91 posté le 10-03-2019 à 05:14:44 (S | E | F)
    Bonsoir.

    S'il vous plaît, corrigez-moi.

    Une caverne mystérieuse

    En l'an 05, un jeudi vers seize heures, nous allâmes nous balader à la montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous nous engageâmes à pénétrer dans une caverne la plus horrible que nous connaissions où nous n'avons jamais osé entrer avant. Les vieux du village ainsi que nos parents nous ont toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, enfants, de cette caverne ! Que des hommes et femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois y arrivés, nous y pénétrâmes, marchâmes quelques pas, virent un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant savoir plus. Après une longue marche, nous nous retournâmes voir le chemin que nous fîmes. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer a disparu pour laisser place à un sentier que j'ai pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé derrière lesquelles arrivaient des arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en question, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de revenir en arrière dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que j'étais dans mon uniforme de l'école tenant ma cartable et allant à l'école pressé. " Quelle prodige !" dis-je. Je me demandai si je n'était pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis avec lequels j'étais entré dans la caverne n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je claquai à la porte et il vint m'ouvrir . Il portait les mêmes habits que ceux dans lesquels il avait été ce matin. Et avant même qu'il ne prononce un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de revenir en arrière dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée, c'est à 07h:15. Il est actuellement 07h:20. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " dis-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement sur sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et me retourner dans ce qui pour le moment était futur. Automatiquement, je dis un bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de ma cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin n'était pas là. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film en lecture au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui stupéferait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus s'il y en avait vraiment. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître allait nous poser et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et en avais les réponses. Quoi que ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, je ne pouvais pas toutefois accélérer le temps. Je mourrais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Notre maître, dès qu'il finit d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai faire l'exercice. Tous élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    Merci d'avance.


    Réponse : Texte à corriger de laure95, postée le 10-03-2019 à 17:02:55 (S | E)
    Bonjour,
    En l'an 05, (c'était)un jeudi
    - nous balader à la montagne: on dit: se balader EN montagne.
    - nous nous engageâmes à pénétrer: mal dit, remplacer "engageâmes" par le verbe pénétrer au passé simple.
    - Les vieux du village: on dit:les anciens du village.
    - « Méfiez-vous, (mettre un possessif)enfants, de cette caverne !
    - Que (enlever que)des hommes et femmes
    - une fois y (enlever y)arrivés,
    - marchâmes quelques pas: on dit: marcher ou faire quelques pas.
    - virent (mal conjugué: le sujet est "nous".
    - voulant (en) savoir plus.
    - nous nous retournâmes (pour)voir le chemin que nous fîmes (concordance des temps).
    - l'endroit par lequel nous venions de passer a disparu (plus que parfait)
    - à un sentier que j'ai pris (plus que parfait)ce matin
    - ce qui (s')était déjà passé,
    - de revenir en arrière dans le temps: enlever "dans le temps".
    - Quand je me vis: ?
    - j'étais (à remplacer par le verbe porter à conjuguer) dans (enlever dans)mon uniforme de l'école
    - ma cartable: ma + mot au féminin.
    - et allant à l'école (virgule)pressé.
    - je n'était (faute de conjugaison) pas dans un rêve
    - lequels: orthographe.
    - j'étais entré dans la caverne (virgule) n'étaient plus là.
    - Notre maître était déjà en (dans la pas en) classe
    - Je claquai à la porte: mal dit: on claque une porte pour la fermer mais on frappe à une porte pour qu'on vienne nous ouvrir.
    - ceux dans lesquels il avait été ce matin: mal dit.
    - Et avant même qu'il ne prononce (passé simple)un mot,
    - revenir en arrière (enlever en arrière)dans le temps
    - L'entrée, c'est à 07h:15: mal formulé.
    - tout le monde était exactement sur sa place: on dit: être assis à sa place.
    - Je décidai de me laisser faire: ?
    - si je (le) voulais,
    - me retourner dans ce qui pour le moment était futur: mal dit.
    - je dis un (pas de un)bonjour à mon voisin
    - ma cartable.
    - dans un film en lecture au cinéma: ?
    - stupéferait: ?
    - qui seraient finalement tous confondus s'il y en avait vraiment:?
    - Quoi que (en un seul mot)ennuyé,
    - Notre maître, dès qu'il (dès que notre maître) finit (pas le bon temps)d'écrire l'exercice au tableau,
    - allai faire l'exercice (au tableau).



