Le voleur de biscuits
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de nano2000 posté le 24-10-2020 à 15:36:21 (S | E | F)
Bonjour,
S'il vous plaît, pouvez vous m'aider à corriger ce texte, Merci d'avance.
Le voleur des biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures dans une nuit ennuyeuse, la dame se dirigeait vers une boutique pour acheter un roman afin de bénéficier de son temps, en même temps qu’elle achetait un sac de biscuits. Elle s’est assise à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit sa main au sac et prit un biscuit pour le déguster. Tellement surprise était la dame quand elle aperçut la main du vieux monsieur se dirigeait vers le sac, prenait un biscuit et le mangeait sans permission. La dame négligea cet incident et se comporta comme rien vu, elle eut pris un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour a pris un deuxième, un troisième puis un quatrième biscuit sans tourner les yeux vers la dame. Cette dernière, rougie de colère, stupéfiait de l’effronterie de cet homme, elle se disait « si je n’étais pas gentille, j’aurais lui donné une gifle sur sa joue ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit et le dévora en une seule prise. Cette longue réflexion brusquement interrompit quand elle eut aperçu de nouveau le vieux voleur entrain de drainer sa provision. Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée, elle pensa à cet homme audacieux, est-il en plein santé mentale ? Quel type de personnalité a-t-il ? Évidemment qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le sac un biscuit. « Oh ! Mon Dieu, il ne reste qu’un seul biscuit » se disait la dame tandis qu’elle prit un. Le vieux voleur ne tarda pas de le prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se disait la femme. Un grand sourire était dessiné sur les lèvres du voleur accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arrivait pas à les interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et offrit une partie à la dame. Pour éprouver son mécontentement, elle l’arracha de sa main avec des grimaces qui reflètent une morosité intense. Elle n’a jamais ressenti de pareilles émotions de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un, comme dans la présente situation.
Enfin, il poussa un soupir de soulagement quand elle eut entendu l’appel de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans retourner les yeux vers le voleur gourmand.
La dame monta dans l’avion et s’allongea sur son siège. Elle chercha le roman dans son sac en vue de continuer la lecture. Au premier coup d’œil elle était clouée sur son siège, les yeux exorbités, muette sous l’effet de la surprise à l’exception de quelques profondes soupires, elle cacha sa bouche avec la main comme s’il voulait que personne ne sût ce qui s’est passé. « Oh mon Dieu ! C’est mon sac de biscuits » se disait la dame. Alors, le sac qui était entre nous c’est le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête. Les sentiments de la culpabilité du remords et du regret étreignent son cœur, elle était convaincue que c’est-elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D’ailleurs, c’est trop tard à s’excuser.
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Modifié par bridg le 25-10-2020 19:38
Titre
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 25-10-2020 à 23:18:37 (S | E)
 alienor64, postée le 25-10-2020 à 23:18:37 (S | E)Bonsoir nano2000
Votre texte est beaucoup trop long et doit être scindé en plusieurs parties. Commencez par corriger celle-ci !
 Lisez ces liens pour apprendre à employer les temps qui conviennent dans un récit : Lien internet
  Lisez ces liens pour apprendre à employer les temps qui conviennent dans un récit : Lien internetLien internet
Le voleur des
 (préposition) biscuits
(préposition) biscuitsÀ l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures dans une nuit ennuyeuse
 (à reformuler ou à supprimer), la
(à reformuler ou à supprimer), la (déterminant indéfini, car rien ne justifie l'emploi de ce déterminant défini) dame se dirigeait
(déterminant indéfini, car rien ne justifie l'emploi de ce déterminant défini) dame se dirigeait (autre temps) vers une boutique pour acheter
(autre temps) vers une boutique pour acheter (conjuguer le verbe au passé simple, précédé d'une conjonction de coordination) un roman afin de bénéficier de son
(conjuguer le verbe au passé simple, précédé d'une conjonction de coordination) un roman afin de bénéficier de son (cela ne veut rien dire ; autre verbe pour cette expression : 'passer' suivi d'un déterminant défini) temps,
(cela ne veut rien dire ; autre verbe pour cette expression : 'passer' suivi d'un déterminant défini) temps, (autre ponctuation) en même temps
(autre ponctuation) en même temps (enlever) qu’elle achetait
(enlever) qu’elle achetait (supprimez la conjonction de subordination et conjuguez le verbe au passé simple suivi d'un adverbe pour marquer l'addition) un sac
(supprimez la conjonction de subordination et conjuguez le verbe au passé simple suivi d'un adverbe pour marquer l'addition) un sac (plutôt 'un paquet' ou 'une boîte' ; à corriger aussi plus loin dans le texte) de biscuits. Elle s’est assise
(plutôt 'un paquet' ou 'une boîte' ; à corriger aussi plus loin dans le texte) de biscuits. Elle s’est assise (autre temps) à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit
(autre temps) à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit (autre verbe) sa main au
(autre verbe) sa main au (erreur : préposition + déterminant défini) sac et prit un biscuit pour le déguster
(erreur : préposition + déterminant défini) sac et prit un biscuit pour le déguster (inutile : à enlever). Tellement
(inutile : à enlever). Tellement (à enlever, car mal employé :  cet adverbe aurait été correct s'il avait introduit une subordonnée de conséquence, mais ici, ce n'est pas le cas)  surprise était
(à enlever, car mal employé :  cet adverbe aurait été correct s'il avait introduit une subordonnée de conséquence, mais ici, ce n'est pas le cas)  surprise était (autre temps) la dame quand elle aperçut la main du vieux monsieur se dirigeait
(autre temps) la dame quand elle aperçut la main du vieux monsieur se dirigeait (participe présent) vers le sac, prenait
(participe présent) vers le sac, prenait (même remarque) un biscuit et le mangeait sans permission(à reformuler, car on comprend que le sujet qui fait l'action est 'la main du vieux monsieur'). La dame négligea cet incident et se comporta comme rien vu
