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    Correction /Paresse

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    Correction /Paresse
    Message de sally568 posté le 25-12-2014 à 17:15:50 (S | E | F)
    Bonjour,
    J'ai besoin de la correction du mon sujet, je viens de poster à chaque fois un nouveau paragraphe, si vous permettez.
    Merci

    Pour bien résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut chercher ce qu’en les pratiques pédagogiques par la famille et même de l’école, qui serrent à le traduire. Pour aller plus loin et maitre les solutions possibles à chaque cas.
    Ce ci pousser le système scolaire d’obtenir des traitements pédagogiques spécifiques, pour encourager ces élèves d’aimer l’éducation, sans aucune discrimination qui s’en fait les sentir à mépris.
    -------------------
    Modifié par bridg le 07-01-2015 16:22


    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 25-12-2014 à 19:09:22 (S | E)
    Bonsoir Sally568

    Pour bien(inutile : enlever) résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut chercher ce qu’en( il manque certainement un verbe, ici !) les pratiques pédagogiques par la famille et même de l’école, qui serrent à le traduire( de à : incompréhensible ! A reformuler). Pour aller plus loin et maitre(orthographe : vous confondez deux mots homophones : un substantif et un verbe infinitif : les deux se prononcent de la même façon mais les sens sont différents. Ici, il faut l'infinitif) les solutions possibles à chaque cas.( enlevez le point, la phrase continue) Ce ci( à quoi ou à qui renvoient ces deux démonstratifs ? S'ils se rapportent aux ' solutions possibles', mettre pronom démonstratif féminin pluriel ) pousser(à conjuguer) le système scolaire d'(autre préposition )obtenir des traitements pédagogiques spécifiques, pour encourager ces élèves d'(autre préposition)aimer l’éducation, sans aucune discrimination qui s'en fait les sentir à mépris(incompréhensible ! A reformuler).

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 31-12-2014 à 22:26:19 (S | E)
    Pour résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut savoir quels sont les pratiques pédagogiques par la famille et même de l’école qui ont mis en place une influence consistant non seulement à découvrir ceux qu'ils sont atteints de la paresse mais à déployer tous les moyens visant à traiter leurs situation, celle de ces moyens est d'encourager ces élèves à aimer l'éducation.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 01-01-2015 à 00:04:54 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    Votre phrase est excessivement longue ! Vous devez mettre des ponctuations pour la rendre ...lisible !

    Pour résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut savoir quels(accord avec 'pratiques ' : mot féminin) sont les pratiques pédagogiques par( cette préposition doit être précédée soit d'un participe passé accordé à ' pratiques pédagogiques ', soit d'une locution ; par exemple, une pratique est 'en usage dans...'/ appliquée par ...'/ ' exercée par'/ 'exercée dans ') la famille et même de(autre préposition) l’école( ici, mettre un point et commencer une nouvelle phrase) qui( à enlever et à remplacer par un substantif sujet de 'ont mis')) ont mis en place une influence(autre mot) consistant non seulement à découvrir(autre verbe : 'repérer') ceux qu'ils(erreur : mettre pronom relatif sujet) sont atteints de la(enlever) paresse mais aussi à déployer tous les moyens visant à traiter leurs(singulier) situation,(autre ponctuation que cette virgule) celle (erreur : mettre un pronom indéfini masculin )de ces moyens est d'encourager ces élèves à aimer l'éducation.
    Pour vous aider avec les déterminants indéfinis : Lien internet
    Lien internet
    Très Heureuse Année !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 01-01-2015 à 13:05:53 (S | E)
    Bonsoir
    Pour résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut savoir quelles sont les pratiques pédagogiques appliquées par la famille et celle de l’école. Le systéme scolaire a mis en place des pratiques convenables consistants non seulement à repérer ceux qui sont atteints de paresse, mais aussi à déployer tous les moyens visant à traiter leur situation comme d'encourager ces élèves à aimer l'éducation.
    Merci !



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 01-01-2015 à 16:54:23 (S | E)
    Bonjour Sally568
    C'est beaucoup mieux !
    Pour résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut savoir quelles sont les pratiques pédagogiques appliquées par la famille et celle de l’école. Le systéme scolaire a mis en place des pratiques convenables(mieux :'efficaces')consistants(participe présent : invariable) non seulement à repérer ceux qui sont atteints de paresse, mais aussi à déployer tous les moyens visant à traiter leur situation comme ceux d'encourager ces élèves à aimer l'éducation.(Dans le texte précédent, j'avais noté : 'article indéfini masculin' dans cette dernière phrase. Voici comment le placer : ' ...tous les moyens visant à traiter leur situation, l'un d'eux étant d'encourager...'/ ou bien : ' un de ces moyens étant d'encourager...').
    Pour vous aider à faire la différence entre participe présent et adjectif verbal : Lien internet
    Bonne journée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 01-01-2015 à 17:43:21 (S | E)
    Bonjour ,

    Voilà : Pour résoudre le problème scolaire de la paresse chez les élèves, il faut savoir quelles sont les pratiques pédagogiques appliquées par la famille et celle de l’école. Le systéme scolaire a mis en place des pratiques efficaces consistant non seulement à repérer ceux qui sont atteints de paresse, mais aussi à déployer tous les moyens visant à traiter leur situation, un de ces moyens étant d'encourager ces élèves à aimer l'éducation.

    Merci bcp
    Je viens à commencer par un nouveau paragraphe..



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 01-01-2015 à 23:06:24 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    Juste une erreur que je n'avais pas remarquée !
    '...il faut savoir quelles sont les pratiques pédagogiques appliquées par la famille et celle(pluriel : ce pronom représente 'les pratiques') de l’école.'
    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sergiomax, postée le 02-01-2015 à 07:27:45 (S | E)
    Bonjour Sally568,
    Un petit détail à vous proposer pour compléter l'aide de Alienor64.
    Dans "Le systéme (l'accent aigu ne convient pas) scolaire".
    Bonne journée.



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 02-01-2015 à 18:04:35 (S | E)
    Bonjour !
    Merci "alienor64" et "sergiomax" Pour votre assistance

    Cela mon nouveau paragraphe ::

    « Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées » cette nouvelle situation pédagogique m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance de tenir compte les développements au sein du processus éducatif.
    En effet, Les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante à évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques environ l’évaluation scolaire de manière à ce que les notes se mettent de manière plus équitable.

    Bonne journee



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 02-01-2015 à 18:49:10 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    Cela(Ceci est ) mon nouveau paragraphe :

    'Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées '(ici, mettre une ponctuation) cette nouvelle situation pédagogique m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance de tenir compte les( autre article contracté) développements au sein du processus éducatif.
    En effet,Les(pas de majuscule)notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante à(autre préposition : de but) évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques environ(incorrect : mettre soit un adjectif, soit un verbe infinitif précédé d'une préposition indiquant le but) l’évaluation scolaire de manière à ce que les notes se mettent(autre verbe : ' attribuer' au subjonctif voix passive) de manière plus équitable.