    Réponse : Texte à corriger de alienor64, postée le 10-03-2019 à 17:29:38 (S | E)

    Bonsoir datchay91


    S'il vous plaît, corrigez-moi. pouvez-vous m'aider à corriger ce texte ?

    Vous souvenez-vous de votre 'D'accord, la prochaine fois, j'essayerai de ne pas abuser dans mes écrits' en date du 27 juillet 2018 en réponse à la remarque de jij33 devant un texte aussi long que celui-ci ? Voici ce qu'elle vous avait écrit :
    'La longueur de votre récit nous fait hésiter à nous lancer dans le recensement des erreurs et les conseils pour les corriger. Un tel texte demande près de deux heures de travail, voire davantage.(... ) À l'avenir, essayez d'envoyer des productions écrites plus courtes... N'oubliez pas que nous sommes tous bénévoles et avons aussi d'autres occupations ou centres d'intérêt que ce site. '

    Remettez-vous cela en mémoire ; cela facilitera la tâche de tous : la vôtre et celle des bénévoles. Merci pour eux !

    Bonne soirée



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 11-03-2019 à 05:57:20 (S | E)
    Bonsoir.

    S'il vous plaît, corrigez-moi.

    Une caverne mystérieuse

    En l'an 05, c'était un jeudi vers seize heures, nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous nous dîmes de pénétrer dans une caverne la plus horrible que nous connaissions où nous n'avons jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous ont toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, mes enfants, de cette caverne ! Que ( pourquoi vais-je l'enlever s'il vous plaît ? Ça signifie " beaucoup " ) des hommes et femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en ( ici, en remplace quoi selon vous, plus de quoi ? ) savoir plus. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir ( quelle différence y a-t-il entre retourner voir et retourner pour voir ) le chemin que nous avions fait. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé derrière lesquelles arrivaient des arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en question, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de revenir en arrière. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école tenant ma cartable et allant à l'école, pressé. " Quelle prodige !" dis-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà dans ( en et dans ne veulent-ils pas dire la même chose ? ) classe. Je frappai la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé ( je pense que " avant que " est suivi du subjonctif, non ? ) un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de revenir en arrière dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à 07h:15. Il est actuellement 07h:20. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " dis-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et me retourner dans le futur. Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de ma cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin n'était pas là. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film en lecture au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus s'il y en avait vraiment. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître allait nous poser et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et en avais les réponses. Quoique ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, je ne pouvais pas toutefois accélérer le temps. Je mourrais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Notre maître, dès qu'il eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai faire l'exercice. Tous élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    Merci d'avance. Merci de tout cœur de m'avoir corrigé. Votre langue est difficile à comprendre. J'ai beau faire de mon mieux, ça ne marche pas. Je commets toujours les mêmes erreurs.

    J'ai oublié de me le rappeler. Je suis désolé. Merci de me corriger malgré tout. Je vous en serai reconnaissant.



    Réponse : Texte à corriger de jij33, postée le 11-03-2019 à 10:22:48 (S | E)
    Bonjour datchay91
    En effet, ce texte est encore bien trop long ! Voici des conseils de correction pour le début.
    Je vous rappelle que nous intervenons seulement sur l'expression, sans porter de jugement sur les incohérences du texte... En l'an 05 (de notre ère ?), je doute qu'il y ait eu des montres pour connaître l'heure, des jeux vidéo, que les enfants allaient en classe, etc. Le contenu de votre texte ne concerne que vous et si votre seul objectif est d'améliorer votre expression écrite, faisons comme si tout était logique.