(même remarque) un biscuit et le mangeait sans permission(à reformuler, car on comprend que le sujet qui fait l'action est 'la main du vieux monsieur'). La dame négligea cet incident et se comporta comme rien vu (incorrect ; après 'comme', il manque une conjonction pour que cette locution soit correcte. Vous la ferez suivre du verbe 'voir' au plus-que-parfait et à la forme négative avec 'rien', sujet de ce verbe 'elle') ,
(incorrect ; après 'comme', il manque une conjonction pour que cette locution soit correcte. Vous la ferez suivre du verbe 'voir' au plus-que-parfait et à la forme négative avec 'rien', sujet de ce verbe 'elle') , (pas de virgule, mais conjonction de coordination) elle eut pris
(pas de virgule, mais conjonction de coordination) elle eut pris (autre temps) un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour a pris
(autre temps) un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour a pris (autre temps) un deuxième, un troisième puis un quatrième biscuit sans tourner
(autre temps) un deuxième, un troisième puis un quatrième biscuit sans tourner (autre verbe) les yeux vers la dame. Cette dernière, rougie
(autre verbe) les yeux vers la dame. Cette dernière, rougie (adjectif et non participe adjectivé) de colère, stupéfiait
(adjectif et non participe adjectivé) de colère, stupéfiait (orthographe et accord) de
(orthographe et accord) de (autre préposition) l’effronterie de cet homme, elle se disait
(autre préposition) l’effronterie de cet homme, elle se disait (enlever le pronom sujet + autre temps)
(enlever le pronom sujet + autre temps)  (ici, deux points pour introduire un  discours direct : )« si je n’étais pas gentille, j’aurais lui donné
(ici, deux points pour introduire un  discours direct : )« si je n’étais pas gentille, j’aurais lui donné (le pronom COI est mal placé) une gifle sur sa joue
(le pronom COI est mal placé) une gifle sur sa joue (à enlever car inutile : une gifle se donne toujours sur la joue) ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit et le
(à enlever car inutile : une gifle se donne toujours sur la joue) ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit et le (à remplacer par un pronom relatif COD suivi du pronom personnel sujet) dévora en une seule prise
(à remplacer par un pronom relatif COD suivi du pronom personnel sujet) dévora en une seule prise (mal dit : autre verbe et autre expression, car on ne dévore pas un biscuit). Cette longue réflexion
(mal dit : autre verbe et autre expression, car on ne dévore pas un biscuit). Cette longue réflexion (quand donc a-t-elle longuement réfléchi ??? Ce n'est pas clair !)  brusquement interrompit
(quand donc a-t-elle longuement réfléchi ??? Ce n'est pas clair !)  brusquement interrompit (forme pronominale) quand elle eut aperçu
(forme pronominale) quand elle eut aperçu (autre temps) de nouveau le vieux voleur entrain
(autre temps) de nouveau le vieux voleur entrain (orthographe) de drainer('drainer' ??? autre verbe) sa provision(autre mots). Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée, elle pensa
(orthographe) de drainer('drainer' ??? autre verbe) sa provision(autre mots). Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée, elle pensa (pas de virgule et verbe au gérondif) à cet homme audacieux,
(pas de virgule et verbe au gérondif) à cet homme audacieux, (autre ponctuation) est-il en plein
(autre ponctuation) est-il en plein (accord) santé mentale ? Quel type de personnalité a-t-il
(accord) santé mentale ? Quel type de personnalité a-t-il (à reformuler en mettant 'personnalité' sujet de la proposition) ? Évidemment
(à reformuler en mettant 'personnalité' sujet de la proposition) ? Évidemment ( pas d'adverbe, mais adjectif dans une forme impersonnelle) qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le sac un biscuit. « Oh ! Mon Dieu,
( pas d'adverbe, mais adjectif dans une forme impersonnelle) qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le sac un biscuit. « Oh ! Mon Dieu, (point d'exclamation) il ne reste qu’un seul biscuit » se disait
(point d'exclamation) il ne reste qu’un seul biscuit » se disait (autre temps)la dame tandis qu’elle
(autre temps)la dame tandis qu’elle  (ici, pronom personnel COD mis pour 'biscuit)prit
(ici, pronom personnel COD mis pour 'biscuit)prit (autre temps) un
(autre temps) un (enlever : cet adjectif numéral aurait convenu s'il restait plus d'un biscuit ; ce n'est pas le cas). Le vieux voleur ne tarda pas de
(enlever : cet adjectif numéral aurait convenu s'il restait plus d'un biscuit ; ce n'est pas le cas). Le vieux voleur ne tarda pas de (autre préposition) le prendre.
(autre préposition) le prendre. (Ce n'est pas clair : vous dites d'abord que la dame prend le dernier biscuit, puis que le vieux monsieur le prend ! Il faut rester cohérent ! Reformulez ces deux phrases pour savoir qui des deux prend le biscuit) « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se disait
(Ce n'est pas clair : vous dites d'abord que la dame prend le dernier biscuit, puis que le vieux monsieur le prend ! Il faut rester cohérent ! Reformulez ces deux phrases pour savoir qui des deux prend le biscuit) « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se disait (autre temps) la femme.
(autre temps) la femme.Bonne correction
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 26-10-2020 à 18:10:50 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment alienor64 de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, la dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de chasser l’ennui ; et aussi acheta un paquet de biscuits. Elle s’assit à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit sa main vers le paquet et prit un biscuit. La dame fut surprise quand elle aperçut la main du vieux monsieur se dirigeant vers le paquet, prenant un biscuit et le monsieur le mangea sans permission. La dame négligea cet incident et se comporta comme qu’elle n’avait rien vu et elle prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième puis un quatrième biscuit sans tourner les yeux vers la dame. Cette dernière, rougit de colère, stupéfiée par l’effronterie de cet homme, elle dit : « si je n’étais pas gentille, je lui aurais donné une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu’il mangea d’un seul coup. Cette réflexion brusquement s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser ses biscuits. Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme audacieux ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle personnalité a-t-il ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le paquet un biscuit. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame tandis qu’elle prit un. Le vieux voleur ne tarda pas à le prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.
