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Rédiger le début d'un roman réaliste
Message de mat4562 posté le 04-01-2009 à 18:33:31
Bonjour,
je suis en seconde et je doit écrire un début de roman réaliste. J'ai réussis à rédiger cela:
A deux cent kilomètres de paris et à 70 kilomètres au nord de Reims, un jeune homme marchait à vive allure seul, tout en observant le paysage magnifique qui s’offrait à lui. La moisson s’annonçait bonne pour le mois d’avril de cette année de 1902, en effet, les champs étaient recouverts de maïs et de blé. Le vent de la campagne le faisait vaciller jusqu’au point de le faire tomber parfois : sur le sentier rocailleux sur lequel il marchait avec des souliers abîmés. Il était vêtu d’une cape rouge ressemblant fortement à celle du « petit Chaperon-rouge », d’une chemise à carreaux et à rayures blanches qui était déchiré sur le côté gauche, un pantalon déchiré au niveau des genoux et un chapeau d’épouvantail. Son visage était âpre, livide et imperceptible. Ce jeune paysan qui a connu 20 printemps était parti de Charleville-Mézières au nord de la France : sa ville natale, il y a 3 jours et demi en espérant trouver un travail dans la ville de Paris.
Lorsqu’il vit le crépuscule, il aperçut une cabane inhabitée contenant plusieurs bêtes infinitésimales ; prés d’une forêt, il décida d’y passer la nuit. Le lendemain matin, il reprit son périple. Trois jours plus tard, il arriva près de la ville de Paris et vit une charmante demoiselle, il eût rapidement un coup de foudre et ne pût s’empêcher de lui demander où se trouvait le Faubourg saint Honoré. Quelques minutes plus tard, il arriva à destination. Il s’arrêta devant le 17 et enleva son chapeau, tout en oscillant, puis entra d’un air à la fois joyeux et inquiétant. Il demanda au secrétaire à voir Monsieur Thierry. Au fil des secondes sont visage s’assombrissait.
que pensez vous de ce texte, je vous remercie de me signaler les différentes erreur contient ce texte.
Merci.
Cordialement
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Modifié par lucile83 le 14-03-2009 18:56
Message de mat4562 posté le 04-01-2009 à 18:33:31
Bonjour,
je suis en seconde et je doit écrire un début de roman réaliste. J'ai réussis à rédiger cela:
A deux cent kilomètres de paris et à 70 kilomètres au nord de Reims, un jeune homme marchait à vive allure seul, tout en observant le paysage magnifique qui s’offrait à lui. La moisson s’annonçait bonne pour le mois d’avril de cette année de 1902, en effet, les champs étaient recouverts de maïs et de blé. Le vent de la campagne le faisait vaciller jusqu’au point de le faire tomber parfois : sur le sentier rocailleux sur lequel il marchait avec des souliers abîmés. Il était vêtu d’une cape rouge ressemblant fortement à celle du « petit Chaperon-rouge », d’une chemise à carreaux et à rayures blanches qui était déchiré sur le côté gauche, un pantalon déchiré au niveau des genoux et un chapeau d’épouvantail. Son visage était âpre, livide et imperceptible. Ce jeune paysan qui a connu 20 printemps était parti de Charleville-Mézières au nord de la France : sa ville natale, il y a 3 jours et demi en espérant trouver un travail dans la ville de Paris.
Lorsqu’il vit le crépuscule, il aperçut une cabane inhabitée contenant plusieurs bêtes infinitésimales ; prés d’une forêt, il décida d’y passer la nuit. Le lendemain matin, il reprit son périple. Trois jours plus tard, il arriva près de la ville de Paris et vit une charmante demoiselle, il eût rapidement un coup de foudre et ne pût s’empêcher de lui demander où se trouvait le Faubourg saint Honoré. Quelques minutes plus tard, il arriva à destination. Il s’arrêta devant le 17 et enleva son chapeau, tout en oscillant, puis entra d’un air à la fois joyeux et inquiétant. Il demanda au secrétaire à voir Monsieur Thierry. Au fil des secondes sont visage s’assombrissait.
que pensez vous de ce texte, je vous remercie de me signaler les différentes erreur contient ce texte.
Merci.
Cordialement
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Modifié par lucile83 le 14-03-2009 18:56
Réponse: Rédiger le début d'un roman réaliste de bobulle, postée le 06-01-2009 à 11:57:58
Bonjour !
