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    Exposé sur un article
    Message de alejandra62 posté le 27-04-2013 à 16:10:55 (S | E | F)
    Bon jour à tous et à toutes! Je vous remercie en avance pour l'aide dans la correction de mon exercice. Je m'exuse pour la longuère du texte!

    D’abord le journaliste introduise le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, le plus traditionnels, trouve aujourd’hui à cause d’internet. Un enseignant Loys Bonod, raconte le journaliste, a piégé ses élèves pour démontrer qu’eux ne sauvent pas travailler sans internet.
    Ensuite le journaliste se souvienne lorsqu’il était dans le lycée en les années 80, la quantité du temps qu’il employait pour préparer les devoirs. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendants cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet le savoir est immédiat et disponible. On constate, alors que l’enseignant n’est plus la seule garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité qui ne veule pas faire de changements, puisque les élèves continuent à se comporter dans la même manière dans la recherche des informations aujourd’hui comme hier : quelqu’un est satisfait des premières informations trouvées, d’autre cherchent encore plus information pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élève est toujours minoritaire. En effet le journaliste qui est aussi en enseignant constat que ses élèves trouvent en internet des pistes de réflexions et des éléments d’information. L’auteur n’hésite à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    En fin le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelqu’un voie internet comme la concurrence à leur savoir et non comme à un nouveau ressource. Il faut, donc, comme souligne le journaliste avec de l’ironie inventer de nouveau exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen pour tous le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire un nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et encore plus grave, à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen que les élèves utilisent seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité en se souvenir que tout change et rien est immobile.

    Merci!!!


    Réponse: Exposé sur un article de dolfine56, postée le 27-04-2013 à 18:18:34 (S | E)
    Bonjour,

    Je m'exuse pour la longuère du texte!

    D’abord le journaliste introduise--introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, le--il faut un pluriel plus traditionnels, trouve aujourd’hui à cause d’internet. Un enseignant Loys Bonod, raconte --quele journaliste, a piégé ses élèves pour démontrer qu’eux ne sauvent pas travailler sans internet.
    Ensuite le journaliste se souvienne--présent du verbe --quelorsqu’il était dans le --aulycée en--dans les années 80, la quantité du--de temps qu’il employait pour préparer les devoirs. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendants--pas de "s", et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet le savoir est immédiat et disponible. On constate, alors que l’enseignant n’est plus la--au masculin seule garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité qui ne veule--veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à se comporter dans --mal ditla même manière dans la recherche des informations aujourd’hui comme hier : quelqu’un est satisfait des premières informations trouvées, d’autre cherchent encore plus information--au pluriel pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élève est toujours minoritaire. En effet le journaliste qui est aussi en --pas le bon motenseignant constat--ortho que ses élèves trouvent en internet des pistes de réflexions et des éléments d’information. L’auteur n’hésite--pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    En fin le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelqu’un voie--ortho internet comme la concurrence à leur savoir et non comme à un nouveau--à mettre au féminin ressource. Il faut, donc, comme--le souligne le journaliste avec de l’ironie inventer de nouveau exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen pour tous--ortho le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire un nouvelle source du--pas le bon mot savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et encore plus grave, à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen que les élèves utilisent seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité en--pas le bon mot se souvenir que tout change et--que rien manque la >négation]
    est immobile.



    Réponse: Exposé sur un article de alejandra62, postée le 27-04-2013 à 19:24:14 (S | E)
    Bon jour et merci pour les corrections, elles sont très utiles


    D’abord le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouve aujourd’hui à cause d’internet. Un enseignant Loys Bonod, raconte le journaliste, a piégé ses élèves pour démontrer qu’eux ne sauvent pas travailler sans internet.
    Ensuite le journaliste se souvient que lorsqu’il était au lycée dans les années 80, la quantité de temps qu’il employait pour préparer les devoirs. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet le savoir est immédiat et disponible. On constate, alors que l’enseignant n’est plus le seule garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même manière de se comporter dans la recherche des informations aujourd’hui comme hier : quelqu’un est satisfait des premières informations trouvées, d’autre cherchent encore plus informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élève est toujours minoritaire. En effet le journaliste qui est aussi un enseignant constate que ses élèves trouvent en internet des pistes de réflexions et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    En fin le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelqu’un voit internet comme la concurrence à leur savoir et non comme à une nouvelle ressource. Il faut, donc, comme le souligne le journaliste avec de l’ironie inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et encore plus grave, à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen que les élèves utilisent seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité et se souvenir que tout change et que rien n'est immobile.