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 03-01-2015 à 12:38:46 (S | E)
    Bonjour
    je suis heureuse de votre super assistance !

    'Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation pédagogique m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements au sein du processus éducatif.
    En effet,les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante d'évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques qu'en appliquer environ l’évaluation scolaire de manière à ce que les notes s'attribuent de manière plus équitable.

    Bonne journée



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 03-01-2015 à 21:49:30 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    'Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation pédagogique m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements( C'est imprécis ! De quels 'développements' parlez-vous ?) au sein du processus éducatif.
    En effet,les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante d'(autre préposition indiquant le but)évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques qu'en appliquer environ(à enlever car incompréhensible ! Mettre : préposition indiquant le but + ' appliquer '/ 'mettre en place'/ réaliser)l’évaluation scolaire de manière à ce que les notes s'attribuent(conjuguer ce verbe au subjonctif , forme passive et non active) de manière plus équitable.

    Pour vous aider à exprimer le but : Lien internet
    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 05-01-2015 à 05:17:38 (S | E)
    Bonjour

    Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements pédagogiques au sein du processus éducatif.
    En effet, les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante pour évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques appliqués sur l’évaluation scolaire de manière à ce que les notes soient attribuées de manière plus équitable.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 05-01-2015 à 18:03:56 (S | E)
    Bonjour Sally568
    C'est nettement mieux !

    Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements pédagogiques au sein du processus éducatif.
    En effet, les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante pour évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques appliqués sur(mal dit : à enlever et à remplacer par : préposition de but suivie de l'infinitif : ' mettre en place'/ ' être appliqués à ') l’évaluation scolaire(virgule) de manière à ce que les notes soient attribuées de manière ( répétition : pour l'éviter, mettre : ' avec plus' suivi du substantif( 'équitable' en étant l'adjectif) plus équitable.

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 06-01-2015 à 12:54:59 (S | E)
    Bonsoir ,

    Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements pédagogiques au sein du processus éducatif.
    En effet, les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante pour évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques être appliqués à l’évaluation scolaire, de manière à ce que les notes soient attribuées avec une stratégie plus équitable.






    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 06-01-2015 à 20:40:02 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    Votre travail s'affine à chaque correction ; c'est bien !

    'Des classes ne sont plus évaluées par notes chiffrées ' : cette nouvelle situation m'a inspirée, parce qu'elle a mis en place l’importance des développements pédagogiques au sein du processus éducatif.
    En effet, les notes chiffrées ne peuvent pas préciser le niveau d'apprentissage particulier de chaque élève. La note est une mesure insuffisante pour évaluer l'atteinte des objectifs éducatifs. Nous avons besoin de développer tous les moyens pédagogiques pour être appliqués(peut être mieux exprimé : '...les moyens pédagogiques indispensables à l'évaluation....) à l’évaluation scolaire, de manière à ce que les notes soient attribuées avec une stratégie plus équitable.(ou bien ' avec plus d'équité ', 'équité ' étant le substantif conseillé dans la précédente correction).

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 07-01-2015 à 15:02:39 (S | E)
    Bonsoir,

    Voici ma fiche universitaire, j'ai besoin de votre assistance pour la correction et toujours merci,

    Introduction
    « Qui je suis » c’est l’expression qui vise juste à comprendre les différentes définitions au niveau de principe de « valeurs ». Mais quand on dit « transmettre des valeurs », ce n’est pas des transformes que l’on a, c’est un « être », ce qui va nous définir. Hélas ce concept est plus profond à ce qu’en les définitions théoriques ont expliqué dans les plusieurs lectures portant sur ce sujet.
    D’abord, avant de discuter les dispositifs de la transmission des valeurs, il faut expliquer comment en faite ces valeurs vont constituer sous forme d’un processus, parce que les valeurs sont des choses intégrées, ne sont pas des vêtements, mais des éléments de notre être, que l’on porte comme des lumières à l’intérieur de nous-mêmes, elles définissent notre caractère.
    Le milieu familial est certes à la base de tout être, il est le fondateur de la personne. Nous avons choisi à notre avis, des trois conditions principales qui mettent en évidence le milieu familial capable de produire juste tels transmission des valeurs précises. Et après on va les comparer avec les caractéristiques du climat scolaire, car ce dernier est le dispositif le plus important de socialisation.
    1- La confiance en « soi »
    La confiance en soi de l’individu en se déterminant, ça veut dire avoir dès l’enfance une confiance dans la force qui signifie la solidité des racines par la famille pour éduque comment à « être ». La famille qui ne devrait pas être l’espace de la transparence devient l’espace de la dissimulation, et donc la confiance passe par cela, elle doit avoir un milieu être capable de gérer et d’entendre ses peurs. En plus, dans un couple, on doit oser se dire les choses et accorder sur la base des valeurs clairement.
    2- L’équilibre
    « La justice n’est pas la finalité » : en termes d’éducation quand on parle de valeurs on ne parle pas simplement du respect de la règle, on parle du respect des principes moraux et idéaux, des manières de penser, de sentir, d’agir, etc.
    de cette dimension très profonde qui explique l’apprendre par l’amour, et pas toujours par la relation droit-devoir. Nous devons donc gérer le processus de transmission des valeurs ou des normes avec un bon équilibre entre les règles d’un part, et l’ordre de pardon, de cœur, d’autre part.
    3- L’informel
    Comme la situation d’enceinte qui permet de tout passe par sensation de son corps et atteindre l’enfant, ainsi beaucoup de choses au sein de processus d’éducation se passent dans « l’informel ». Nous pouvons traduire des messages à l’enfant sans mots verbaux mais par des pratiques informels ; L’imitation des parents, la sensation de la tension de caresse, et la sensation d’avoir un espace privé, sont tous des exemples effectifs environ l’enfant. Quand on fait l’attention sur cette réalité, on peut donc toucher mieux tous les agents qui entourent le processus de la transmission des valeurs par réponse à la question « comment ? »
    La socialisation et la relation école-famille
    « Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au long de sa vie les éléments socioculturels de son milieu » ¹
    Lors de la socialisation l’enfant va donc acquérir un certains nombre d’éléments, de manière de faire, de règles qu’on peut regrouper sous les termes de normes et valeurs. Partout ce n’est pas la société en tant que telle qui transmet des valeurs à l’enfant mais l’action de groupes qui lui servent d’intermédiaires. La famille et l’école sont des agents de socialisation, sont autant d’institutions qui jouent ce rôle.
    On peut également définir l’école comme un milieu d’interaction et d’intégration de traits culturels propres aux personnalités des individus suite à des échanges entre eux, mais surtout c’est la famille qui mène à l’individu de faire le prolongement de son espace privé à fin de l’appliquer sur l’environnement notamment l’école. C’est à contraire de la théorie de Durkheim, car selon lui l’individu est un être social insère dans un réseau de corps intermédiaires, et il est difficile par cette définition d’assumer conception contractuelle de la famille.
    A l’inverse, quand on va traiter le processus de la transmission des valeurs, on a besoin d’étudier au profond à l’aide de l’approche microsociologie ce que permet d’analyser les termes individuels, du milieu familial jusqu'à l’école. Car L'époque où la population vivait l'école comme un vecteur de mobilité et d'intégration est terminé, maintenant elle est vue comme un obstacle. Quelque soit quels valeurs le système scolaire les produit, à ce moment ça la discussion la plus importante en terme d’éducation est comment on réduit l’ambivalence entre le « output » de l’école et celle de la famille.