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Modifié par nano2000 le 26-10-2020 21:35
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 27-10-2020 à 00:36:18 (S | E)
 alienor64, postée le 27-10-2020 à 00:36:18 (S | E)Bonsoir nano2000
 Subordonnées de condition introduites par 'si : Lien internet
 Subordonnées de condition introduites par 'si : Lien internetPronoms compléments : Lien internet
Condition avec 'si' : Lien internet
Le voleur de biscuits
À l'aéroport, en attendant son vol pendant des heures, la
 (déterminant indéfini : déjà signalé) dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de chasser l'ennui
(déterminant indéfini : déjà signalé) dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de chasser l'ennui  (correct ; cependant, vous aviez employé à tort  'bénéficier de son temps' ;  la locution correcte est 'passer le temps') ; et
(correct ; cependant, vous aviez employé à tort  'bénéficier de son temps' ;  la locution correcte est 'passer le temps') ; et (enlever ; mettre un pronom personnel sujet) aussi
(enlever ; mettre un pronom personnel sujet) aussi (après le verbe) acheta un paquet de biscuits.
(après le verbe) acheta un paquet de biscuits. (pas de point, mais conjonction de coordination ; vous pouvez enlever le pronom personnel  qui suit)) Elle s'assit
(pas de point, mais conjonction de coordination ; vous pouvez enlever le pronom personnel  qui suit)) Elle s'assit (à remplacer par 'aller s'asseoir' à conjuguer) à côté d'un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit sa main vers le paquet et prit un biscuit. La dame
(à remplacer par 'aller s'asseoir' à conjuguer) à côté d'un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit sa main vers le paquet et prit un biscuit. La dame (à remplacer par un pronom personnel, pour éviter une répétition trop rapprochée d'un même mot) fut surprise quand elle aperçut
(à remplacer par un pronom personnel, pour éviter une répétition trop rapprochée d'un même mot) fut surprise quand elle aperçut (mieux : gérondif du verbe 'apercevoir') la main du vieux monsieur se dirigeant
(mieux : gérondif du verbe 'apercevoir') la main du vieux monsieur se dirigeant (mieux : infinitif) vers le paquet, prenant
(mieux : infinitif) vers le paquet, prenant (même remarque) un biscuit et
(même remarque) un biscuit et (enlever ; mettre un pronom relatif COD représentant ' un biscuit' et, de ce fait, enlever le pronom personnel devant 'mangea') le monsieur le mangea sans permission. La dame négligea cet incident et se comporta comme qu'
(enlever ; mettre un pronom relatif COD représentant ' un biscuit' et, de ce fait, enlever le pronom personnel devant 'mangea') le monsieur le mangea sans permission. La dame négligea cet incident et se comporta comme qu' (erreur ; la conjonction de subordination correcte est 'si' pour former la locution conjonctive 'comme si') elle n'avait rien vu et elle prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième(virgule) puis un quatrième biscuit sans tourner
(erreur ; la conjonction de subordination correcte est 'si' pour former la locution conjonctive 'comme si') elle n'avait rien vu et elle prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième(virgule) puis un quatrième biscuit sans tourner (ce verbe ne convient pas ; on ne tourne pas les yeux, mais on lève les yeux vers quelqu'un, on le regarde) les yeux vers la dame. Cette dernière, rougit
(ce verbe ne convient pas ; on ne tourne pas les yeux, mais on lève les yeux vers quelqu'un, on le regarde) les yeux vers la dame. Cette dernière, rougit (erreur : vous mettez un verbe alors que je vous ai demandé un adjectif) de colère, stupéfiée
(erreur : vous mettez un verbe alors que je vous ai demandé un adjectif) de colère, stupéfiée (autre adjectif de la même famille) par l'effronterie de cet homme, elle
(autre adjectif de la même famille) par l'effronterie de cet homme, elle (enlever : mettre un pronom personnel réfléchi devant le verbe) dit : « si je n'étais pas gentille, je lui aurais donné
(enlever : mettre un pronom personnel réfléchi devant le verbe) dit : « si je n'étais pas gentille, je lui aurais donné (autre temps : voir lien sur la concordance des temps dans une phrase hypothétique) une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu'il
(autre temps : voir lien sur la concordance des temps dans une phrase hypothétique) une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu'il ('il' ???) mangea d'un seul coup
('il' ???) mangea d'un seul coup (mal exprimé ; on ne mange pas 'd'un coup' un biscuit, ou autre chose, mais on n'en fait qu'une bouchée, on le mange en une bouchée) . Cette réflexion
(mal exprimé ; on ne mange pas 'd'un coup' un biscuit, ou autre chose, mais on n'en fait qu'une bouchée, on le mange en une bouchée) . Cette réflexion (où voyez-vous une 'réflexion' dans ce qui précède ? Pour ma part, je ne vois qu'une personne qui, tout en lisant, mange des biscuits) brusquement s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser
(où voyez-vous une 'réflexion' dans ce qui précède ? Pour ma part, je ne vois qu'une personne qui, tout en lisant, mange des biscuits) brusquement s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser  (ici, il manque une préposition : 'on ne puise pas des biscuits comme on puise de l'eau !) ses biscuits. Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme audacieux(autre adjectif à connotation plus péjorative : 'sans-gêne') ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle personnalité a-t-il
(ici, il manque une préposition : 'on ne puise pas des biscuits comme on puise de l'eau !) ses biscuits. Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme audacieux(autre adjectif à connotation plus péjorative : 'sans-gêne') ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle personnalité a-t-il  (je vous avais demandé de mettre 'personnalité' sujet de la proposition ; or, vous avez mis 'il' - qui représente le monsieur, comme sujet)? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le paquet un biscuit
(je vous avais demandé de mettre 'personnalité' sujet de la proposition ; or, vous avez mis 'il' - qui représente le monsieur, comme sujet)? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant dans le paquet un biscuit (après le gérondif). « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame tandis qu'elle prit
(après le gérondif). « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame tandis qu'elle prit (autre temps pour indiquer qu'une action est en train de se faire. De plus, il manque un pronom personnel COD devant le verbe : voir lien) un. Le vieux voleur ne tarda pas à le prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.
