Participes passés : La cigogne

Si nous en croyons les historiens que nous avons (lire) et qui s'étaient (appliquer) à étudier les moeurs de cet oiseau, la cigogne nourrit ses petits plus longtemps et leur donne des soins plus touchants qu'on ne l'aurait (imaginer).

Dès qu'elle les a (voir) voleter hors du nid et s'essayer dans les airs, elle les suit, les encourage et les porte sur ses ailes; si elle s'est (apercevoir) que quelque danger les menace, elle les rappelle; s'ils sont (attaquer) elle les défend, et on l'a (voir), ne pouvant les sauver, préférer périr avec eux plutôt que de les laisser mourir (abandonner).

On l'a également (voir) donner des marques d'attachement et même de reconnaissance pour les lieux et pour les hôtes qui l'ont (recevoir); on assure l'avoir (entendre) claqueter en passant devant les portes comme si elle voulait que les habitants fussent (avertir) de son départ ou de son retour.

Mais ces qualités morales ne sont rien en comparaison des tendres soins que les cigognes ont toujours (donner) à leurs parents que la maladie avait (affaiblir) et (rendre) incapables de chercher leur proie.
On a souvent (voir) des cigognes jeunes et vigoureuses apporter à d'autres la nourriture dont elles s'étaient (emparer).

Les Anciens s'étaient (imaginer) que c'était un exemple que la nature avait (vouloir) nous donner, et que les dieux eux-mêmes avaient (placer) chez les animaux ces pieux sentiments pour servir de leçon aux hommes qui les ont trop souvent (méconnaître).