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 07-01-2015 à 15:04:00 (S | E)
    Le professeur français de sociologie Didier Lapeyronnie a discuté dans une réunion éducative que les enfants sont rarement positifs sur les souvenirs qu’ils ont de l’école. Les familles pensent que l’école n’est plus un vecteur d’ascension sociale. Elles ne sont jamais satisfaire sur le comportement changé de son enfant, ceci est plus important pour elles avant même les notes scolaires. L’image est plutôt négative. ²
    Lapeyronnie participe dans des projets serrent à prendre l’innovation comme nouvelle stratégie pour reconstruire le système scolaire de manière à ce que permet de savoir le type d’individu qu’il doit former, en engageant les parents dans ce processus d’après la relation complémentaire école-famille.
    Cela permet d’acquérir la « confiance » au sein du climat scolaire qui est capable par tout d’interagir au quotidien avec les élèves, avec les collègues, avec les enseignants, avec des administrateurs et membres du personnel scolaire et avec les parents d’élèves. C’est le premier point convergence évidemment discuté dessus sur le milieu familial.
    D’autre part, professeur en sciences de l'éducation, Philippe Meirieu s'intéresse à l'expression: « mettre l'élève au cœur du système » ³. Cette formule exprime que le système scolaire convient d’accompagner les élèves au plus prés de leurs besoins. Si on revient sur les deux points de base restes (l’équilibre et l’informel) au train de la transmission des valeurs dans le milieu familial, ce sont dans l’école : l’équilibre d’appliquer « la justice scolaire » et l’informel des pratiques appliqués, de manière à ce que prendre en considération les besoins des élèves et la différenciation entre eux.

    La participation (école-famille) est-elle la solution ?
    Comme nous avons déjà vu, le processus de transmission des valeurs dans le milieu familial et celle de l’école, se passe selon des dimensions similaires, même s’ils ont des différentes caractéristiques et des pratiques. La famille et l’école se marchent parallèle au train de ce processus, ce qui se nous conduit de reconstruire le pont de la relation école-famille.
    L’intégration passe par la participation. Il suppose tout d’abord une ouverture de l’école et une collaboration avec les parents. On y trouve une voie à double sens (école-famille, famille-école) selon la perspective interactionniste qui s’intéresse aux rapports établis entre des acteurs dans des situations données.¹ L’interactionnisme est anti Durkheimien : il n’y a de réalité que la réalité de l’individu. Il n’y a rien qui pèse sur l’individu. Pour les interactionnistes, les individus ne subissent pas les faits sociaux, ils les produisent.
    L’interactionnisme est une théorie de l’action sociale selon laquelle la constitution de la société et son changement se produisent à travers les échanges interindividuels, malgré l’opposition des structuralistes.
    En effet, l’étude du milieu familial et scolaire, du fait de leur importance en tant que milieux favorisant les interactions précoces, a un fort impact sur les processus de socialisation de l’enfant. L’enfant est immergé dans deux systèmes éducatifs distincts (école, famille), séparés dans le temps et dans l’espace. Pour faire face aux conflits de normes et de valeurs qui surviennent, les deux systèmes doivent participent à partir des interactions selon une approche éthique, un garant du processus d’intégration.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 08-01-2015 à 14:27:07 (S | E)
    Bonjour Sally568