(autre temps pour indiquer qu'une action est en train de se faire. De plus, il manque un pronom personnel COD devant le verbe : voir lien) un. Le vieux voleur ne tarda pas à le prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.Bonne soirée
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 27-10-2020 à 20:32:22 (S | E)
Bonjour, Merci alienor64 de votre aide inconditionnelle, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’assoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame tendit sa main vers le paquet et prit un biscuit. Elle fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qui le monsieur mangea sans permission. La dame négligea cet incident et se comporta comme si elle n’avait rien vu et elle prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième biscuit sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit-elle: « si je ne suis pas gentille, je lui ai donné une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu’elle mangea en une bouchée. La concentration de la dame sur son roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser dans ses biscuits. Elle se sentit irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Sa personnalité est-elle normale ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame tandis qu’elle prend un. Le vieux voleur ne tarda pas à le prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 28-10-2020 à 01:20:56 (S | E)
 alienor64, postée le 28-10-2020 à 01:20:56 (S | E)Bonsoir nano2000
C'est beaucoup mieux !

 Les pronoms relatifs : Lien internet
 Les pronoms relatifs : Lien internetLes pronoms compléments : Lien internet
L'élision : Lien internet
Condition avec 'si' : Lien internet
Le voleur de biscuits
À l'aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s'assoir
 (orthographe) à côté d'un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame
(orthographe) à côté d'un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, la dame (à remplacer par le pronom personnel sujet) tendit sa main vers le paquet et
(à remplacer par le pronom personnel sujet) tendit sa main vers le paquet et (enlever ; mettre une virgule) prit un biscuit. Elle
(enlever ; mettre une virgule) prit un biscuit. Elle (pas de point : la phrase continue ; mettre une conjonction de coordination et enlever le pronom sujet) fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qui
(pas de point : la phrase continue ; mettre une conjonction de coordination et enlever le pronom sujet) fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qui (élision - voir lien - devant le pronom personnel sujet) le monsieur
(élision - voir lien - devant le pronom personnel sujet) le monsieur (à remplacer par le pronom personnel sujet) mangea sans
(à remplacer par le pronom personnel sujet) mangea sans (ici, il manque un verbe à l'infinitif : on demande une permission, une autorisation ; devant 'permission' vous mettrez un déterminant défini)  permission. La dame négligea cet incident et
(ici, il manque un verbe à l'infinitif : on demande une permission, une autorisation ; devant 'permission' vous mettrez un déterminant défini)  permission. La dame négligea cet incident et (à remplacer par une virgule) se comporta comme si elle n'avait rien vu et elle
(à remplacer par une virgule) se comporta comme si elle n'avait rien vu et elle (vous pouvez supprimer ce pronom) prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième biscuit
(vous pouvez supprimer ce pronom) prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième biscuit (à remplacer par un pronom complément pour éviter une répétition du mot : voir lien pour le placer correctement) sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l'effronterie de cet homme, se dit-elle
(à remplacer par un pronom complément pour éviter une répétition du mot : voir lien pour le placer correctement) sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l'effronterie de cet homme, se dit-elle (pourquoi avez-vous ajouté ce pronom ? enlevez-le !):
(pourquoi avez-vous ajouté ce pronom ? enlevez-le !): (espace devant et après deux-points) « si
(espace devant et après deux-points) « si majuscule dans un discours direct entre guillemets) je ne suis pas gentille, je lui ai donné une gifle
majuscule dans un discours direct entre guillemets) je ne suis pas gentille, je lui ai donné une gifle ( temps et mode des verbes incorrects : je vous remets un lien) ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu'elle mangea en une bouchée. La
( temps et mode des verbes incorrects : je vous remets un lien) ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu'elle mangea en une bouchée. La (enlever : mettre un déterminant possessif) concentration de la dame
(enlever : mettre un déterminant possessif) concentration de la dame (enlever) sur son
(enlever) sur son (déterminant défini) roman s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser
(déterminant défini) roman s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de puiser (ou 'piocher') dans ses biscuits. Elle se sentit
(ou 'piocher') dans ses biscuits. Elle se sentit (mieux : 'être' à conjuguer) irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Sa personnalité est-elle normale ? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame(à remplacer par le pronom personnel sujet, sans oublier le trait d'union) tandis qu'elle
(mieux : 'être' à conjuguer) irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Sa personnalité est-elle normale ? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit la dame(à remplacer par le pronom personnel sujet, sans oublier le trait d'union) tandis qu'elle  (ici, pronom complément : voir lien) prend
(ici, pronom complément : voir lien) prend (autre temps : l'action est en train de se dérouler dans une portion du passé : relisez le lien que je vous avais mis sur les temps du récit et corrigez) un. Le vieux voleur ne tarda pas à le
(autre temps : l'action est en train de se dérouler dans une portion du passé : relisez le lien que je vous avais mis sur les temps du récit et corrigez) un. Le vieux voleur ne tarda pas à le (erreur : à enlever, car ce pronom représente le biscuit que la dame prend, alors qu'il en reste un dans le paquet. Exprimez cela en ajoutant un COD à 'prendre')  prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.
(erreur : à enlever, car ce pronom représente le biscuit que la dame prend, alors qu'il en reste un dans le paquet. Exprimez cela en ajoutant un COD à 'prendre')  prendre. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.Bonne soirée
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 28-10-2020 à 14:05:24 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide, je suis très reconnaissant, voici la correction.
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame se dirigea vers une boutique et acheta un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’asseoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, elle tendit sa main vers le paquet, prit un biscuit, et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qu’il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme s’elle n’avait rien vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis en prit un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit : « Si je n’étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu’elle mangea en une bouchée. Sa concentration sur le roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle personnalité a-t-il ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu’elle y prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre le biscuit. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible » se dit la femme.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 28-10-2020 à 16:52:41 (S | E)
 alienor64, postée le 28-10-2020 à 16:52:41 (S | E)Bonjour nano2000
C'est de mieux en mieux !

