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    Correction
    Message de vangiang posté le 29-11-2018 à 11:47:38 (S | E | F)


    Bonjour, je souhaiterais que vous m'aidiez à corriger ma rédaction sur le sujet au dessous . Merci d'avance .

    Sujet: ‘’ A Sujet: '' Autrefois, nous vivions sans télévison ni Internet et pourtant, on était toujours heureux!...'' a remarqué une grand- mère. Êtes- vous de son avis ?

    Une grand-mere a remarqué: “ Autrefois, nous vivions sans télévision ni télévision et pourtant on était toujours heureux!...” Je suis tout à fait pour cet avis parce qu’ à travers des histoires que j’ entend racontrer de ma grand-mère tous les soirs, je trouve la vie autrefois paisible et heureuse avec trois raisons suivantes .

    D’abord, La vie dans le passé était très simple. Les gens avaient des pensées simples. À cause de la pauvreté et de la dureté de la vie, les gens avaient besoin d’aide et d’échanges qui les rapprochaient des autres. sans Internet ni télévision, les gens passent beaucoup de temps à parler aux autres et à partager leurs difficultés. Les gens aidaient et partageaient beaucoup de choses avec les autres, ils les appréciaient bien et s'en souvenaient longtemps. Ils étaient heureux de donner et ont été donnés avec des sentiments. Cette affection les uns pour les autres a non seulement créé le bonheur mais aussi la gratitude envers les autres et ce qui a formé une bonne société.
    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne. Ils participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avait également des activités sociales pratiques ensemble, comme travailler ensemble à un travail communautaire ou à un spectacle de danse, de chant qui attirait un si grand nombre de personnes à venir observer. Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir de voir des films sur grand écran, ce qui les rendait tellement heureux et excités. Toutes les activités ont rapproché les gens, leur a fait un nouveau bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens.
    Enfin , presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction, aucune différence dans le rang ou parmi les classes de la société. Les uns étaient traités à l’égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu’ils avaient. ils ne devaient pas rivaliser avec les autres parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de notre grand-parents, c’est une vie heureause, sentimentale, très differente de notre société contemporaine où les gens accordent plus de valeurs matériels que d’autres valeurs, où les gens vivent loins des autres. À ce époque, les sentiments n'étaient pas superficiels mais si profonds.




    Réponse : Correction de alienor64, postée le 29-11-2018 à 20:00:46 (S | E)
    Bonsoir vangiang

    L'élision : Lien internet
    Les présentatifs : Lien internet


    Une grand-mere(accent) a remarqué: “ Autrefois, nous vivions sans télévision ni télévision et pourtant on était(continuez avec la 1ere personne du pluriel) toujours heureux!(espace devant un point d'exclamation + supprimez les points de suspension)...” Je suis tout à fait pour(autre préposition) cet avis parce qu' à(ne laissez pas d'espace entre l'apostrophe et 'à') travers des(déterminant défini) histoires que j’ entend(1ere personne + ne laissez pas d'espace entre l'apostrophe et le verbe) racontrer(orthographe) de(autre préposition indiquant l'agent) ma grand-mère tous les soirs, je trouve (ici, conjonction de subordination) la vie (ici, préposition à élider : voir lien sur l'élision) autrefois (ici, conjuguez 'être' à l'imparfait) paisible et heureuse avec(autre préposition indiquant la cause, suivie d'un déterminant défini) trois raisons suivantes .(pas d'espace devant un point)