    Réponse: Exposé sur un article de alienor64, postée le 27-04-2013 à 22:03:00 (S | E)
    Bonsoir Alejandra



    " D’abord le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouve( pluriel ) aujourd’hui à cause d’internet. Un enseignant Loys Bonod, raconte le journaliste ( Cette portion de phrase est à modifier pour plus de clarté : " Le journaliste cite un enseignant , Loys....qui a piégé ..." ), a piégé ses élèves pour démontrer qu’eux( pronom personnel sujet ) ne sauvent( verbe " savoir " et non " sauver " ) pas travailler sans internet.
    Ensuite ( virgule ) le journaliste ( virgule )se souvient( verbe à déplacer devant " la quantité" sans oublier la préposition devant le verbe " se souvenir " ) que( à enlever ) lorsqu’il était au lycée dans les années 80,la quantité de temps qu’il employait( autre verbe : " passer " ) pour préparer les devoirs. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet ( virgule ) le savoir est immédiat et disponible. On constate,( virgule mal placée qui fausse le sens de la phrase : l'enlever ) alors ( virgule ) que l’enseignant n’est plus le seule( masculin ) garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité ( virgule ) qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même manière de se comporter dans la recherche des informations aujourd’hui comme hier : quelqu’un ( à mettre au pluriel sans oublier d'accorder le verbe et l'adjectif ) est satisfait des premières informations trouvées, d’autre( pluriel ) cherchent encore plus ( il manque un article élidé )informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élève( pluriel ) est toujours minoritaire. En effet( virgule ) le journaliste ( virgule ) qui est aussi un enseignant( virgule ) constate que ses élèves trouvent en ( autre préposition ) internet des pistes de réflexions( au singulier ) et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait( virgule ) ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    En fin ( en un seul mot + virgule )le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelqu’un( à mettre au pluriel et accorder le verbe ) ) voit internet comme la concurrence à leur savoir et non comme à( enlever ) une nouvelle ressource. Il faut,( virgule à enlever ) donc, comme le souligne le journaliste avec de l’( enlever ces deux articles ; " avec + nom " )ironie ( virgule )inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen ( c'est incomplet ! il faut préciser la nature de ce moyen ) pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et( virgule ) encore plus grave, ( enlever cette virgule ) à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen que les élèves utilisent seulement pour faire les exercices plus facilement( Vous pouvez alléger cette phrase et la reconstruire en remplaçant la relative par le participe passé du verbe " utiliser " accordé à " un moyen " ) . Il faut, donc, changer la mentalité et se souvenir que tout change et que rien n'est immobile ( ou plutôt " immuable " )."

    Bonne soirée !




    Réponse: Exposé sur un article de alejandra62, postée le 27-04-2013 à 23:13:30 (S | E)
    Bon soir et merci pour les corrections alienor, elles sont toujours très utiles!!
    D’abord le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouvent aujourd’hui à cause d’internet. Le journaliste cite un enseignant , Loys Bonod qui a piégé ses élèves pour démontrer qu’ils ne savent pas travailler sans internet.
    Ensuite, le journaliste, se souvient( verbe à déplacer devant " la quantité" sans oublier la préposition devant le verbe " se souvenir " ) lorsqu’il était au lycée dans les années 80,la quantité de temps qu’il passait pour préparer les devoirs. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet, le savoir est immédiat et disponible. On constate alors, que l’enseignant n’est plus le seul garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité, qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même manière de se comporter dans la recherche des informations aujourd’hui comme hier : quelques sont satisfaits des premières informations trouvées, d’autres cherchent encore plus d'informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élèves est toujours minoritaire. En effet, le journaliste, qui est aussi un enseignant, constate que ses élèves trouvent dans internet des pistes de réflexions( au singulier ) et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait, ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    Enfin, le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelques voient internet comme la concurrence à leur savoir et non comme une nouvelle ressource. Il faut donc, comme le souligne le journaliste avec ironie, inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen de l'information pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et, encore plus grave à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen utilisant seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité et se souvenir que tout change et que rien n'est immuable.
    Je n'est pas compris les corrections dans la phrase "Ensuite, le journaliste,se souvient..."
    Merci beaucoup!!



