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    Candide ou l'optimisme

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    Candide ou l'optimisme
    Message de nano2000 posté le 27-12-2020 à 22:15:30 (S | E | F)
    Bonjour,
    S'il vous plaît, pourriez vous m'aider à corriger ce texte? Merci d'avance.
    Candide ou l’optimisme
    Candide ou l’optimisme, un roman philosophique du fameux Voltaire, paru en 1759 et traduit de l’allemand par le docteur Ralph. Dans ce roman, Voltaire remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre personnages dont deux sont les principaux : le premier, c’est le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme ; le second, c’est Candide, l’élève fidèle de Pangloss. Candide représente une personnalité à caractère crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits.
    Pangloss enseigne à Candide tout, entre autres, l’optimisme de Leibniz, il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car : tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et l’une de ses maximes les plus utilisée : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    Après la chasse de candide du château de monsieur le baron de Thunder-tronckh et son éloignement de Mlle Cunégonde sa bienaimée ; ceux-ci représentent le premier mal ressenti par lui. Il se lança dans une succession d’aventures dans lesquelles il était agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il a subi ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontra un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort n’est rien d’autre que le sien. Candide a découvert que la vie, en dehors du château, n’est autre chose qu’un combat dont la terre est son arène. Un combat entre tout et pour tout, un combat entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Pour candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss, il a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du roman, il est facile de deviner que Voltaire renonce à l’optimisme de Leibniz. Et dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En plus, il a décrit la vie comme une un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : le pays d’éldorado et le musulman turc.
    Somme toute, Voltaire a réussi, à l’aide de Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.


    Réponse : Candide ou l'optimisme de jij33, postée le 28-12-2020 à 12:30:54 (S | E)
    Bonjour

    Candide ou l’optimisme (écrit avec une majuscule dans le titre d'origine), un roman (ce n'est pas un roman) philosophique du fameux (pourquoi "fameux" ? Supprimer) Voltaire, paru en 1759 et traduit de l’allemand par le docteur Ralph (ceci figure dans le titre donné par Voltaire. Comme Voltaire est l'auteur de ce conte, il l'a évidemment écrit en français ; à placer au début)). Dans ce roman (non), Voltaire remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre (il manque une préposition) personnages dont deux sont les principaux (mal construit : commencer par "les deux principaux" + verbe et supprimer les mots soulignés dans la suite) : le premier, c’est le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme ; le second, c’est (supprimer et remplacer par une conjonction de coordination) Candide, l’élève fidèle (plutôt avant "élève") de Pangloss. Candide représente une personnalité (verbe être suivi de "une personne") à caractère crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits (placer ici "caractère" dans un complément du nom).
    Pangloss enseigne à Candide tout (à placer après "enseigne"), entre autres, l’optimisme de Leibniz, (point) il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car : tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et (même préposition) l’une de ses maximes les plus utilisée (accord) : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    [Après la chasse (remplacer "chasse" par "bannissement" et reconstruire la phrase mise entre crochets de candide (majuscule) du château de monsieur le baron de Thunder-tronckh et son éloignement de Mlle Cunégonde sa bienaimée ; (virgule) ceux-ci représentent le premier mal ressenti par lui (faire de ce groupe le sujet de la phrase) ]. Il se lança (vous avez commencé votre texte au présent : gardez ce temps jusqu'à la fin. Erreurs signalées par ) dans une succession d’aventures dans lesquelles il était agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il a subi ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontra un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort n’est rien d’autre que (remplacer par "être semblable" + préposition) le sien. Candide a découvert que la vie, en dehors du château, n’est autre chose qu’un combat dont la terre est son (déterminant défini) arène. Un combat entre tout (pluriel) et pour tout, un combat (inutile) entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Pour Quant à candide (majuscule), il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, (répéter la conjonction de subordination)elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss, il a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du roman (ce n'est toujours pas un roman ), il est facile de deviner que Voltaire renonce à (verbe "réfuter") l’optimisme de Leibniz. Et dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En plus (autre mot pour former un connecteur moins familier), il a décrit la vie comme une un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : le pays d’ (ce n'est pas un pays : supprimer et ajouter un déterminant défini) éldorado (majuscule sans accent) et le musulman turc (remplacer par le nom du pays).
    Somme toute, Voltaire a réussi, à l’aide de Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.

    Merci de présenter votre correction ci-dessous.