    En l'an 05, c'était un jeudi vers seize heures, nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous nous dîmes (plutôt le verbe décider) de pénétrer dans une caverne (virgule) la plus horrible que nous connaissions (virgule) où nous n'avons jamais osé (au plus-que-parfait) entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous ont toujours raconté (plus-que-parfait) des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, mes (mieux : déterminant défini) enfants, de cette caverne ! Que ( pourquoi vais-je l'enlever s'il vous plaît ? Ça signifie " beaucoup " ) (cela signifie "un grand nombre de", une grande quantité de" quand c'est suivi de la préposition "de"( ou "d'"). Que de monde, ici ! Que de bruit ! Que d'enfants turbulents ! ) des hommes et (vous répéterez ici la préposition) femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en ( ici, en remplace quoi selon vous, plus de quoi ? ("en savoir plus" est une expression figée, dans laquelle "en" n'a pas de fonction précise et ne remplace rien) ) savoir plus. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir ( quelle différence y a-t-il entre retourner voir et retourner pour voir (se retourner pour voir : pour voir exprime le but. Je retourne voir mes parents aujourd'hui : je les ai vus hier, mais je vais les revoir)) le chemin que nous avions fait. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé (virgule) derrière lesquelles arrivaient des arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en question, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de revenir en arrière. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école tenant (et que je + imparfait, car dans votre phrase, c'est l'uniforme qui tient le cartable) ma (accord avec le nom qui suit : cherchez son genre) cartable (point et imparfait ici, car même erreur : c'est le cartable qui va à l'école) et allant à l'école, pressé. " Quelle (accord) prodige !" dis-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis (virgule) avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà dans ( en et dans ne veulent-ils pas dire la même chose ? (dans la classe : lieu où le maître se trouve. "tais-toi ! nous sommes en classe !" la notion d'être en situation d'écouter et d'être concentré s'ajoute à celle de lieu) classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé ( je pense que " avant que " est suivi du subjonctif, non ? oui) un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de revenir en arrière (plutôt le verbe formé sur "recul") dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à 07h:15. Il est actuellement 07h:20. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " dis-je (plutôt le verbe penser). Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et me (supprimer : "se retourner", c'est faire, par exemple, un demi-tour pour voir derrière soi. Retourner à un endroit ou à une époque, c'est y revenir) retourner dans le futur.

    Merci de renvoyer votre correction .



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 12-03-2019 à 05:06:46 (S | E)
    Bonsoir.

    Vous avez dit, jij33 : « En effet, ce texte est encore bien trop long! ». C'est vrai, vous avez tout à fait raison. Merci infiniment de votre correction. C'est vraiment très gentil de votre part. J'aimerais que vous sachiez que vous êtes très aimable et que vous figurez grande par le cœur.

    C'était un jeudi vers seize heures, nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en savoir plus. Après une longue marche, nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions fait. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en question, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer en arrière. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenait mon cartable et allais à l'école, pressé. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà dans classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer en arrière dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à 07h:15. Il est actuellement 07h:20. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.

    À bientôt.



    Réponse : Texte à corriger de jij33, postée le 12-03-2019 à 15:24:13 (S | E)
    Bonjour datchay91

    C'était un jeudi vers seize heures, (plutôt un point-virgule) nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous nous (c'est le verbe décider et non se décider : un nous de trop) décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayant tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en savoir plus. Après une longue marche, nous retournâmes (et là, c'est le verbe pronominal se retourner : il manque un nous) pour voir le chemines à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un que nous avions fait (mieux : le participe passé de "parcourir". On a toujours tendance à employer le verbe faire, alors qu'il existe des termes beaucoup plus précis). Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des arabes (ici, c'est un nom propre et non un adjectif : majuscule) qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en question (mieux : doute), car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer en arrière (reculer, c'est toujours en arrière : remplacer par "dans le temps"). Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenait (pourquoi cette 3e personne, placée entre "portais" et "allais" ?) mon cartable et allais à l'école, pressé. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà dans (ajouter un déterminant défini : on est en classe, pour y travailler, ou dans la classe, simple lieu)classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer en arrièresupprimer) dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à 07h:15. Il est actuellement 07h:20 (supprimer ces zéros barrés. Il vaut d'ailleurs mieux écrire les heures en lettres. Seules les dates s'écrivent en chiffres). Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.

    Vous comprenez et appliquez très bien les conseils de correction.
    -------------------------------------------------------------------
    La suite :
    Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de ma (accord) cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin n'était pas là (mieux : disparaître, au plus-que-parfait). D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film en lecture (inutile) au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus s'il y en (que représente ce "en" ? Employez le nom exact) avait vraiment. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître allait nous poser et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et en(à remplacer par un pronom relatif complément du nom et ajouter le pronom sujet de "avais") avais les réponses. Quoique (élision possible, mais non obligatoire) ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, je ne pouvais pas toutefois (à placer avant "toutefois") accélérer le temps. Je mourrais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Notre maître, dès qu' (incorrect : commencer la phrase par "dès que") il eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai faire l'exercice. Tous (déterminant défini) élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée... À quoi sert cette dernière phrase ? Rassurez-moi : ne me dites pas que l'histoire n'est pas finie !
    Bonne correction.
    -------------------
    Modifié par jij33 le 12-03-2019 15:51

    Je me rends compte que j'ai coupé un extrait de votre texte ou fait un copié-collé quelque part... Je n'ai pas le temps de m'en occuper avant demain après-midi : merci de votre patience. D'où l'intérêt de proposer des textes plus courts ! Si vous réussissez à le rétablir dans votre correction... je prends !