    Réponse: Exposé sur un article de rogermue, postée le 28-04-2013 à 08:03:49 (S | E)
    Bonjour alejandra62,

    je trouve la première phrase peu informative. J'aimerais quelque chose
    comme:
    L'article de journal dont je veux parler s'occupe de la relation entre l'Internet et l'école.
    Avec une telle introduction le lecteur saura dont vous voulez parler.
    Si vous commencez avec 'le journaliste', le lecteur ne sait pas de quel journaliste vous parlez.




    Réponse: Exposé sur un article de alienor64, postée le 28-04-2013 à 12:38:42 (S | E)

    Bonjour Alejandra

    C'est beaucoup mieux !

    " D’abord ( virgule )le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouvent aujourd’hui à cause d’internet. Le journaliste cite un enseignant , Loys Bonod qui a piégé ses élèves pour démontrer qu’ils ne savent pas travailler sans internet.
    Ensuite, le journaliste, se souvient( verbe à déplacer devant " la quantité" sans oublier la préposition devant le verbe " se souvenir " ) lorsqu’il était au lycée dans les années 80,la quantité de temps qu’il passait pour préparer les devoirs( cette phrase doit être construite différemment : " Ensuite , le journaliste se souvient de la quantité .... ses devoirs , lorsqu'il était au lycée ..." ou bien : " Le journaliste , lorsqu'il était au lycée , se souvient de la quantité ..." ). L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet, le savoir est immédiat et disponible. On constate alors, que l’enseignant n’est plus le seul garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité, qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même manière ( " façon" , plutôt ) de se comporter dans la recherche des informations ( virgule ) aujourd’hui comme hier : quelques- uns sont satisfaits des premières informations trouvées, d’autres cherchent encore plus d'informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élèves est toujours minoritaire. En effet, le journaliste, qui est aussi un enseignant, constate que ses élèves trouvent dans internet des pistes de réflexions( au singulier: faire la correction ) et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait, ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    Enfin, le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car quelques- uns( " ou plutôt : " certains " ) voient internet comme la ( mettre un article indéfini ) concurrence à leur savoir et non comme une nouvelle ressource. Il faut donc, comme le souligne le journaliste avec ironie, inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen de l ( enlever ces deux articles et mettre un article partitif élidé devant " information " ), 'information pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il a représenté( mieux : à conjuguer au présent ) aussi un révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et, encore plus grave à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen utilisant( il faut un participe passé employé comme adjectif et non un participe présent ) seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité et se souvenir que tout change et que rien n'est immuable.
    Je n'est pas compris les corrections dans la phrase "Ensuite, le journaliste,se souvient..." J'ai mis la correction dans le texte . Est-ce plus clair , pour vous ?

    Bon dimanche !



    Réponse: Exposé sur un article de alejandra62, postée le 28-04-2013 à 21:17:22 (S | E)
    Bon soir et merci!! j'espère que va mieux.

    " D’abord, le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouvent aujourd’hui à cause d’internet. Le journaliste cite un enseignant , Loys Bonod qui a piégé ses élèves pour démontrer qu’ils ne savent pas travailler sans internet.
    Ensuite, le journaliste, se souvient de la quantité de temps qu’il passait pour préparer les devoirs lorsqu’il était au lycée dans les années 80. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet, le savoir est immédiat et disponible. On constate alors, que l’enseignant n’est plus le seul garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité, qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même façon de se comporter dans la recherche des informations, aujourd’hui comme hier : quelques- uns sont satisfaits des premières informations trouvées, d’autres cherchent encore plus d'informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élèves est toujours minoritaire. En effet, le journaliste, qui est aussi un enseignant, constate que ses élèves trouvent dans internet des pistes de réflexion et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait, ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    Enfin, le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’autre nature, car certains voient internet comme une concurrence à leur savoir et non comme une nouvelle ressource. Il faut donc, comme le souligne le journaliste avec ironie, inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen d'information pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il représente aussi une révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et, encore plus grave à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen utilisé seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité et se souvenir que tout change et que rien n'est immuable.
    Encore merci beaucoup pour les corrections et bonne soirée!



    Réponse: Exposé sur un article de alienor64, postée le 28-04-2013 à 23:45:12 (S | E)

    Bonsoir Alejandra
    Juste quelques virgules à déplacer et deux points à modifier .....et votre texte sera parfait ! Vous faites du bon travail .