    Réponse : Candide ou l'optimisme de nano2000, postée le 28-12-2020 à 17:59:34 (S | E)
    Bonjour,
    Merci jij33 de l'intérêt porté à mon message, voici la correction.
    Candide ou l’Optimisme, un conte philosophique de Voltaire, paru en 1759. Dans ce conte, Voltaire remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre de personnages. Les deux les principaux sont: le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme, et Candide, le fidèle élève de Pangloss. Candide représente une personne crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits de caractère.
    Pangloss enseigne tout à Candide, entre autres, l’optimisme de Leibniz. Il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car : tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et l’une de ses maximes les plus utilisées : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    Le premier mal ressenti par Candide est son bannissement du château de monsieur le baron de Thunder-tronckh et son éloignement de Mlle Cunégonde sa bienaimée. Après quoi, il se lance dans une succession d’aventures dans lesquelles il est agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il subit ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontre un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort est pareil au sien. Candide a découvert que la vie, en dehors du château, n’est autre chose qu’un combat dont la terre est l’arène. Un combat entre tous et pour tout, entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Quant à Candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, qu’elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss, il a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du conte, il est facile de deviner que Voltaire réfute à l’optimisme de Leibniz. Et dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En outre, il a décrit la vie comme une un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : l’éldorado et le turque.
    Somme toute, Voltaire a réussi, à l’aide de Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.



    Réponse : Candide ou l'optimisme de jij33, postée le 28-12-2020 à 23:13:36 (S | E)
    Bonsoir nano2000
    C'est mieux !

    Candide ou l’Optimisme, (il manque un verbe dans votre phrase) un conte philosophique de Voltaire, paru en 1759. Dans ce conte, Voltaire (un pronom personnel vous permettra d'éviter la répétition) remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre de personnages. Les deux les (enlever) principaux sont: (pas de signe de ponctuation) le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme, et Candide, le fidèle élève de Pangloss. Candide représente (être conviendrait mieux) une personne crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits de caractère.
    Pangloss enseigne tout à Candide, entre autres, l’optimisme de Leibniz. Il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car : (pas de signe de ponctuation) tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et (ajouter la préposition avec laquelle se construit "se référer") l’une de ses maximes les plus utilisées (un seul adjectif, synonyme de "préférées", suffirait) : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    Le premier mal (mieux : la première douleur) ressenti par Candide est son bannissement du château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronckh et son éloignement de Mlle (en toutes lettres) Cunégonde (virgule) sa bienaimée (en deux mots, avec trait d'union entre les deux). Après quoi, il se lance dans une succession d’aventures dans lesquelles il est agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il subit ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontre un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort est pareil (plutôt un synonyme) au sien. Candide (évitez cette répétition grâce à un pronom personnel) a découvert que la vie, en dehors du château, n’est autre chose (remplacer par un synonyme contenant un pronom indéfini suivi de son complément, "d'autre") qu’un combat dont la terre est l’arène. Un combat entre tous et pour tout, entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Quant à Candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, qu’elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss, (remplacez la virgule et le pronom il par une conjonction de coordination) il a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du conte, il est facile de deviner que Voltaire réfute à (pas de préposition, puisque réfuter est transitif direct) l’optimisme de Leibniz. Et (remplacer la conjonction par un connecteur) dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En outre, il a décrit la vie comme une un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : l’éldorado (pas d'accent avant deux consonnes) et le turque (orthographe de ce nom de pays).
    Somme toute, Voltaire a réussi, à l’aide de avec Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.

    -------------------
    Modifié par jij33 le 29-12-2020 13:54





    Réponse : Candide ou l'optimisme de nano2000, postée le 29-12-2020 à 18:30:21 (S | E)
    Bonjour,
    Merci infiniment jij33 de votre aide, voici la correction.
    Candide ou l’Optimisme, est un conte philosophique de Voltaire, paru en 1759. Dans ce conte, il remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre de personnages. Les deux principaux sont le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme, et Candide, le fidèle élève de Pangloss. Candide est une personne crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits de caractère.
    Pangloss enseigne tout à Candide, entre autres, l’optimisme de Leibniz. Il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et à l’une de ses maximes privilégiées : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    La première douleur ressentie par Candide est son bannissement du château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronckh et son éloignement de mademoiselle Cunégonde sa bien-aimée. Après quoi, il se lance dans une succession d’aventures dans lesquelles il est agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il subit ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontre un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort est pareil au sien. Il a découvert que la vie, en dehors du château, n’est rien d’autre qu’un combat dont la terre est l’arène. Un combat entre tous et pour tout, entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Quant à Candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, qu’elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss et a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du conte, il est facile de deviner que Voltaire réfute l’optimisme de Leibniz. Donc, dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En outre, il a décrit la vie comme une un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : l’eldorado et le paysan turc.
    Somme toute, Voltaire a réussi, avec de Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.



    Réponse : Candide ou l'optimisme de jij33, postée le 30-12-2020 à 08:13:35 (S | E)
    Bonjour
    Encore un petit effort et votre texte sera tout à fait correct !