    Introduction
    « Qui je suis » c’est l’expression qui vise juste à comprendre les différentes définitions au niveau de principe(pluriel) de « valeurs ». Mais quand on dit « transmettre des valeurs », ce n'est pas des transformes( ce mot n'existe pas !) que l'on a(incompréhensible), c’est un « être », ce qui va nous définir. Hélas(ici, point d'exclamation) ce concept est plus profond à ce qu'en les définitions théoriques ont expliqué( erreur de construction. 'plus profond' indique une comparaison que vous devez compléter par un élément, un mot, indispensable. Vous le ferez suivre de ' ce qu'en '+ verbe 'expliquer' au passé composé + sujet de ce verbe) dans les plusieurs lectures portant sur ce sujet.
    D’abord, avant de discuter (ici, préposition)les dispositifs de la transmission des valeurs, il faut expliquer comment en faite( 'en fait ' entre deux virgules) ces valeurs vont constituer( ici, verbe pronominal) sous (ici, article défini)forme d’un processus, parce que les valeurs( répétition ; à remplacer par pronom) sont des choses intégrées, ne sont pas des vêtements, mais des éléments de notre être, que l’on porte comme des lumières à l’intérieur de nous-mêmes, elles définissent notre caractère.
    Le milieu familial est certes à la base de tout être, il est le fondateur de la personne. Nous avons choisi à notre avis(à enlever car pléonasme avec ' avons choisi'), des( à placer après 'trois') trois conditions principales qui mettent en évidence le milieu familial capable de produire juste tels transmission des valeurs précises( à reformuler avec : 'valeurs...' + verbe infinitif ('transmission 'en est le substantif), précédé d'une préposition). Et après ( mal dit : ' Ensuite') on va( éviter l'emploi de 'on '; mettre pronom 1ère personne du pluriel) les comparer avec les caractéristiques du climat scolaire, car ce dernier est le dispositif le plus important de (ici, article défini)socialisation.
    1- La confiance en « soi »
    La confiance en soi del'individu en se déterminant(enlever car inutile et confus), ça veut dire(enlever ; verbe ' signifier ' à conjuguer) avoir dès l’enfance une confiance dans la force qui signifie( autre verbe : ' indiquer / démontrer / prouver ) la solidité des racines par la famille pour éduque(infinitif) comment à(enlever) « être ». La famille qui ne devrait pas être( au présent et non au conditionnel) l’espace de la transparence devient l’espace de la dissimulation, et donc la confiance passe par cela, elle doit avoir un milieu(virgule) être capable de gérer et d’entendre ses peurs. En plus( De plus), dans un couple, on doit oser se dire les choses et accorder(pronominal) sur la base des(singulier) valeurs(mettre un adjectif à ce mot) clairement(après l'infinitif).
    2- L’équilibre
    « La justice n’est pas la finalité » : en termes d’éducation(virgule) quand on parle de valeurs (virgule)on ne parle pas simplement du respect de la règle, on parle du respect des principes moraux et idéaux, des manières de penser, de sentir, d’agir, etc(à éviter dans un exposé).
    de cette dimension très profonde qui explique l'apprendre (substantif)par l’amour, et pas toujours par la relation droit-devoir. Nous devons donc gérer le processus de transmission des valeurs ou des normes avec un bon équilibre entre les règles d’un( le mot 'part' est féminin) part, et l’ordre de pardon, de cœur, d’autre part ( Ce n'est pas très clair).
    3- L’informel
    Comme la situation d'enceinte qui permet de tout passer par sensation de son corps et atteindre l'enfant( A reformuler car difficilement compréhensible), ainsi beaucoup de choses au sein de(du) processus d’éducation se passent dans « l’informel ». Nous pouvons traduire des messages à l’enfant sans mots verbaux mais par des pratiques informels(accord) ; L'(pas de majuscule)imitation des parents, la sensation de la tension( enlever ) de caresse, et la sensation d’avoir un espace privé, sont tous des exemples effectifs environ(adjectif) l’enfant.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 08-01-2015 à 15:11:48 (S | E)
    La suite !
    Quand on fait l'(enlever)attention sur(autre préposition)cette réalité, on peut donc toucher mieux(devant l'infinitif) tous les agents qui entourent le processus de la transmission des valeurs par(enlever ; ' en ') réponse à la question « comment ? »
    La socialisation et la relation école-famille
    « Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au long de sa vie les éléments socioculturels de son milieu » ¹
    Lors de la socialisation (virgule)l’enfant va donc acquérir un certains nombre d’éléments, de(pluriel) manière (pluriel)de faire(autre verbe), de(pluriel) règles qu’on peut regrouper sous les termes de normes et valeurs. Partout(Enlever : inutile) ce n’est pas la société en tant que telle qui transmet des valeurs à l’enfant mais l’action de groupes qui lui servent d’intermédiaires. La famille et l’école sont des agents de socialisation, sont( enlever et mettre conjonction de subordination exprimant une comparaison) autant d'institutions qui jouent( enlever : mettre participe présent) ce rôle.
    On peut également définir l’école comme un milieu d’interaction et d’intégration de traits culturels propres aux personnalités des individus suite à des échanges entre eux, mais surtout c’est la famille qui mène à(enlever) l’individu de(autre préposition) faire le prolongement de son espace privé à fin( en un seul mot) de l’appliquer sur(autre préposition) l'( enlever ; adjectif possessif)environnement notamment l’école. C’est à(enlever ; article défini) contraire de la théorie de Durkheim, car selon lui l’individu est un être social insère( participe passé) dans un réseau de corps intermédiaires, et il est difficile par cette définition d’assumer (ici, article indéfini)conception contractuelle de la famille.
    A l’inverse, quand on va traiter le processus de la transmission des valeurs, on a besoin d’étudier au profond( incorrect ) à l’aide de l’approche microsociologie(adjectif) ce que( pronom relatif sujet et non complément) permet d’analyser les termes individuels, du milieu familial jusqu'à l’école. Car L(minuscule)'époque où la population vivait l'école comme un vecteur de mobilité et d'intégration est terminé(accord), maintenant elle est vue comme un obstacle. Quelque ( en deux mots et au féminin pluriel + accorder le verbe au pluriel)soit quels(enlever ; article défini) valeurs que le système scolaire les(enlever) produit, à ce moment ça(erreur ! il faut un adverbe pour préciser le mot qui précède, et mettre un trait d'union entre cet adverbe( un tout petit mot ) et 'moment ') la discussion la plus importante en terme d’éducation est comment on réduit( enlever ; mettre infinitif) l’ambivalence entre le « output » de l’école et celle( à quel mot se rapporte ' celle' ?) de la famille.

    Bonne journée !



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 08-01-2015 à 15:39:41 (S | E)
    On continue ???


    Le professeur français de sociologie (virgule)Didier Lapeyronnie(virgule) a discuté( autre participe : ' déclaré' car on 'discute de / sur quelque chose et non que quelque chose. Par contre, on 'déclare que' quelque chose / quelqu'un+ verbe) dans une réunion éducative que les enfants sont rarement positifs sur les souvenirs qu’ils ont de l’école. Les familles pensent que l’école n’est plus un vecteur d’ascension sociale. Elles ne sont jamais satisfaire(adjectif) sur(autre préposition) le comportement changé(incorrect : ' changement de comportement ) de son(autre adjectif possessif) enfant, ceci est(participe présent) plus important pour elles avant même les notes scolaires. L’image est plutôt négative. ²
    Lapeyronnie participe dans (autre préposition)des projets serrent( n'a pas de sens ! autre verbe au participe présent) à prendre l’innovation comme une nouvelle stratégie pour reconstruire le système scolaire de manière à ce que( à élider et à faire suivre d'un pronom personnel sujet) permet(subjonctif) de savoir( autre verbe : ' connaître') le type d’individu qu’il doit former, en engageant les parents dans ce processus (virgule)d’après la relation complémentaire école-famille.
    Cela permet d’acquérir la « confiance » au sein du climat scolaire qui est capable par tout( en un seul mot et après l'infinitif , suivi d'une conjonction de coordination) d’interagir au quotidien avec les élèves, avec les collègues, avec les enseignants, avec des administrateurs et membres du personnel scolaire et avec les parents d’élèves. C’est le premier point de convergence évidemment(adverbe après le présentatif ' C'est' et entouré de deux virgules) discuté dessus (enlever)sur le milieu familial.
    D’autre part, professeur en sciences de l'éducation, Philippe Meirieu s'intéresse à l'expression: « mettre l'élève au cœur du système » ³. Cette formule exprime que le système scolaire convient( incorrect ; mettre forme impersonnelle de ' convenir ' précédée du pronom ' que 'élidé + au système scolaire ) d’accompagner les élèves au plus prés de leurs besoins. Si on revient sur les deux points de base restes( erreur )(l’équilibre et l’informel) au train( que voulez-vous dire ?) de la transmission des valeurs dans le milieu familial, ce sont dans l’école : l’équilibre d'( préposition)appliquer « la justice scolaire » et l’informel des pratiques appliqués(accord), de manière à ce que prendre( à conjuguer en mettant un sujet) en considération les besoins des élèves et la différenciation entre eux.