 Les pronoms démonstratifs : Lien internet
 Les pronoms démonstratifs : Lien internetPronoms compléments Y et EN : Lien internet
Pour la forme restrictive, ceci peut vous intéresser : Lien internet
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame se dirigea vers
 (expression un peu trop lourde ; remplacez ce qui est souligné par le verbe 'aller' à conjuguer, suivi d'une préposition indiquant l'intérieur d'un endroit) une boutique et acheta
(expression un peu trop lourde ; remplacez ce qui est souligné par le verbe 'aller' à conjuguer, suivi d'une préposition indiquant l'intérieur d'un endroit) une boutique et acheta (à remplacer par : préposition indiquant le but + verbe à l'infinitif) un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’asseoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, elle tendit sa main vers le paquet, prit un biscuit, et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qu’il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si
(à remplacer par : préposition indiquant le but + verbe à l'infinitif) un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’asseoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, elle tendit sa main vers le paquet, prit un biscuit, et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qu’il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si ('si' ne s'élide que devant 'il/ils) elle n’avait rien vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis en
('si' ne s'élide que devant 'il/ils) elle n’avait rien vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour prit un deuxième, un troisième, puis en (le pronom est correct
(le pronom est correct  , mais vous devez le déplacer et le mettre devant le premier verbe 'prit') prit
, mais vous devez le déplacer et le mettre devant le premier verbe 'prit') prit (enlever : le verbe n'a pas besoin d'être répété) un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit : « Si je n’étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu’elle mangea en
(enlever : le verbe n'a pas besoin d'être répété) un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit : « Si je n’étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit qu’elle mangea en (bien mieux exprimé avec : verbe 'faire' à la forme restrictive, donc avec 'ne... que', c'est-à-dire : 'ne faire que' à conjuguer, précédé du pronom relatif complément du nom  - relisez le lien déjà proposé ; vous conservez le pronom personnel sujet du verbe) une bouchée. Sa concentration sur le roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle est sa  personnalité a-t-il
(bien mieux exprimé avec : verbe 'faire' à la forme restrictive, donc avec 'ne... que', c'est-à-dire : 'ne faire que' à conjuguer, précédé du pronom relatif complément du nom  - relisez le lien déjà proposé ; vous conservez le pronom personnel sujet du verbe) une bouchée. Sa concentration sur le roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle est sa  personnalité a-t-il (enlever : je vous avais demandé de mettre 'personnalité' sujet de la proposition avec le verbe 'être') ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu’elle y
(enlever : je vous avais demandé de mettre 'personnalité' sujet de la proposition avec le verbe 'être') ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu’elle y (erreur de pronom COD ; relisez attentivement le lien déjà proposé et celui d'aujourd'hui et posez-vous la question 'combien de biscuits prenait-elle ?' car ce pronom s'emploie combiné  à un déterminant numéral - un, deux, trois, quatre... - et ici, c'est 'un' ) prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre le  biscuit
(erreur de pronom COD ; relisez attentivement le lien déjà proposé et celui d'aujourd'hui et posez-vous la question 'combien de biscuits prenait-elle ?' car ce pronom s'emploie combiné  à un déterminant numéral - un, deux, trois, quatre... - et ici, c'est 'un' ) prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre le  biscuit (à remplacer par le pronom démonstratif qui représente 'le biscuit' - voir lien - suivi d'un pronom relatif sujet et d'un verbe indiquant de quel biscuit il s'agit). « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible
(à remplacer par le pronom démonstratif qui représente 'le biscuit' - voir lien - suivi d'un pronom relatif sujet et d'un verbe indiquant de quel biscuit il s'agit). « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensible (un autre adjectif conviendrait mieux) » se dit la femme.
(un autre adjectif conviendrait mieux) » se dit la femme.Bon après-midi
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 29-10-2020 à 12:48:45 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide inconditionnelle, j'ai corrigé le texte en respectant vos consignes.
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame alla dans une boutique pour acheter un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’asseoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, elle tendit sa main vers le paquet, prit un biscuit, et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, prendre un biscuit qu’il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si elle n’avait rien vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour en prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit : « Si je n’étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit dont elle ne fit que manger en une bouchée. Sa concentration sur le roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; est-il en pleine santé mentale ? Quelle est sa personnalité ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble mental. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu’elle en prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre celui qui resta. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, mais aussi insensé » se dit la femme.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 30-10-2020 à 00:24:46 (S | E)
 alienor64, postée le 30-10-2020 à 00:24:46 (S | E)Bonsoir nano2000
Encore un petit effort !

Le voleur de biscuits
À l'aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame
 (pas de virgule après 'et') et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet,
(pas de virgule après 'et') et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet, (pas de virgule, mais conjonction de coordination) prendre un biscuit qu'il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si elle n'avait rien  vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour en prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l'effronterie de cet homme, se dit : « Si je n'étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame
(pas de virgule, mais conjonction de coordination) prendre un biscuit qu'il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si elle n'avait rien  vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour en prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l'effronterie de cet homme, se dit : « Si je n'étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». La dame (à remplacer par le pronom personnel sujet) calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit dont elle ne fit que
(à remplacer par le pronom personnel sujet) calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit dont elle ne fit que (élision) manger en
(élision) manger en (enlever) une bouchée. Sa concentration sur le roman s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut
(enlever) une bouchée. Sa concentration sur le roman s'interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle fut (mieux : à l'imparfait, car cet état n'est pas soudain) irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ;
(mieux : à l'imparfait, car cet état n'est pas soudain) irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne ; (pas de point-virgule, mais deux-points et mettre entre guillemets le discours direct  : "...    ") est-il en pleine
(pas de point-virgule, mais deux-points et mettre entre guillemets le discours direct  : "...    ") est-il en pleine (mieux : 'bonne') santé mentale ? Quelle est sa personnalité ? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental
(mieux : 'bonne') santé mentale ? Quelle est sa personnalité ? Il est évident qu'il souffre d'un trouble mental (mieux : 'du comportement'). Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu'elle en prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre celui qui resta
(mieux : 'du comportement'). Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu'elle en prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre celui qui resta (autre temps : imparfait). « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais
(autre temps : imparfait). « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n'est pas seulement impoli, mais (à enlever ; conjuguez à nouveau 'être', précédé du pronom personnel sujet, mais à la forme affirmative) aussi
(à enlever ; conjuguez à nouveau 'être', précédé du pronom personnel sujet, mais à la forme affirmative) aussi (à remplacer par 'surtout') insensé
(à remplacer par 'surtout') insensé (ou 'psychiquement perturbé/ désaxé') » se dit la femme.