voici une deuxième correction (en vert)
A deux cents kilomètres de Paris et à 70 kilomètres au nord de Reims, un jeune homme marchait seul, à vive allure, tout en observant le magnifique paysage qui s’offrait à lui. La moisson s’annonçait bonne pour le mois d’avril de cette année 1902. En effet, les champs étaient recouverts de maïs et de blé. Le vent de la campagne les faisait vaciller jusqu’au point de le faire tomber parfois
, livide et imperceptible (Cet adjectif signifie "qui se voit à peine, et je ne vois pas ce que tu voulais dire). Ce jeune paysan qui a (avait, concordance des temps, action passée dans le récit) connu 20 (en lettres )printemps était parti de Charleville-Mézières au nord de la France, sa ville natale, il y a 3 (en lettres) jours et demi en espérant trouver un travail dans la ville de Paris (à Paris).Lorsqu’il vit le crépuscule (Au crépuscule), il aperçut une cabane inhabitée contenant plusieurs bêtes infinitésimales (cet adjectif est impropre, c'est un terme scientifique, pour désigner quelque chose d'infiniment petit). prés d’une forêt. Il décida d’y passer la nuit. Le lendemain matin, il reprit son périple. Trois jours plus tard, il arriva près de la ville de Paris et vit une charmante demoiselle. Il eût (l'accent circonflexe se met sur le subjonctif imparfait, ici, tu as un passé simple de l'indicatif) rapidement un coup de foudre et ne pût (même remarque) s’empêcher de lui demander où se trouvait le Faubourg saint Honoré. Quelques minutes plus tard, il arriva à destination. Il s’arrêta devant le numéro 17 et, enleva son chapeau tout en oscillant (emploie /vaciller/ ce qui est adapté à un sujet /hamain/;, /ociller/ ce serait plutôt pour un sujet /non vivant), puis entra d’un air à la fois joyeux et inquiétant. Il demanda au secrétaire à voir Monsieur Thierry. Au fil des secondes sont (orthographe grammaticale : son adj possessif, sont verbe être présent ind 3 ème pers pl)visage s’assombrissait.
je n'ai corrigé que le français, pas le fonds. Bravo pour ton niveau de langue, il est excellent!
Cordialement.
Bobulle.
Réponse: Rédiger le début d'un roman réaliste de jod47, postée le 06-01-2009 à 18:09:26
Bonjour à vous tous ,
je viens de lire le récit de mat ; c'est un texte intéressant , il y a cependant quelques termes non appropriés et quelques fautes ;je vais essayer de t'apporter un peu d'aide .
Tout d'abord , si je peux me permettre un avis tout personnel,et même si ton histoire se déroule au début du XX° siècle , tu pourrais utiliser le "présent de l'indicatif" , cela donne un peu plus de "vie" à un récit ,et n'interdit pas pour autant d'employer des temps au passé au cours du récit.
Cependant je vais quand même garder les temps que tu as utilisés .
"A deux cents kilomètres de paris et à 70 kilomètres ( attention : tu as mis les kilomètres en lettres la 1°fois ) au nord de Reims ,un jeune homme marchait à vive allure , seul, tout en observant le paysage magnifique qui s'offrait à lui .
La moisson s'annonçait bonne pour le mois d'Avril de cette année de ( supprime ° 1902 ; en effet , les champs étaient recouverts de maïs et de blés . ; Attention : cette phrase semble vouloir dire que les champs étaient prêts à être moissonnés ...un peu tôt pour un mois d'Avril!!!
Le vent ( de la campagne...?)le faisait vaciller jusqu' ( supprime) au point de le faire tomber parfois sur le sentier rocailleux sur lequel il marchait avec des souliers abimés (2 fois "sur" ,essaie d'alléger cette phrase ).
Il était vêtu d'une cape rouge ressemblant fortement à celle du "Petit Chaperon Rouge" ( pourquoi pas simplement : "semblable" ?), d'une chemise à carreaux et à rayures blanches ( carreaux ou rayures ??!!)
Son visage était " âpre"( ne me semble pas concerner un visage!), livide et "imperceptible" ( tu as peutêtre voulu dire :" impénétrable" ? )
Ce jeune paysan qui a connu 20 ( vingt) printemps , était parti de Charleville-Mézières au nord de la France ,sa ville natale, il y a trois jours et demi en espérant trouver un travail dans la ville de Paris .( Essaie d'alléger cette phrase en la restructurant )
Lorsqu'il vit le crépuscule ( pourquoi pas simplement : "Au crépuscule" ?)il aperçut une cabane inhabitée , contenant (terme mal approprié )plusieurs " bêtes"infinitésimales"
( voulais-tu dire : en grand nombre, petits nombres? ou très petites ?,s'agissait-il d'animaux domestiques ou de "bestioles" ?)près d'une forêt . Il décida d'y passer la nuit . Le lendemain , il reprit son périple . Trois jours plus tard il arriva près de ( la ville) Paris et vit une charmante demoiselle ,il eut rapidement un coup de foudre ( plus simple : "ce fut le coup de foudre "!!)et il ne pût s'empêcher de lui demander où se trouvait le faubourg Saint Honoré .( Ya-t-il une relation de cause à effet...??).Quelques minutes plus tard il arriva à destination . Il s'arrêta et enleva son chapeau tout en "oscillant" ??( que veux-tu dire ?), puis entra d'un air à la fois joyeux et inquiét
J'espère avoir pu t'apporter un peu d'aide !
bonne continuation!
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Modifié par jod47 le 06-01-2009 18:18
INDISPENSABLES : 