    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 08-01-2015 à 15:54:30 (S | E)
    La suite !
    La participation (école-famille) est-elle la solution ?
    Comme nous l'avons déjà vu, le processus de transmission des valeurs dans le milieu familial et celle( il s'agit du 'milieu') de l’école, se passe selon des dimensions similaires, même s’ils ont des différentes caractéristiques( devant l'adjectif) et des pratiques( après 'caractéristiques 'et devant l'adjectif). La famille et l’école se marchent( verbe non pronominal) en parallèle ( mieux que 'en parallèle ' : 'de concert'/ 'main dans la main') au train( que voulez-vous dire ?) de ce processus, ce qui se (enlever)nous conduit de(autre préposition) reconstruire le pont de la relation école-famille.
    L’intégration passe par la participation. Il( pronom mis pour ' intégration') suppose tout d’abord une ouverture de l’école et une collaboration avec les parents. On y trouve une voie à double sens (école-famille, famille-école) selon la perspective interactionniste qui s’intéresse aux rapports établis entre des acteurs dans des situations données.¹ L’interactionnisme est anti Durkheimien : il n’y a de réalité que la réalité de l’individu. Il n’y a rien qui pèse sur l’individu. Pour les interactionnistes, les individus ne subissent pas les faits sociaux, ils les produisent.
    L’interactionnisme est une théorie de l’action sociale selon laquelle la constitution de la société et son changement se produisent à travers les échanges interindividuels, malgré l’opposition des structuralistes.
    En effet, l’étude du milieu familial et scolaire, du fait de leur importance en tant que milieux favorisant les interactions précoces, a un fort impact sur les processus de socialisation de l’enfant. L’enfant est immergé dans deux systèmes éducatifs distincts (école, famille), séparés dans le temps et dans l’espace. Pour faire face aux conflits de normes et de valeurs qui surviennent, les deux systèmes doivent participent( infinitif)(virgule) à partir des interactions selon une approche éthique,(ici, il manque une préposition et un verbe infinitif pour respecter la construction de 'participer ') un garant du processus d’intégration.

    Bonne continuation !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 08-01-2015 à 18:37:00 (S | E)
    Bonjour !

    Merciiiii


    Introduction

    « Qui je suis » c’est l’expression qui vise juste à comprendre les différentes définitions au niveau de principes de « valeurs ». Mais quand on dit « transmettre des valeurs », ce n'est pas de transformation que l'on a pour les enfants. C’est un « être », ce qui va nous définir. Hélas ! Ce concept est plus profond à les définitions théoriques qui ont expliqué dans les plusieurs lectures portant sur ce sujet.

    D’abord, avant de discuter dans cette étude, les dispositifs de la transmission des valeurs, il faut expliquer comment, en fait, ces valeurs vont se constituer d’un processus, parce qu’elles sont des choses intégrées, ne sont pas des vêtements, mais des éléments de notre être, que l’on porte comme des lumières à l’intérieur de nous-mêmes, elles définissent notre caractère.
    Le milieu familial est certes à la base de tout être, il est le fondateur de la personne. Nous avons choisi trois des conditions principales qui mettent en évidence le milieu familial capable de produire justement des valeurs précises. Ensuite, nous allons les comparer avec les caractéristiques du climat scolaire, car ce dernier est le dispositif le plus important de la socialisation.

    1- La confiance en « soi »
    La confiance en soi signifie d’avoir dès l’enfance une confiance dans la force qui prouver la solidité des racines par la famille pour éduquer comment « être ». La famille qui ne doit pas être l’espace de la transparence devient l’espace de la dissimulation, et donc la confiance passe par cela, elle doit avoir un milieu, être capable de gérer et d’entendre ses peurs. De plus, dans un couple, on doit oser se dire les choses et s’accorder sur la base de valeurs choisis clairement.

    2- L’équilibre
    « La justice n’est pas la finalité » : en termes d’éducation, quand on parle de valeurs, on ne parle pas simplement du respect de la règle, on parle du respect des principes moraux et idéaux, des manières de penser, de sentir, d’agir... de cette dimension très profonde qui explique l'apprentissage par l’amour, et pas toujours par la relation droit-devoir. Nous devons donc gérer le processus de transmission des valeurs ou des normes avec un bon équilibre entre les règles d’une part, et l’agir pardonné, d’autre part.


    3- L’informel
    Comme en considération l’enceinte influe à son bébé par la sensation, ainsi beaucoup de choses au sein du processus d’éducation se passent dans « l’informel ». Nous pouvons traduire des messages à l’enfant sans mots verbaux mais par des pratiques informelles ; l'imitation des parents, la sensation de caresse, et la sensation d’avoir un espace privé, sont tous des exemples effectifs entourés l’enfant.
    Quand on fait attention à cette réalité, on peut donc mieux toucher tous les agents qui entourent le processus de la transmission des valeurs en réponse à la question « comment ? »

    La socialisation et la relation école-famille
    « Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au long de sa vie les éléments socioculturels de son milieu » ¹
    Lors de la socialisation, l’enfant va donc acquérir un certains nombre d’éléments, des manières d’accomplir, des règles qu’on peut regrouper sous les termes de normes et valeurs.
    Ce n’est pas la société en tant que telle qui transmet des valeurs à l’enfant mais l’action de groupes qui lui servent d’intermédiaires. La famille et l’école sont des agents de socialisation, par ailleurs, autant d'institutions jouant ce rôle, mais la famille et l’école sont les acteurs les plus importants.
    On peut également définir l’école comme un milieu d’interaction et d’intégration de traits culturels propres aux personnalités des individus suite à des échanges entre eux, mais surtout c’est la famille qui mène l’individu à faire le prolongement de son espace privé en l’appliquer au environnement notamment l’école. C’est contraire de la théorie de Durkheim, car selon lui l’individu est un être social inséré dans un réseau de corps intermédiaires, par cette définition il est difficile d’assumer une conception contractuelle de la famille.
    A l’inverse, quand on va traiter le processus de la transmission des valeurs, on a besoin d’étudier tous ses agents particuliers, à l’aide de l’approche microsociologique, selon laquelle permet d’analyser les termes individuels, du milieu familial jusqu'à l’école. Car l'époque où la population vivait l'école comme un vecteur de mobilité et d'intégration est terminée, maintenant elle est vue comme un obstacle. Quelles que soient valeurs que le système scolaire produit, la discussion à ce moment la plus importante en terme d’éducation est comment on réduire l’ambivalence entre le « output » de l’école et celui de la famille.