(ou 'psychiquement perturbé/ désaxé') » se dit la femme.Bonne soirée
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 30-10-2020 à 12:44:54 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment alienor64 de votre dévouement, voici la correction.
Le voleur de biscuits
À l’aéroport, en attendant son vol pendant des heures, une dame entra dans une boutique pour acheter un roman afin de passer le temps ; elle acheta aussi un paquet de biscuits et alla s’asseoir à côté d’un vieux monsieur. Absorbée par la lecture du roman, elle tendit sa main vers le paquet, prit un biscuit et fut surprise en apercevant la main du vieux monsieur se diriger vers le paquet et prendre un biscuit qu’il mangea sans demander la permission. La dame négligea cet incident, se comporta comme si elle n’avait rien vu et prit un deuxième biscuit. Le vieux monsieur à son tour en prit un deuxième, un troisième, puis un quatrième sans lever les yeux vers la dame. Cette dernière, rouge de colère, stupéfaite par l’effronterie de cet homme, se dit : « Si je n’étais pas gentille, je lui donnerais une gifle ». Elle calma sa colère et continua à lire le roman en prenant un biscuit dont elle ne fit qu’une bouchée. Sa concentration sur le roman s’interrompit quand elle aperçut de nouveau le vieux voleur en train de piocher dans ses biscuits. Elle était irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne : « est-il en pleine santé mentale ? Quelle est sa personnalité ? » Il est évident qu’il souffre d’un trouble du comportement. Cette conclusion apaisa sa nervosité et elle retourna à son roman en cherchant un biscuit dans le sac. « Oh ! Mon Dieu ! Il ne reste que deux biscuits » se dit-elle tandis qu’elle en prenait un. Le vieux voleur ne tarda pas à prendre celui qui restait. « Quelle honte ! Il a pris le dernier biscuit, il n’est pas seulement impoli, il est surtout psychiquement perturbé » se dit la femme.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 30-10-2020 à 18:58:25 (S | E)
 alienor64, postée le 30-10-2020 à 18:58:25 (S | E)Bonsoir nano2000
 Votre texte est désormais tout à fait correct.
 Votre texte est désormais tout à fait correct.  Il est donc inutile de nous le présenter à nouveau.
  Il est donc inutile de nous le présenter à nouveau.J'ai juste mis - en vert - une majuscule en début de discours direct et déplacé un guillemet après 'trouble du comportement'.
- Elle était irritée, gênée et embarrassée en pensant à cet homme sans gêne : « Est-il en pleine santé mentale ? Quelle est sa personnalité ? Il est évident qu’il souffre d’un trouble du comportement".
Bonne continuation

Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 31-10-2020 à 13:44:11 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide, je suis très reconnaissant. S'il vous plaît, pourriez vous m'aider à corriger la deuxième partie du texte ?.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 31-10-2020 à 23:47:44 (S | E)
 alienor64, postée le 31-10-2020 à 23:47:44 (S | E)Bonsoir nano2000
Voici la suite de votre texte :
 Les temps du passé dans une narration : Lien internet
 Les temps du passé dans une narration : Lien internetLes pronoms compléments : Lien internet
Verbes impersonnels : Lien internet
Un grand sourire était dessiné
 (mettre ce verbe à la forme pronominale et à un autre temps) sur les lèvres du voleur (virgule) accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arrivait
(mettre ce verbe à la forme pronominale et à un autre temps) sur les lèvres du voleur (virgule) accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arrivait (autre temps) pas à les
(autre temps) pas à les (erreur : 'un grand sourire' et 'un rire étouffé' sont représentés par le pronom relatif COD  que ; mettre 'les' est donc une erreur)  interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et
(erreur : 'un grand sourire' et 'un rire étouffé' sont représentés par le pronom relatif COD  que ; mettre 'les' est donc une erreur)  interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et  (ici, pronom personnel COI : je vous remets un lien)  offrit une partie
(ici, pronom personnel COI : je vous remets un lien)  offrit une partie ( autre mot : si le biscuit est partagé en deux, il y a donc deux moitiés) à la dame. Pour éprouver
( autre mot : si le biscuit est partagé en deux, il y a donc deux moitiés) à la dame. Pour éprouver (autre verbe) son mécontentement, elle l’arracha de sa main avec des grimaces qui reflètent une morosité intense
(autre verbe) son mécontentement, elle l’arracha de sa main avec des grimaces qui reflètent une morosité intense (à reformuler car les mots sont mal employés : la morosité n'est pas la haine ni la répugnance et ne s'exprime pas par des grimaces) . Elle n’a jamais ressenti
(à reformuler car les mots sont mal employés : la morosité n'est pas la haine ni la répugnance et ne s'exprime pas par des grimaces) . Elle n’a jamais ressenti (autre temps pour exprimer un fait passé qui a eu lieu avant un autre fait passé)  de pareilles émotions
(autre temps pour exprimer un fait passé qui a eu lieu avant un autre fait passé)  de pareilles émotions (autre mot : la haine et la répugnance ne sont pas des émotions) de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un, comme dans la présente situation.