    D'abord(mieux : 'Tout d'abord'), La(minuscule) vie dans le passé était très simple. Les gens avaient des pensées simples( autre adjectif pour éviter une répétition). À cause de la pauvreté et de la dureté de la vie, les gens avaient besoin d’aide et d’échanges qui les rapprochaient les uns des autres. sans(une phrase commence par une lettre majuscule) Internet ni télévision, les gens passent(autre temps) beaucoup de temps à parler aux autres et à partager leurs difficultés. Les gens aidaient et partageaient beaucoup de choses avec les autres( à enlever car vous vous répétez ! Redire la même chose est inutile), ils les(enlever) appréciaient (ici, mettez un COD à ce verbe) bien(enlever) et s'en souvenaient longtemps. Ils étaient heureux de donner et ont été donnés(incorrect ; à remplacer par le verbe 'faire' précédé d'une préposition puis d'un pronom personnel COD mis pour le verbe 'donner') avec des sentiments. Cette affection les uns pour les autres (ici, pronom personnel COI mis pour 'les gens') a non seulement a créé(autre verbe au passé composé : 'procurer') le(déterminant partitif) bonheur mais aussi (ici, préposition) la gratitude envers les autres(enlever) et(à enlever ; mettre un point virgule) (ici, mettez un présentatif devant 'ce qui' : voir lien) ce qui a formé une bonne société.
    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne. Ils participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avait(sujet 'ils') également des activités sociales pratiques(enlever) ensemble, comme travailler(pour éviter 'travailler'/'travail', mettre un autre verbe : 'participer') ensemble(enlever) à un travail communautaire ou à un spectacle de danse, de chant(pluriel) qui attirait un si(enlever ; autre adverbe indiquant l'intensité absolue) grand nombre de personnes à venir observer(enlever). Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir de(autre préposition indiquant le but) voir des films sur grand écran, ce qui les rendait tellement(autre adverbe indiquant l'intensité) heureux et excités(enlever)). Toutes les(déterminant démonstratif) activités ont rapproché les gens, leur a fait(sujet 'activités', mais autre verbe : 'procurer' un nouveau(enlever) bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens.
    Enfin ,(pas d'espace devant une virgule) presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction, aucune(à remplacer par une conjonction de coordination indiquant une négation, suivie d'une préposition) différence dans le rang ou parmi les classes de la société. Les uns étaient traités à l’égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu’ils avaient.(pas de point, mais conjonction de coordination) ils(enlever) ne devaient pas rivaliser avec les autres parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de notre grand-parents(pluriel), c'est(à enlever, ainsi que la virgule ; conjuguez 'être' à un temps du passé) une vie heureause(orthographe), sentimentale(le sens de cet adjectif ne convient pas dans ce contexte), très differente(accent) de notre société contemporaine où les gens accordent plus de valeurs (ici, il manque un nom que qualifie l'adjectif 'matériels', précédé d'un déterminant contracté, contraction de 'à + les') matériels que(élidez la conjonction 'que' et faites-la suivre d'une préposition) d’autres valeurs, (enlever ; mettre une conjonction de coordination indiquant la cause) les gens vivent loins(orthographe : c'est un adverbe, donc invariable) des autres(ce n'est pas exact. Ils peuvent ne pas vivre éloignés les uns des autres, mais être loin des préoccupations ou des problèmes que rencontre leur plus proche voisin. Ce n'est, par bonheur, pas toujours le cas). À ce(accord avec 'époque') époque, les sentiments n'étaient pas superficiels mais si(autre adverbe indiquant l'intensité) profonds.

    Bonne correction



    Réponse : Correction de vangiang, postée le 01-12-2018 à 04:33:13 (S | E)
    Merci de vorte correction minutieuse. C’est ma rédaction corrigée.

    Une grand-mère a remarqué: “ Autrefois, nous vivions sans télévision ni Internet et pourtant nous étions toujours heureux !” Je suis tout à fait de cet avis parce qu'à travers les histoires que j’entends raconter par ma grand-mère tous les soirs, je trouve que la vie d’autrefois était paisible et heureuse pour trois raisons suivantes.
    Tout d'abord, la vie dans le passé était très simple. Les gens avaient des pensées naives. À cause de la pauvreté et de la dureté de la vie, les gens avaient besoin d’aide et d’échanges qui les rapprochaient les uns des autres. Sans Internet ni télévision, les gens passaient beaucoup de temps à parler aux autres et à partager leurs difficultés, ils appréciaient les aides et s'en souvenaient longtemps. Ils étaient heureux de donner et recevoir avec des sentiments. Cette affection les uns pour les gens a non seulement a procuré du bonheur mais aussi de la gratitude. Tout cela a formé une bonne société.
    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne. Ils participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avaient également des activités sociales ensemble, comme participer à un travail communautaire ou à un spectacle de danse, de chants qui attiraient un grand nombre de personnes. Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir pour voir des films sur grand écran, ce qui les rendait très heureux. Toutes ces activités ont rapproché les gens, leur a procuré un bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens.
    Enfin, presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction ni différence dans le rang ou parmi les classes de la société. Les uns étaient traités à l’égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu’ils avaient et ne devaient pas rivaliser avec les autres parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de nos grand-parents, une vie heureuse, très différente de notre société contemporaine où les gens accordent plus aux valeurs matériels qu’autres valeurs, c’est pourquoi les gens vivaient loin des préoccupations ou des problèmes que rencontre leur plus proche voisin. À cet époque, les sentiments n'étaient pas superficiels mais profonds.