    -------------------
    Modifié par sally568 le 08-01-2015 18:46





    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 08-01-2015 à 18:38:06 (S | E)
    La suite :

    Le professeur français de sociologie, Didier Lapeyronnie, a déclaré dans une réunion éducative que les enfants sont rarement positifs sur les souvenirs qu’ils ont de l’école. Les familles pensent que l’école n’est plus un vecteur d’ascension sociale. Elles ne sont jamais satisfaites du changement de comportement de leur enfant, ceci étant plus important pour elles avant même les notes scolaires. L’image est plutôt négative. ²
    Lapeyronnie participe en des projets servant à prendre l’innovation comme une nouvelle stratégie pour reconstruire le système scolaire de manière à ce qu’elle ce permet de le type d’individu qu’il doit former, en engageant les parents dans ce processus, d’après la relation complémentaire école-famille.

    Cela permet d’acquérir la « confiance » au sein du climat scolaire qui est capable d’interagir au quotidien avec les élèves, avec les collègues, avec les enseignants, avec des administrateurs et membres du personnel scolaire et avec les parents d’élèves. C’est le premier point de convergence, c’est évidemment, discuté sur le milieu familial.

    D’autre part, professeur en sciences de l'éducation, Philippe Meirieu s'intéresse à l'expression: « mettre l'élève au cœur du système » ³. Cette formule exprime qu’il faut accompagner les élèves au plus prés de leurs besoins au système. Cela traduire les deux caractéristiques restes, dont l’équilibre et l’informel dans le milieu familial, ils sont la justice scolaire et les pratiques informelles appliquées dans le milieu scolaire, en considération les besoins des élèves et la différenciation entre eux.

    La participation (école-famille) est-elle la solution ?
    Comme nous l'avons déjà vu, le processus de transmission des valeurs dans le milieu familial et aussi de l’école, se passe selon des dimensions similaires, même s’ils ont des caractéristiques et des pratiques différentes. La famille et l’école s’efforcent de concert dans ce processus, ce qui nous conduit à reconstruire le pont de la relation école-famille.

    L’intégration passe par la participation. En supposant tout d’abord une ouverture de l’école et une collaboration avec les parents. On y trouve une voie à double sens (école-famille, famille-école) selon la perspective interactionniste qui s’intéresse aux rapports établis entre des acteurs dans des situations données.¹
    L’interactionnisme est anti Durkheimien : il n’y a de réalité que la réalité de l’individu. Il n’y a rien qui pèse sur l’individu. Pour les interactionnistes, les individus ne subissent pas les faits sociaux, ils les produisent.
    L’interactionnisme est une théorie de l’action sociale selon laquelle la constitution de la société et son changement se produisent à travers les échanges interindividuels, malgré l’opposition des structuralistes.

    En effet, l’étude du milieu familial et scolaire, du fait de leur importance en tant que milieux favorisant les interactions précoces, a un fort impact sur les processus de socialisation de l’enfant. L’enfant est immergé dans deux systèmes éducatifs distincts (école, famille), séparés dans le temps et dans l’espace. Pour faire face aux conflits de normes et de valeurs qui surviennent, les deux systèmes doivent participer, à partir des interactions selon une approche éthique, de construire les valeurs, comme étant un garant du processus d’intégration.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 08-01-2015 à 23:29:57 (S | E)
    Bonsoir Sally568
    'Qui je suis » c’est l’expression qui vise juste à comprendre les différentes définitions au niveau(enlever) de(pluriel) principes de « valeurs ». Mais quand on dit « transmettre des valeurs », ce n'est pas de (ici, article défini) transformation que l'on a pour(incorrect et incompréhensible : à enlever) les(article contracté = préposition 'de' + article défini) enfants ( ici, compléter par une subordonnée : ' que ' élidé + verbe : ' agir ' forme pronominale impersonnelle). C’est un(enlever car le mot 'être' n'est pas le substantif mais l'infinitif qui représente le fait/ l'action d'être ) « être », ce qui va nous définir. Hélas ! Ce concept est plus profond à(erreur ; 'plus' + adjectif indique une comparaison qui est incomplète car vous n'avez pas mis le mot manquant) les définitions théoriques qui ont expliqué(erreur ; forme passive et non active : donc, autre auxiliaire + accord du participe) dans les plusieurs(autre mot car 'plusieurs ' est incorrect précédé de 'les') lectures portant sur ce sujet.

    D'abord( Tout d'abord), avant de discuter dans cette étude, les(pas de virgule + autre article . Voir construction de 'discuter') dispositifs de la transmission des valeurs, il faut expliquer comment, en fait, ces valeurs vont se constituer d'(autre préposition ; voir construction de ' se constituer')un processus, parce qu' elles( enlever; 'parce que ce' ) sont des choses intégrées,ce ne sont pas des vêtements, mais des éléments de notre être, que l’on porte comme des lumières à l’intérieur de nous-mêmes,(autre ponctuation) elles définissent notre caractère.
    Le milieu familial est certes à la base de tout être, il est le fondateur de la personne. Nous avons choisi trois des conditions principales qui mettent en évidence le milieu familial capable de produire justement des valeurs précises. Ensuite, nous allons les comparer avec les caractéristiques du climat scolaire, car ce dernier est le dispositif le plus important de la socialisation.

    1- La confiance en « soi »
    La confiance en soi signifie d'(enlever)avoir dès l’enfance une confiance dans la force qui prouver(à conjuguer) la solidité des racines par la famille pour éduquer comment « être ». La famille qui ne doit pas être(à enlever car incohérent et conjuguer ' être 'au présent, forme négative) l’espace de la transparence devient l’espace de la dissimulation,(autre ponctuation) et(enlever) donc(après le verbe) la confiance passe par cela, elle doit avoir un milieu, être capable de gérer et d’entendre ses peurs. De plus, dans un couple, on doit oser se dire les choses et s’accorder sur la base de valeurs choisis(accord) clairement(après 'valeurs').

    2- L’équilibre
    « La justice n’est pas la finalité » : en termes d’éducation, quand on parle de valeurs, on ne parle pas simplement du respect de la règle, on parle du respect des principes moraux et idéaux, des manières de penser, de sentir, d’agir... de cette dimension très profonde qui explique l'apprentissage par l’amour, et pas toujours par la relation droit-devoir. Nous devons donc gérer le processus de transmission des valeurs ou des normes avec un bon équilibre entre les règles d’une part, et l'agir pardonné( à reformuler), d’autre part.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 09-01-2015 à 00:14:12 (S | E)
    La suite !