(autre mot : la haine et la répugnance ne sont pas des émotions) de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un, comme dans la présente situation. (à enlever car inutile : 'pareilles', qui  indique la comparaison, suffit)
(à enlever car inutile : 'pareilles', qui  indique la comparaison, suffit)Enfin, il
 ('il' ? de qui parlez-vous ?) poussa un soupir de soulagement quand elle eut entendu
('il' ? de qui parlez-vous ?) poussa un soupir de soulagement quand elle eut entendu (autre temps) l'appel
(autre temps) l'appel (autre mot) de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans retourner
(autre mot) de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans retourner (autre verbe) les yeux vers le voleur gourmand.
(autre verbe) les yeux vers le voleur gourmand.La dame monta dans l’avion et s'allongea
 (autre verbe : on ne s'allonge pas sur un siège !) sur son siège. Elle chercha le roman dans son sac en vue de
(autre verbe : on ne s'allonge pas sur un siège !) sur son siège. Elle chercha le roman dans son sac en vue de (trop long : une simple préposition indiquant le but suffit)
(trop long : une simple préposition indiquant le but suffit)   (ici, pronom personnel COI ; pour vous aider à  le trouver, je souligne le déterminant qui précède le nom : elle va continuer la lecture du roman) continuer la lecture. Au premier coup d’œil (virgule) elle était
(ici, pronom personnel COI ; pour vous aider à  le trouver, je souligne le déterminant qui précède le nom : elle va continuer la lecture du roman) continuer la lecture. Au premier coup d’œil (virgule) elle était (autre temps) clouée sur son siège, les yeux exorbités, muette sous l’effet de la surprise à l’exception de quelques profondes soupires
(autre temps) clouée sur son siège, les yeux exorbités, muette sous l’effet de la surprise à l’exception de quelques profondes soupires (mal dit : à reformuler +  orthographe du nom et accord de l'adjectif : masculin), elle cacha sa bouche avec la main
(mal dit : à reformuler +  orthographe du nom et accord de l'adjectif : masculin), elle cacha sa bouche avec la main (expression maladroite : on met sa main sur sa  bouche) comme s’il
(expression maladroite : on met sa main sur sa  bouche) comme s’il ('il' ? De qui parlez-vous ?) voulait que personne ne sût ce qui s’est passé
('il' ? De qui parlez-vous ?) voulait que personne ne sût ce qui s’est passé (autre temps). « Oh mon Dieu ! C’est mon sac
(autre temps). « Oh mon Dieu ! C’est mon sac (nous avions précédemment remplacé 'sac de biscuits' par 'paquet de biscuits') de biscuits » se disait
(nous avions précédemment remplacé 'sac de biscuits' par 'paquet de biscuits') de biscuits » se disait (autre temps) la dame. Alors, le sac
(autre temps) la dame. Alors, le sac (à remplacer par un pronom démonstratif) qui était entre nous(virgule) c’est
(à remplacer par un pronom démonstratif) qui était entre nous(virgule) c’est (autre temps) le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête.
(autre temps) le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête. (fermez les guillemets) Les sentiments de la
(fermez les guillemets) Les sentiments de la (enlever) culpabilité(virgule) du
(enlever) culpabilité(virgule) du (déterminant défini) remords et du
(déterminant défini) remords et du (même remarque) regret étreignent
(même remarque) regret étreignent (autre temps) son cœur, elle était convaincue que c’est-
(autre temps) son cœur, elle était convaincue que c’est- (autre temps et pas de trait d'union)elle  la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D’ailleurs, c'est
(autre temps et pas de trait d'union)elle  la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D’ailleurs, c'est (à remplacer par la forme impersonnelle de 'être' - voir lien -  et autre temps) trop tard à
(à remplacer par la forme impersonnelle de 'être' - voir lien -  et autre temps) trop tard à (autre préposition pour indiquer le but) s’excuser.
(autre préposition pour indiquer le but) s’excuser.Bonne correction
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 01-11-2020 à 17:53:10 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment alienor64 de votre aide, voici la correction.
Un grand sourire se dessinait sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame. Pour exprimer son mécontentement, elle l’arracha de sa main avec des grimaces reflétant une hostilité intense. Elle n’avait jamais ressenti de pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.
Enfin, elle poussa un soupir de soulagement quand elle entendit l’arrivé de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.
La dame monta dans l’avion et s’assit sur son siège. Elle chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle fut clouée sur son siège, les yeux exorbités, muette sous l’effet de la surprise à l’exception de quelques soupirs profonds, elle mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur, elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D’ailleurs, il est trop tard de s’excuser.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 01-11-2020 à 23:40:00 (S | E)
 alienor64, postée le 01-11-2020 à 23:40:00 (S | E)Bonsoir nano2000
 Adjectif verbal et participe présent : Lien internet
 Adjectif verbal et participe présent : Lien internetPronoms personnels : rôle et place : Lien internet
Lien internet
Un grand sourire se dessinait
 (autre temps: passé simple) sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame.Pour exprimer son mécontentement
(autre temps: passé simple) sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame.Pour exprimer son mécontentement (enlever), elle l'
(enlever), elle l' (ici, il faut deux pronoms compléments : voir lien) arracha de sa
(ici, il faut deux pronoms compléments : voir lien) arracha de sa (déterminant défini) main avec des grimaces
(déterminant défini) main avec des grimaces (à remplacer par l'adjectif verbal de 'grimacer' suivi de 'de colère' - voir lien - et à mettre en début de phrase) reflétant une hostilité intense(mal exprimé : à enlever). Elle n’avait jamais ressenti de
(à remplacer par l'adjectif verbal de 'grimacer' suivi de 'de colère' - voir lien - et à mettre en début de phrase) reflétant une hostilité intense(mal exprimé : à enlever). Elle n’avait jamais ressenti de (à enlever devant un adjectif) pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.
(à enlever devant un adjectif) pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.Enfin, elle poussa un soupir de soulagement quand elle entendit
 (à remplacer par le gérondif du verbe 'entendre') l’arrivé
(à remplacer par le gérondif du verbe 'entendre') l’arrivé (orthographe ; mettre devant ce nom : 'l'annonce' + préposition, car c'est bien une annonce qu'elle entend) de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.