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 13-03-2019 à 03:52:01 (S | E)
    Bonsoir.

    C'était un jeudi vers seize heures ; nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en savoir plus. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions parcouru. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des Arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en doute, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenais mon cartable et allais à l'école, pressé. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à sept heures et quinze munites. Il est actuellement sept heures et vingt munites. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de mon cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin avait disparu. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus s'il y avait vraiment des spectateurs. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître allait nous poser et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et dont j'avais les réponses. Quoiqu'ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, toutefois je ne pouvais pas accélérer le temps. Je mourrais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Dès que notre maître eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai faire l'exercice. Tous les élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    Oui, l'histoire continue. Merci infiniment. À bientôt !



    Réponse : Texte à corriger de jij33, postée le 13-03-2019 à 14:48:11 (S | E)
    Bonjour datchay91

    C'était un jeudi vers seize heures ; nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et décidâmes de l'emprunter, voulant en savoir plus (placer plutôt ce groupe entre "et" et "décidâmes"). Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions parcouru. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce (mieux : démonstratif défini) matin pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des Arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en doute, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenais mon cartable et allais à l'école, pressé (idem : déplacer le groupe entre entre "et" et "allais"). " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à sept heures et quinze minutes (nous disons "à sept heures et quart" et "sept heures vingt", sans le mot minutes). Il est actuellement sept heures et vingt munites. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place (ajouter l'adjectif formé sur "habitude"). Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur. Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de mon cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin avait disparu. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus (virgule) s'il y avait vraiment des spectateurs. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître allait (inutile : conjuguer "poser" à l'imparfait) nous poser et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et dont j'avais les réponses. Quoiqu'ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, toutefois je ne pouvais pas accélérer le temps. Je mourrais ( je n'avais pas vu cette erreur : à l'imparfait de l'indicatif et non au conditionnel présent) donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Dès que notre maître eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai faire l'exercice (pour éviter la répétition de "exercice", remplacer les mots soulignés par pour + les deux verbes aller et faire à l'infinitif, séparés par un pronom personnel COD de faire). Tous les élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...
    À bientôt.



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 14-03-2019 à 03:46:52 (S | E)
    Bonsoir.

    C'était un jeudi vers seize heures ; nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et voulant en savoir plus, décidâmes de l'emprunter. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions parcouru. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin-là pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des Arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en doute, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenais mon cartable et pressé, allais à l'école. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer dans le temps et de revivre l'expérience. Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à sept heures et quart. Il est actuellement sept heures et vingt. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place habituelle. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de mon cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin avait disparu. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus, s'il y avait vraiment des spectateurs. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître posait et que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et dont j'avais les réponses. Quoiqu'ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois en train de revivre l'expérience, toutefois je ne pouvais pas accélérer le temps. Je mourais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Dès que notre maître eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai le faire. Tous les élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    Bonne nuit !



    Réponse : Texte à corriger de jij33, postée le 14-03-2019 à 10:39:05 (S | E)
    Bonjour
    Il ne reste plus grand-chose à modifier et nous allons nous intéresser cette fois à perfectionner la ponctuation.
    L'heure : Lien internet

    C'était un jeudi vers seize heures ; nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et (virgule) voulant en savoir plus, décidâmes de l'emprunter. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions parcouru. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin-là pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des Arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en doute, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenais mon cartable et (virgule) pressé, allais à l'école. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer dans le temps et de revivre l'expérience. (plutôt une virgule qu'un point, sans oublier que "ce" commencera par une minuscule) Ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à sept heures et quart. Il est actuellement sept heures et (supprimer et voir lien ci-dessus) vingt. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place habituelle. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de mon cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin avait disparu. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif (ce "pensif" m'intrigue depuis le début : que voulez-vous dire ?) dans un film au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir. (même remarque que plus haut : plutôt une virgule, suivie d'une minuscule) Ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus, s'il y avait vraiment des spectateurs. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître posait et (remplacer par une virgule) que (encore une virgule) d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et dont j'avais les réponses. Quoiqu'ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je sois (le strict respect de la concordance des temps voudrait un imparfait du subjonctif, mais seuls les bons écrivains l'emploient. C'était une simple information et vous pouvez garder "sois") en train de revivre l'expérience, toutefois je ne pouvais pas accélérer le temps. Je mourais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Dès que notre maître eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai le faire. Tous les élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    À bientôt.