    3- L’informel
    Comme en considération l'enceinte influe à son bébé par la sensation( A reformuler car incompréhensible), ainsi beaucoup de choses au sein du processus d’éducation se passent dans « l’informel ». Nous pouvons traduire(autre verbe) des messages à l’enfant sans mots verbaux mais par des pratiques informelles ; l'imitation des parents, la sensation de caresse(pluriel), et la sensation d’avoir un espace privé, sont tous des exemples effectifs(mieux : 'évidents') entourés(erreur, ce participe ne convient pas ; mettez une proposition subordonnée avec le verbe 'entourer' au présent de l'indicatif) l’enfant.
    Quand on fait attention à cette réalité, on peut donc mieux toucher tous les agents qui entourent le processus de la transmission des valeurs en réponse à la question « comment ? »

    La socialisation et la relation école-famille
    « Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au long de sa vie les éléments socioculturels de son milieu » ¹
    Lors de la socialisation, l’enfant va donc acquérir un certains( avec 'un', pas de pluriel) nombre d’éléments, des manières d'accomplir( 'd'accomplir ' quoi ? A compléter), des règles qu'on( que l'on ) peut regrouper sous les termes de normes et valeurs.
    Ce n’est pas la société en tant que telle qui transmet des valeurs à l’enfant mais l’action de groupes qui lui servent d’intermédiaires. La famille et l’école sont des agents de socialisation, , par ailleurs,(enlever) autant ( ici, il manque un mot pour compléter le comparatif 'autant')d' autres institutions jouant ce rôle, mais la famille et l’école sont les acteurs les plus importants.
    On peut également définir l’école comme un milieu d’interaction et d’intégration de traits culturels propres aux personnalités des individus suite à des( à reformuler) échanges entre eux, mais surtout c’est la famille qui mène l’individu à faire le prolongement de son espace privé en l'appliquer au environnement notamment l'école(n'a pas de sens ! ' en' + gérondif + préposition + article élidé + 'environnement'...). C’est (ici, article défini) contraire de la théorie de Durkheim, car selon lui l’individu est un être social inséré dans un réseau de corps intermédiaires,(autre ponctuation) par cette définition il est difficile d’assumer une conception contractuelle de la famille.
    A l’inverse, quand on va traiter le processus de la transmission des valeurs, on a besoin d’étudier tous ses(démonstratif et non possessif) agents particuliers, à l’aide de l’approche microsociologique, selon laquelle(enlever et mettre pronom relatif sujet) permet d’analyser les termes(pourquoi ' termes '?) individuels, du milieu familial jusqu'à l’école. Car l'époque où la population vivait l'école comme un vecteur de mobilité et d'intégration est terminée, maintenant elle est vue comme un obstacle. Quelles que soient(ici, article défini) valeurs que le système scolaire produit, la discussion à ce moment( à enlever car vous n'avez pas mis le mot manquant pour ajouter une précision à 'moment')la plus importante en terme d’éducation est comment on ( enlever ; pas de pronom sujet devant un infinitif )réduire l’ambivalence entre le « output » de l’école et celui de la famille.




    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 09-01-2015 à 00:38:34 (S | E)
    Suite !
    Le professeur français de sociologie, Didier Lapeyronnie, a déclaré dans une réunion éducative que les enfants sont rarement positifs sur les souvenirs qu’ils ont de l’école. Les familles pensent que l’école n’est plus un vecteur d’ascension sociale. Elles ne sont jamais satisfaites du changement de comportement de leur enfant, ceci étant plus important pour elles avant même les notes scolaires. L’image est plutôt négative. ²
    Lapeyronnie participe en(autre préposition) des projets servant à prendre l’innovation comme une nouvelle stratégie pour reconstruire le système scolaire de manière à ce qu'elle ce permet de le type d'individu qu'il doit former(incohérent ; à reformuler clairement), en engageant les parents dans ce processus, d’après la relation complémentaire école-famille.

    Cela permet d’acquérir la « confiance » au sein du climat scolaire qui est capable d’interagir au quotidien avec les élèves, avec les collègues, avec les enseignants, avec des administrateurs et membres du personnel scolaire et avec les parents d’élèves. C’est le premier point de convergence , c'est évidemment, discuté sur le milieu familial( à reformuler : incompréhensible).

    D’autre part, professeur en sciences de l'éducation, Philippe Meirieu s'intéresse à l'expression: « mettre l'élève au cœur du système » ³. Cette formule exprime qu’il faut accompagner les élèves au plus prés(erreur d'accent) de leurs besoins au système(enlever). Cela traduire( à conjuguer) les deux caractéristiques restes(incorrect), dont l’équilibre et l’informel dans le milieu familial, ils ( que représente ce pronom ?)sont la justice scolaire et les pratiques informelles appliquées dans le milieu scolaire, en considération les(autre article) besoins des élèves et (ici, préposition )la différenciation entre eux.

    La participation (école-famille) est-elle la solution ?
    Comme nous l'avons déjà vu, le processus de transmission des valeurs dans le milieu familial et aussi (enlever et mettre pronom démonstratif masculin singulier)de l’école, se passe selon des dimensions(autre mot) similaires, même s’ils ont des caractéristiques et des pratiques différentes. La famille et l’école s’efforcent(virgule) de concert(virgule)(ici, mettre un complément à ' s'efforcent' précédé d'une préposition) dans ce processus, ce qui nous conduit à reconstruire le pont de la relation école-famille.



    Réponse: Correction /Paresse de alienor64, postée le 09-01-2015 à 00:50:17 (S | E)
    Suite !

    L’intégration passe par la participation.( enlever ce point ; la phrase continue) En supposant tout d’abord une ouverture de l’école et une collaboration avec les parents. On y trouve une voie à double sens (école-famille, famille-école) selon la perspective interactionniste qui s’intéresse aux rapports établis entre des acteurs dans des situations données.¹
    L’interactionnisme est anti Durkheimien : il n’y a de réalité que la réalité de l’individu. Il n’y a rien qui pèse sur l’individu. Pour les interactionnistes, les individus ne subissent pas les faits sociaux, ils les produisent.
    L’interactionnisme est une théorie de l’action sociale selon laquelle la constitution de la société et son changement se produisent à travers les échanges interindividuels, malgré l’opposition des structuralistes.

    En effet, l’étude du milieu( vous évoquez deux milieux : familial et scolaire, donc : pluriel) familial et scolaire, du fait de leur importance en tant que milieux favorisant les interactions précoces, a un fort impact sur les processus de socialisation de l’enfant. L’enfant est immergé dans deux systèmes éducatifs distincts (école, famille), séparés dans le temps et dans l’espace. Pour faire face aux conflits de normes et de valeurs qui surviennent, les deux systèmes doivent participer, à partir des interactions selon une approche éthique, de(autre préposition)construire les valeurs, comme étant un garant(pourquoi un masculin singulier ? A quel mot se rapporte ' garant '?) du processus d’intégration.

    Bonne soirée !