(orthographe ; mettre devant ce nom : 'l'annonce' + préposition, car c'est bien une annonce qu'elle entend) de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.La dame monta dans l’avion et
 (enlever ; mettre une virgule) s’assit sur son siège. Elle
(enlever ; mettre une virgule) s’assit sur son siège. Elle (pas de point : la phrase continue ; enlever le pronom sujet et mettre une conjonction de coordination) chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle fut clouée
(pas de point : la phrase continue ; enlever le pronom sujet et mettre une conjonction de coordination) chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle fut clouée (autre verbe : 'se figer' à conjuguer)  sur son siège,
(autre verbe : 'se figer' à conjuguer)  sur son siège, (point-virgule) les yeux exorbités, muette sous l’effet de la
(point-virgule) les yeux exorbités, muette sous l’effet de la (enlever, mais ne laisser que la préposition) surprise à l’exception de
(enlever, mais ne laisser que la préposition) surprise à l’exception de (enlever) (virgule)
(enlever) (virgule)  (ici, conjuguez le verbe 'étouffer' précédé du pronom personnel sujet) quelques soupirs profonds
(ici, conjuguez le verbe 'étouffer' précédé du pronom personnel sujet) quelques soupirs profonds (devant le nom), elle
(devant le nom), elle (enlever, ainsi que la virgule ; mettre une conjonction de coordination) mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête
(enlever, ainsi que la virgule ; mettre une conjonction de coordination) mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête  (point d'exclamation) ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur,
(point d'exclamation) ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur, (point-virgule) elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D'ailleurs,
(point-virgule) elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. D'ailleurs, (à enlever, car ici, 'd'ailleurs' est mal employé ; mettre l'interjection qui exprime le regret, suivie d'une virgule)  il est
(à enlever, car ici, 'd'ailleurs' est mal employé ; mettre l'interjection qui exprime le regret, suivie d'une virgule)  il est (autre temps) trop tard de
(autre temps) trop tard de (préposition indiquant le but) s’excuser.
(préposition indiquant le but) s’excuser.Bonne soirée
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 02-11-2020 à 17:35:21 (S | E)
Bonjour,
Merci alienor64 de votre aide, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Un grand sourire se dessina sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame. Grimaçante de colère, elle la lui arracha de la main. Elle n’avait jamais ressenti pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.
Enfin, elle poussa un soupir de soulagement en entendant l’annonce de l’arrivée de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.
La dame monta dans l’avion, s’assit sur son siège et chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle se figea sur son siège ; les yeux exorbités, muette de surprise, elle fut étouffée quelques profonds soupirs et mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête ! ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur ; elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. Hélas, il fut trop tard pour s’excuser.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 02-11-2020 à 19:36:43 (S | E)
 alienor64, postée le 02-11-2020 à 19:36:43 (S | E)Bonsoir nano2000
Un dernier petit effort... avant la perfection !

 Voix active et voix passive : Lien internet
 Voix active et voix passive : Lien internetUn grand sourire se dessina sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame. Grimaçante de colère, elle la lui arracha de la main. Elle n’avait jamais ressenti pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.
Enfin, elle poussa un soupir de soulagement en entendant l’annonce de l’arrivée de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.
La dame monta dans l’avion, s’assit sur son siège et chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle se figea sur son siège ; les yeux exorbités, muette de surprise, elle fut étouffée
 (vous devez conjuguer ' étouffer' à la voix active et non passive  : voir lien) quelques profonds soupirs et mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête ! ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur ; elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. Hélas, il fut
(vous devez conjuguer ' étouffer' à la voix active et non passive  : voir lien) quelques profonds soupirs et mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête ! ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur ; elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. Hélas, il fut (autre temps : imparfait) trop tard pour s’excuser.
(autre temps : imparfait) trop tard pour s’excuser.Bonne soirée
Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 03-11-2020 à 17:33:18 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment alienor64 de votre aide inconditionnelle, je suis très reconnaissant. Voici la correction.
Un grand sourire se dessina sur les lèvres du voleur, accompagné d’un rire étouffé que la dame n’arriva pas à interpréter. Le voleur partagea le biscuit en deux et en offrit la moitié à la dame. Grimaçante de colère, elle la lui arracha de la main. Elle n’avait jamais ressenti pareils sentiments de haine ou de répugnance à l’égard de quelqu’un.
Enfin, elle poussa un soupir de soulagement en entendant l’annonce de l’arrivée de son vol. Hâtivement, elle mit le roman dans le sac, prit sa valise et quitta la salle d’attente sans lever les yeux vers le voleur gourmand.
La dame monta dans l’avion, s’assit sur son siège et chercha le roman dans son sac pour en continuer la lecture. Au premier coup d’œil, elle se figea sur son siège ; les yeux exorbités, muette de surprise, elle étouffa quelques profonds soupirs et mit sa main sur la bouche comme si elle voulait que personne ne sût ce qui se passait. « Oh mon Dieu ! C’est mon paquet de biscuits » se dit la dame. « Alors, celui qui était entre nous était le sien ! Il n’a pas refusé de partager son biscuit avec moi ! Oh mon Dieu ! Comme je suis bête ! ». Les sentiments de culpabilité, le remords et le regret étreignirent son cœur ; elle était convaincue que c’était elle la voleuse, l’ingrate et l’impolie. Hélas, il était trop tard pour s’excuser.
Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 03-11-2020 à 17:41:19 (S | E)
 alienor64, postée le 03-11-2020 à 17:41:19 (S | E)Bonsoir nano2000
Cette fois, je n'ai qu'un mot : 'Bravo' !


Bonne continuation

Réponse : Le voleur de biscuits de nano2000, postée le 03-11-2020 à 21:07:31 (S | E)
Bonjour,
Merci infiniment alienor64 de votre aide inconditionnelle, je suis très reconnaissant


Réponse : Le voleur de biscuits de
 alienor64, postée le 04-11-2020 à 09:56:18 (S | E)
 alienor64, postée le 04-11-2020 à 09:56:18 (S | E) à vous, nano2000
 à vous, nano2000 
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