    " D’abord, le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouvent aujourd’hui à cause d’internet. Le journaliste cite un enseignant , Loys Bonod ( virgule ) qui a piégé ses élèves pour démontrer qu’ils ne savent pas travailler sans internet.
    Ensuite, le journaliste, ( enlevez la virgule ) se souvient de la quantité de temps qu’il passait pour préparer les devoirs lorsqu’il était au lycée dans les années 80. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet, le savoir est immédiat et disponible. On constate alors, que l’enseignant n’est plus le seul garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité, qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même façon de se comporter dans la recherche des informations, aujourd’hui comme hier : quelques- uns sont satisfaits des premières informations trouvées, d’autres cherchent encore plus d'informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élèves est toujours minoritaire. En effet, le journaliste, qui est aussi un enseignant, constate que ses élèves trouvent dans internet des pistes de réflexion et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait, ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    Enfin, le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’ une autre nature, car certains voient internet comme une concurrence à leur savoir et non comme une nouvelle ressource. Il faut donc, comme le souligne le journaliste avec ironie, inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen d'information pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il représente aussi une révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et, encore plus grave à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen utilisé seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer la mentalité( au pluriel : on parle " des mentalités " ) et se souvenir que tout change ( autre verbe , pour éviter une répétition ; " évoluer " par exemple ) et que rien n'est immuable."

    Bonne soirée !



    Réponse: Exposé sur un article de alejandra62, postée le 29-04-2013 à 19:17:20 (S | E)
    Bonjour alienor et merci beaucoup, je fait de bon travail, car vous faites des corrections très pertinants Voilà le texte corrigé.

    D’abord, le journaliste introduit le thème de l’article en expliquant les difficultés que quelques enseignants, les plus traditionnels, trouvent aujourd’hui à cause d’internet. Le journaliste cite un enseignant , Loys Bonod, qui a piégé ses élèves pour démontrer qu’ils ne savent pas travailler sans internet. Ensuite, le journaliste se souvient de la quantité de temps qu’il passait pour préparer les devoirs lorsqu’il était au lycée dans les années 80. L’auteur l’appelle « un marathon livresque », car la bibliothèque était, pendant, et plutôt à cette époque- là, la seule détentrice du savoir. Aujourd’hui, au contraire, grâce à internet, le savoir est immédiat et disponible. On constate alors, que l’enseignant n’est plus le seul garant du savoir. Donc, remarque le journaliste, c’est la pédagogie, en réalité, qui ne veut pas faire de changements, puisque les élèves continuent à avoir la même façon de se comporter dans la recherche des informations, aujourd’hui comme hier : quelques- uns sont satisfaits des premières informations trouvées, d’autres cherchent encore plus d'informations pour approfondir et affiner la recherche. Alors, rien n’est changé, car cette typologie d’élèves est toujours minoritaire. En effet, le journaliste, qui est aussi un enseignant, constate que ses élèves trouvent dans internet des pistes de réflexion et des éléments d’information. L’auteur n’hésite pas à renvoyer ses élèves vers internet qui est une nouvelle source du savoir. De fait, ce nouveau moyen est pour les élèves un chemin qui suscite leur curiosité et un champ de réflexion.
    Enfin, le problème que représente internet pour la pédagogie aujourd’hui est en réalité d’ une autre nature, car certains voient internet comme une concurrence à leur savoir et non comme une nouvelle ressource. Il faut donc, comme le souligne le journaliste avec ironie, inventer de nouveaux exercices.
    En conclusion, internet représente un nouveau moyen d'information pour tout le monde, mais surtout pour le monde académique. Il représente aussi une révolution pour tous, c’est-à-dire une nouvelle source du savoir. Alors, il est évident que la pédagogie traditionnelle ne veut pas changer et, encore plus grave à mon avis, elle veut juger internet comme un moyen utilisé seulement pour faire les exercices plus facilement. Il faut, donc, changer les mentalités et se souvenir que tout évolue et que rien n'est immuable.
    Bonjour et merci!!!



    Réponse: Exposé sur un article de alienor64, postée le 29-04-2013 à 19:33:16 (S | E)

    Bonsoir Alejandra

    Cette fois-ci , pas de correction à apporter ; votre texte est parfait !

    Bonne continuation !




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