    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 10-01-2015 à 14:55:32 (S | E)
    Bonjour
    Excuser moi pour le beaucoup de fautes

    « Qui je suis ? » cela ce qui vise juste à comprendre les différentes définitions des principes de « valeurs ». Quand on dit « transmettre des valeurs », ce signifie le processus qui va nous définir comme « être ». Ce concept est plus profond à que les définitions théoriques ont expliqué dans les différentes lectures portant sur ce sujet.
    Tout d’abord, avant de discuter les dispositifs de la transmission des valeurs, il faut expliquer comment par quel processus ces valeurs vont se constituer, elles sont des caractères intégrées, ne sont pas des vêtements, mais des éléments de notre être, que l’on porte comme des lumières à l’intérieur de nous-mêmes.
    Le milieu familial est la base de tout être, il est le fondateur de la personne. Nous avons choisi trois des conditions principales qui mettent en évidence les valeurs que doit transmettre le milieu familial. Ensuite, nous allons les comparer avec les caractéristiques du climat scolaire, car ce dernier est le dispositif le plus important de la socialisation.
    1- La confiance en « soi »
    La confiance en soi signifie avoir dès l’enfance une confiance dans la force qui prouve la solidité des racines par la famille pour éduquer comment « être ». La famille qui n’est pas l’espace de la transparence devient l’espace de la dissimulation et elle ne pourra pas avoir un milieu capable de gérer et d’entendre ses peurs et agir certaines valeurs. Dans un couple, on doit oser se dire les choses et s’accorder sur la base de valeurs clairement choisies.
    2- L’équilibre
    « La justice n’est pas la finalité » : en termes d’éducation, quand on parle de valeurs, on ne parle pas simplement du respect de la règle, on parle du respect des principes moraux et idéaux, des manières de penser, de sentir, d’agir... de cette dimension très profonde qui explique l'apprentissage par l’amour, et pas toujours par la relation droit-devoir. Nous devons donc gérer le processus de transmission des valeurs ou des normes avec un bon équilibre entre les règles d’une part, et l’acte de pardonner, d’autre part.
    1- L’informel
    Comme le bébé s’influe par l’enceinte, d’après sa sensation, ainsi beaucoup de choses au sein du processus d’éducation se passent dans « l’informel ». Nous pouvons traverser des messages à l’enfant sans mots verbaux mais par des pratiques informelles ; l'imitation des parents, la sensation de caresses, et la sensation d’avoir un espace privé, sont tous des exemples évidents exercent une influence sur l’enfant.
    Quand on fait attention à cette réalité, on peut donc mieux toucher tous les agents qui entourent le processus de la transmission des valeurs en réponse à la question « comment ? »
    La socialisation et la relation école-famille
    « Nous définissons la socialisation comme étant le processus par lequel la personne humaine apprend et intériorise tout au long de sa vie les éléments socioculturels de son milieu » ¹
    Lors de la socialisation, l’enfant va donc acquérir un certains nombre d’éléments, des manières d’accomplir le comportement, des règles que l’on peut regrouper sous les termes de normes et valeurs.
    Ce n’est pas la société en tant que telle qui transmet des valeurs à l’enfant mais l’action de groupes qui lui servent d’intermédiaires. La famille et l’école sont des agents de socialisation.
    On peut également définir l’école comme un milieu d’interaction et d’intégration de traits culturels propres aux personnalités des individus par les échanges entre eux, mais surtout c’est la famille qui mène l’individu à faire le prolongement de son espace privé appliquant à l’environnement notamment à l’école. C’est le contraire de la théorie de Durkheim, car il est difficile selon lui d’assumer une conception contractuelle de la famille.






    Réponse: Correction /Paresse de sally568, postée le 10-01-2015 à 14:56:13 (S | E)
    L'époque où la population vivait l'école comme un vecteur de mobilité et d'intégration est terminée, maintenant elle est vue comme un obstacle. Quelles que soient valeurs que le système scolaire produit, la discussion la plus importante en termes d’éducation est comment réduire l’ambivalence entre le « output » de l’école et celui de la famille.
    Donc, il est mieux qu’on aille traiter le processus de la transmission des valeurs, par l’analyse les moindres détails de l’interaction social, à l’aide de l’approche microsociologique, qui permettent de clarifier les actes individuels, du milieu familial jusqu'à l’école.
    Le professeur français de sociologie, Didier Lapeyronnie, a déclaré dans une réunion éducative que les enfants sont rarement positifs sur les souvenirs qu’ils ont de l’école. Les familles pensent que l’école n’est plus un vecteur d’ascension sociale. Elles ne sont jamais satisfaites du changement de comportement et d’apporter des différentes valeurs de leur enfant, ceci étant plus important pour elles avant même les notes scolaires. L’image est plutôt négative. ²
    Lapeyronnie participe à des projets servant à prendre l’innovation comme une nouvelle stratégie pour reconstruire le système scolaire de manière à ce qu’en précise quel individu doit former, en engageant les parents dans ce processus, d’après la relation complémentaire école-famille.
    Cela permet d’acquérir la « confiance » au sein du climat scolaire, qui exerce partout avec les élèves, avec les collègues, avec les enseignants, avec des administrateurs et membres du personnel scolaire et avec les parents d’élèves. C’est le premier point de convergence dont nous avons discuté au milieu familial.
    D’autre part, professeur en sciences de l'éducation, Philippe Meirieu s'intéresse à l'expression: « mettre l'élève au cœur du système » ³.
    Cette formule consiste qu’il faut accompagner les élèves au plus près de leurs besoins. Cela implique l’équilibre et l’informel, mais dans le milieu scolaire exprime « la justice scolaire » et « les pratiques informelles » appliquées selon les besoins et les différences entre les élèves.
    La participation (école-famille) est-elle la solution ?
    L’interactionnisme est une théorie de l’action sociale selon laquelle la constitution de la société et son changement se produisent à travers les échanges interindividuels, malgré l’opposition des structuralistes. L’interactionnisme est anti Durkheimien : il n’y a de réalité que la réalité de l’individu. Il n’y a rien qui pèse sur l’individu. Pour les interactionnistes, les individus ne subissent pas les faits sociaux, ils les produisent.
    Comme nous l'avons déjà vu, le processus de transmission des valeurs dans le milieu familial et celui de l’école, se passe selon d’ensemble des conditions similaires, même s’ils ont des pratiques différentes. La famille et l’école s’efforcent, de concert, de ce processus.
    L’intégration passe par la participation en supposant tout d’abord une ouverture de l’école et une collaboration avec les parents. On y trouve une voie à double sens (école-famille, famille-école) selon la perspective interactionniste qui s’intéresse aux rapports établis entre des acteurs dans des situations données.¹
    Enfin, l’étude de milieux familial et scolaire, du fait de leur importance en tant que milieux favorisant les interactions précoces, a un fort impact sur les processus de socialisation de l’enfant. L’enfant est immergé dans deux systèmes éducatifs distincts (école, famille), séparés dans le temps et dans l’espace. Pour faire face aux conflits de normes et de valeurs qui surviennent, les deux systèmes doivent participer, à partir des interactions selon une approche éthique, à construire les valeurs, comme étant une garante du processus d’intégration.




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