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 15-03-2019 à 05:16:44 (S | E)
    Bonsoir.

    C'était un jeudi vers seize heures ; nous allâmes nous balader en montagne comme d'habitude. En sortant de la maison, nous décidâmes de pénétrer dans une caverne, la plus horrible que nous connaissions, où nous n'avions jamais osé entrer avant. Les anciens du village ainsi que nos parents nous avaient toujours raconté des histoires effrayantes à son propos comme : « Méfiez-vous, les enfants, de cette caverne ! Que d'hommes et de femmes y sont entrés et n'en sont jamais sortis ! ». Par curiosité, une fois arrivés, nous y pénétrâmes, fîmes quelques pas, vîmes un tunnel noir et, voulant en savoir plus, décidâmes de l'emprunter. Après une longue marche, nous nous retournâmes pour voir le chemin que nous avions parcouru. Et à notre grande surprise, l'endroit par lequel nous venions de passer avait disparu pour laisser place à un sentier que j'avais pris ce matin-là pour me rendre à l'école. Ce qui fut encore le plus surprenant pour moi, ce fut l'apparition de deux femmes, l'une était en bleu et l'autre en rouge foncé, derrière lesquelles arrivaient des Arabes qui emmenaient leurs troupeaux au marché. Cette scène me parut si familière que je mis la réalité du moment en doute, car ce phénomène, je l'avais déjà vécu et vu. Je me dis qu'il était impossible de revivre ce qui était déjà passé, de reculer dans le temps. Quand je me vis, je réalisai que je portais mon uniforme de l'école, tenais mon cartable et, pressé, allais à l'école. " Quel prodige !" pensai-je. Je me demandai si je n'étais pas dans un rêve et si on pouvait rêver même en étant éveillé. Même mes amis, avec lesquels j'étais entré dans la caverne, n'étaient plus là. Tout en pensant à cela et en m'interrogeant, j'arrivai à l'école. Notre maître était déjà en classe. Je frappai à la porte et il vint m'ouvrir. Il portait les mêmes habits que ceux du matin. Et avant même qu'il n'ait prononcé un mot, je sus déjà ce qu'il allait dire, convaincu de reculer dans le temps et de revivre l'expérience, ce qui fut exactement le cas. " Tu es en retard. L'entrée est à sept heures et quart. Il est actuellement sept heures vingt. Que cela ne devienne pas une habitude ! Entre ! " dit-il. " Quelle drôle d'histoire ! " pensai-je. Et machinalement, j'entrai et allai m'asseoir. Tout le monde était exactement assis à sa place habituelle. Je décidai de me laisser faire, sachant que si je le voulais, je pourrais imposer ma volonté en agissant autrement et retourner dans le futur.Automatiquement, je dis bonjour à mon voisin et sortis mon cahier de leçons de mon cartable. Quand je l'ouvris, le cours du matin avait disparu. D'un côté, j'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo et de l'autre côté un acteur pensif dans un film au cinéma. Si je ne m'autorisai pas à contredire l'histoire, je me permis cependant d'en être cette fois-ci le héros pouvant prédire l'avenir, ce qui étonnerait sans doute les spectateurs qui avaient déjà suivi ce film et qui seraient finalement tous confondus, s'il y avait vraiment des spectateurs. Je voulais impressionner mes camarades qui m'avaient toujours traité d'idiot en répondant à toutes les questions que notre maître posait et, que d'ailleurs, je connaissais déjà par avance et dont j'avais les réponses. Quoiqu'ennuyé, je sortis mon stylo de ma poche et pris note. J'avais hâte qu'on fasse rapidement l'exercice. Bien que je fusse en train de revivre l'expérience, toutefois je ne pouvais pas accélérer le temps. Je mourais donc d'envie de montrer mes talents à mes amis. Dès que notre maître eut fini d'écrire l'exercice au tableau, je levai la main et allai le faire. Tous les élèves furent étonnés, car ils ne m'avaient jamais vu aller au tableau avant. Le maître, lui-même, avait l'air d'être frappé de stupeur. Selon la logique de l'histoire, une élève serait désignée...

    Bonne nuit !



    Réponse : Texte à corriger de jij33, postée le 15-03-2019 à 07:31:17 (S | E)
    Bonjour datchay91
    Votre texte est correct.




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