    Réponse : Correction de alienor64, postée le 01-12-2018 à 10:38:43 (S | E)

    Bonjour vangiang

    Les pronoms démonstratifs : Lien internet


    Une grand-mère a remarqué:(espace devant deux points en typographie française) “ Autrefois, nous vivions sans télévision ni Internet et pourtant nous étions toujours(vous pouvez enlever cet adverbe) heureux !” Je suis tout à fait de cet avis parce qu'à travers les histoires que j’entends raconter par ma grand-mère tous les soirs(mieux après le verbe 'raconter'), je trouve que la vie d’autrefois était paisible et heureuse pour (ici, déterminant défini car vous avez mis un adjectif qualificatif - 'suivantes' - au nom) trois raisons suivantes.
    Tout d'abord, la vie dans le passé était très simple. Les gens avaient des pensées naives(tréma sur le ï ; cliquez sur la case grise 'Accents' pour l'écrire. De plus, comment pouvez-vous savoir ce que pensaient les gens ? Vous pouvez supprimer cette phrase). À cause de la pauvreté et de la dureté de la vie, les gens avaient besoin d’aide et d’échanges qui les rapprochaient les uns des autres. Sans Internet ni télévision, les gens passaient beaucoup de temps à parler aux autres(à remplacer par la préposition 'entre' qui indique une relation de réciprocité, suivie d'un pronom personnel tonique, représentant 'les gens' : voir lien dans la correction précédente) et à partager leurs difficultés, ils appréciaient les aides et s'en souvenaient longtemps. Ils étaient heureux de donner et de recevoir avec des sentiments(à remplacer par 'générosité'). Cette affection les uns pour les gens(ce mot, après 'les uns', ne convient pas) (ici, pronom personnel COI) a non seulement a procuré(enlever l'auxiliaire : il est déjà placé devant 'non seulement') du bonheur mais aussi de la gratitude. Tout cela a formé une bonne société.
    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne. Ils(à supprimer ainsi que le point pour continuer la phrase et à remplacer par une conjonction de coordination qui introduit une précision) participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avaient également des activités sociales ensemble, comme participer(pour éviter une répétition du mot, à remplacer par 'prendre part' qui a le même sens) à un travail communautaire ou à un spectacle de danse, de chants qui attiraient un grand nombre de personnes. Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir pour voir des films sur grand écran, ce qui les rendait très heureux. Toutes ces activités ont rapproché les gens, leur a procuré un bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens.
    Enfin, presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction ni différence dans le rang ou(enlever) parmi les classes de la société. Les uns étaient traités à l’égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu’ils avaient et ne devaient pas(enlever) rivaliser(à conjuguez à l'imparfait) avec les autres(virgule) parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de nos grand-parents, une vie heureuse,(ici, il manque un verbe : c'est la proposition principale) très différente de (ici, pronom démonstratif mis pour 'la vie' suivi d'une préposition) : voir lien) notre société contemporaine où les gens accordent plus (C'est incomplet : 'plus' de quoi ? 'Plus' doit être suivi de la préposition 'de' + complément) aux valeurs matériels(accord avec 'valeurs') qu’(ici, déterminant contracté, contraction de 'à + les') autres valeurs, c’est pourquoi les gens vivaient loin des préoccupations ou des problèmes que rencontre leur plus proche voisin(à reformuler, car ce que vous écrivez dit exactement le contraire de ce que vous avez auparavant exprimé et de ce qui suit ; vous n'avez certainement pas bien lu ou bien compris l'explication que je vous avais donnée). À cet(accord avec 'époque') époque, les sentiments n'étaient pas superficiels mais profonds.

    Bonne journée



    Réponse : Correction de vangiang, postée le 15-12-2018 à 03:03:05 (S | E)
    Une grand-mère a remarqué : “ Autrefois, nous vivions sans télévision ni Internet et pourtant nous étions heureux !” Je suis tout à fait de cet avis parce qu'à travers les histoires que j’entends raconter tous les soirs par ma grand-mère, je trouve que la vie d’autrefois était paisible et heureuse pour les trois raisons suivantes.
    Tout d'abord, la vie dans le passé était très simple. À cause de la pauvreté et de la dureté de la vie, les gens avaient besoin d’aide et d’échanges qui les rapprochaient les uns des autres. Sans Internet ni télévision, les gens passaient beaucoup de temps à parler entre eux et à partager leurs difficultés, ils appréciaient les aides et s'en souvenaient longtemps. Ils étaient heureux de donner et de recevoir avec générosité. Cette réciprocité a procuré non seulement du bonheur mais aussi de la gratitude. Tout cela a formé une bonne société.
    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne, ils donc participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avaient également des activités sociales ensemble, comme prendre part à un travail communautaire ou à un spectacle de danse, de chants qui attiraient un grand nombre de personnes. Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir pour voir des films sur grand écran, ce qui les rendait très heureux. Toutes ces activités ont rapproché les gens, leur a procuré un bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens.
    Enfin, presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction ni différence parmi les classes de la société. Les uns étaient traités à l’égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu’ils avaient et ne rivalisait avec les autres, parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de nos grand-parents est heureuse et très différente de celle contemporaine où les gens accordent plus des valeurs matérielles qu’autres valeurs, c’est pourquoi les gens comprennent des préoccupations ou des problèmes que rencontre leur plus proche voisin (je n’ai pas bien compris ton explication, est-ce-que vous pourriez m’expliquer encore une fois ?). À cette époque, les sentiments n'étaie pas superficiels mais profonds.