    Candide ou l’Optimisme, (on ne sépare pas le sujet du verbe par une virgule) est un conte philosophique de Voltaire, paru en 1759. Dans ce conte, il remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre de personnages. Les deux principaux sont le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme, et Candide, le fidèle élève de Pangloss (on peut supprimer la répétition en remplaçant le groupe souligné par un déterminant possessif devant élève). Candide est une personne crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits de caractère.
    Pangloss enseigne tout à Candide, entre autres, l’optimisme de Leibniz. Il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et à l’une de ses maximes privilégiées (plutôt un adjectif de la même famille que faveur et favoriser) : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    La première douleur ressentie par Candide est son bannissement du château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronckh et son éloignement de mademoiselle Cunégonde sa bien-aimée. Après quoi, il se lance dans une succession d’aventures dans lesquelles il est agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il subit ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontre un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort est pareil (ce n'est pas incorrect, mais je pensais plutôt à semblable) au sien. Il a découvert que la vie, en dehors du château, n’est rien d’autre qu’un combat dont la terre est l’arène. Un combat entre tous et pour tout, entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Quant à Candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, qu’elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss et a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du conte, il est facile de deviner que Voltaire réfute l’optimisme de Leibniz. Donc vous avez remplacé une conjonction de coordination par... une autre conjonction . Employez un connecteur logique introduisant une explication : voir lien ci-dessous), dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En outre, il a décrit la vie comme une (vous n'avez pas vu que j'ai barré "une" dans mon intervention précédente : à supprimer) un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : l’eldorado (avec un E majuscule) et le paysan turc (pourquoi "le paysan turc" ? Candide et Cacambo vont en Turquie et, plus précisément, à Constantinople).
    Somme toute, Voltaire a réussi, avec de (supprimer) Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.

    Connecteurs logiques : Lien internet




    Réponse : Candide ou l'optimisme de nano2000, postée le 30-12-2020 à 18:02:38 (S | E)
    Bonjour,
    Merci jij33 de votre aide inconditionnelle, voici la correction.
    Candide ou l’Optimisme est un conte philosophique de Voltaire, paru en 1759. Dans ce conte, il remet en question le sujet de l’optimisme absolu du philosophe Leibniz. Pour ce faire, il a créé un grand nombre de personnages. Les deux principaux sont le docteur Pangloss, un philosophe qui adopte complètement les pensées de Leibniz sur l’optimisme, et Candide, le fidèle son élève. Candide est une personne crédule dont la naïveté, l’innocence, et la simplicité d’esprit sont les principaux traits de caractère.
    Pangloss enseigne tout à Candide, entre autres, l’optimisme de Leibniz. Il lui apprend que « Les choses ne peuvent être autrement, car tout étant pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin, tout est au mieux dans ce monde, le mal physique et moral est l’ombre d’une vie comblée de bonheur ». Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et à l’une de ses maximes favorables : « Il n’y a pas d’effet sans cause ». D’autres fois, il a recours au destin. Candide croit aveuglement aux pensées de son maitre sur l’optimisme.
    La première douleur ressentie par Candide est son bannissement du château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronckh et son éloignement de mademoiselle Cunégonde sa bien-aimée. Après quoi, il se lance dans une succession d’aventures dans lesquelles il est agressé, torturé, fouetté, trahi… En résumé, il subit ce que ne peut supporter l’être humain. Candide rencontre un grand nombre de personnes malheureuses dont le sort est semblable au sien. Il a découvert que la vie, en dehors du château, n’est rien d’autre qu’un combat dont la terre est l’arène. Un combat entre tous et pour tout, entre fort et fort, fort et faible, faible et faible. Quant à Candide, il est persuadé que la vie est synonyme de souffrance et de malheur, qu’elle est fondée sur la méchanceté, l’égoïsme, la tromperie et l’avarice de l’être humain.
    Face à ces expériences vécues et à cause des douleurs ressenties, Candide a renoncé à l’optimisme de son maitre Pangloss et a déclaré à haute voix, « Ô maitre Pangloss ! Il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ».
    D’après la lecture du conte, il est facile de deviner que Voltaire réfute l’optimisme de Leibniz. Ainsi, dans le but de convaincre le lecteur de la justesse de son approche, il a déformé la réalité en présentant, avec une exagération injustifiable, seulement les côtés obscurs de la vie. En même temps, il a totalement négligé les valeurs humaines sublimes supposées se trouver partout dans le monde. En outre, il a décrit la vie comme un enfer dépourvu de bonheur, à l’exception de deux exemples : l’Eldorado et la Turquie.
    Somme toute, Voltaire a réussi, avec Candide, à démontrer la fausseté de la théorie de Leibniz sur l’optimisme, mais au détriment de la réalité.



    Réponse : Candide ou l'optimisme de jij33, postée le 31-12-2020 à 00:17:32 (S | E)
    Bonsoir
    Votre texte est désormais correct, à ces exceptions près, mais il sera inutile de le renvoyer : "... et Candide, le fidèle son élève" -> et Candide, son fidèle élève. C'est ma faute : j'aurais dû vous dire de placer le déterminant possessif avant fidèle, et non avant élève.

    Pour justifier ses principes, Pangloss se réfère, parfois, à la logique et à l’une de ses maximes favorables : cet adjectif ne convient pas. Je pensais à "l'une de ses maximes favorites", ou "préférées".

    Bravo et bonne continuation.



    Réponse : Candide ou l'optimisme de nano2000, postée le 31-12-2020 à 10:56:47 (S | E)
    Bonjour,
    Merci infiniment jij33,je suis très reconnaissant.




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