    Bonne journée



    Réponse : Correction de alienor64, postée le 15-12-2018 à 12:07:56 (S | E)
    Bonjour vangiang

    Que de progrès ! Il reste quelques erreurs et je ne recopie que la partie à corriger :

    Les pronoms personnels toniques : Lien internet

    Les pronoms possessifs : Lien internet
    La voix passive : Lien internet


    Ensuite, sans Internet ni télévision, ils n'avaient donc pas de jeux en ligne, ils doncerreur ; à enlever. Mettez une conjonction de coordination qui indique une précision) participaient ensemble à des jeux traditionnels. Ils avaient également des activités sociales ensemble(enlever), comme prendre part à un travail communautaire ou à un spectacle(pluriel) de danse, de chants qui attiraient un grand nombre de personnes. Sans télévision ni Internet, ils devaient se réunir pour voir des films sur grand écran, ce qui les rendait très heureux. Toutes ces activités ont rapproché les gens, leur a procuré(sujet de ce verbe : 'Toutes ces activités') un bonheur simple. Cela a créé de vrais sentiments entre les gens(à remplacer par un pronom personnel tonique, pour éviter la répétition rapprochée d'un même mot : voir lien).
    Enfin, presque tout le monde était pauvre après la guerre, de sorte qu'il n'y avait pas de distinction ni (ici, préposition) différence parmi les classes de la société(mieux : à remplacer par l'adjectif de la même famille que 'société'). Les uns étaient traités à l'égal des autres. Ils se sentaient toujours contents avec ce qu'ils avaient et ne rivalisait(sujet : 'ils' et forme négative incomplète : il manque un élément de la négation après le verbe : 'ne + verbe + petit mot de négation) avec les autres, parce que leur vie était simple.
    En somme, la vie de nos grand-parents est(autre temps) heureuse et très différente de celle contemporaine(incorrect car le pronom démonstratif 'celle' qui représente 'la vie', doit être suivi d'une préposition + nom (remettez celui que vous aviez écrit)+ 'contemporaine' ; ou mieux et pour plus de simplicité : 'très différente de' + pronom possessif composé : voir lien) où les gens accordent plus (ici, après 'plus' : préposition + nom (COI). Qu'accordent-ils donc de plus à ces valeurs ? 'Plus' de quoi ? plus d'importance, plus d'intérêt ?) des(déterminant contracté, contraction de 'à + les') valeurs matérielles qu'(ici, même déterminant contracté que le précédent) autres valeurs,(autre ponctuation : point-virgule) c'est pourquoi(ici, mettez un repère temporel : de nos jours/ aujourd'hui/ à l'heure actuelle) les gens comprennent ('c'est pourquoi' introduit l'explication de ce qui précède, c'est-à-dire, la vie actuelle. La conjugaison au présent convient, mais vous devez remplacer le verbe 'comprendre' par 'concerner' à la forme négative et passive (présent passif) : voir lien) des(déterminant défini) préoccupations ou des(déterminant défini) problèmes que rencontre(sujet de ce verbe : 'préoccupations/ problèmes') leur plus proche voisin (je n'ai pas bien compris ton('votre', puisque plus loin, vous employez le vouvoiement) explication, est-ce-que vous pourriez m'expliquer encore une fois ?). À cette époque(quelle époque ? Celle dont vous venez de parler,c'est-à-dire la nôtre, ou celle, plus lointaine, de nos grands-parents ? Autre formulation pour éviter toute confusion entre ce qui était et ce qui est) , les sentiments n'étaie(orthographe) pas superficiels mais profonds.

    -Je vais tenter une explication : autrefois, avec la dureté de la vie, l'entraide était indispensable ; les gens étaient alors sensibles à la détresse de leurs voisins ; ils formaient une communauté et pouvaient ainsi vivre ou 'survivre'. De nos jours, par les médias, nous sommes souvent plus renseignés sur ce qui se passe à l'autre bout du monde et ignorons que, tout près de chez nous, des gens vivent dans la précarité. Le paradoxe actuel est que nos modes de vie, tout en nous ouvrant au monde par les moyens de communication et les médias, nous isolent et, de ce fait, nous renferment sur nous-mêmes et sur nos problèmes. Je précise que ceci n'est pas une généralité et que je ne fais que tenter d'expliquer ce que vous me demandez. Par bonheur, beaucoup viennent en aide aux plus démunis, mais cela est souvent le fait d'une démarche collective, associative, et non plus individuelle comme autrefois.

    Bonne journée









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