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    Portrait physique et moral

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    Portrait physique et moral
    Message de nano2000 posté le 20-03-2020 à 12:06:26 (S | E | F)
    Bonjour,
    S'il vous plaît, pourriez-vous m'aider à corrigé ce portrait physique et morale ? Et merci.

    Monsieur R. était un vieux de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu'il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale devenait bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieux avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. En dehors, monsieur R. couvrait toujours sa tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie de leurs coutumes et traditions, le fait de paraitre sans turban fut considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux étaient en continuité avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus non convenable à son front large, mais en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sa peau de rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues joufflues, chacune de ces rides racontait les longues histoires vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision attentive s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, à l’aide de grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou parait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et des épaules carrées, à chacune d’elle suspendait un bras et un avant-bras massifs achevés d’une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient pleines de chaires, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respectueux parmi ses égaux.



    Réponse : Portrait physique et moral de gerold, postée le 20-03-2020 à 13:07:16 (S | E)
    Bonjour nano2000

    S'il vous plaît, pourriez-vous m'aider à corrigéer ce portrait physique et morale ? Merci.

    Monsieur R. était un vieux plus respectueux : ajoutez le mot "homme" et attention à la forme de l'adjectif de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu'il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale devenait bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieux même remarque avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. En dehors autre expression, monsieur R. couvrait toujours sa (on dit "se laver les mains" plutôt que "laver ses mains", donc ici ...?) tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie de leurs les coutumes de qui ? coutumes et traditions, le fait de paraitre sans turban fut imparfait considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux étaient en continuité avec un peu étrange, employez le verbe "se confondre" sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus non convenable à pronom relatif + "ne pas aller avec" son front large, mais xx ajoutez le verbe être" à la forme appropriée en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé ajoutez une préposition sa peau de contraction de de + les (rendue nécessaire par la mofication précédente) rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues joufflues "joufflu" signifie "qui a des joues pleines", une personne peut être joufflue, pas les joues elles-mêmes chacune de ces rides racontait les longues histoires qu'il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant virgule qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision attentive s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, à l’aide de autre expression grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou parait mettez le verbe à l'imparfait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et des simple préposition épaules carrées, à chacune d’elle suspendait enlevez le préfixe et accordez avec les sujets un bras et un avant-bras massifs achevés d’ autre verbe au participe passé une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient pleines de chaires orthographe, et au singulier, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraient erreur de conjugaison plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respectueux on le respecte, changez la fin de ce mot parmi ses égaux.

    Corrigez le texte, puis repostez-le s'il vous plaît !



    Réponse : Portrait physique et moral de nano2000, postée le 20-03-2020 à 14:24:02 (S | E)
    Bonjour,
    Merci gerold de votre aide, voici la correction.
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu‘il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale devenait bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. A l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraitre sans turban fût considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais fût en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues, chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision attentive s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, en plus de ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées, à chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés d’une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient pleines de chair, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses égaux.



    Réponse : Portrait physique et moral de laure95, postée le 20-03-2020 à 18:36:15 (S | E)
    Bonsoir,
    - Quoiqu‘ (accent pas dans le bon sens)il fût teinté de blanc à l’origine,
    - son visage ovale: masculin.
    - paraitre: il faut un accent circonflexe sur le "i".
    - mais (sujet)fût en pleine conformité
    - Les années vécues avaient tracé sur (adjectif possessif)peau des rides longitudinales
    - bien visibles sur le front et les joues: mettre un possessif à la place de "le" et "les".
    - il semblait aux gens que sa tête se joignait (utiliser le verbe rejoindre)directement au tronc.
    - à (au bas de à la place de "à")chacune d’elle pendaient un bras
    - et un avant-bras massifs terminés d’(par pas d')une main à la fois craquelée et poilue.
    - les cuisses étaient pleines de chair: construire avec l'adjectif charnu.
    - parmi ses égaux: parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de nano2000, postée le 20-03-2020 à 19:48:15 (S | E)
    Bonjour,
    Merci laure95 de vos remarques précieuses.
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale devenait bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban fût considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais il fût en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur son front et ses joues, chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision attentive s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, en plus de ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées, au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de alienor64, postée le 20-03-2020 à 23:08:39 (S | E)
    Bonsoir laure95

    Une de vos propositions de correction m'interpelle :

    '- son visage ovale: masculin.'

    - Pourquoi avoir précisé que 'son visage ovale' est masculin ?

    De plus : '... avaient tracé sur (adjectif possessif)peau... ' Les adjectifs possessifs sont désormais appelés déterminants possessifs.








    Réponse : Portrait physique et moral de gerold, postée le 21-03-2020 à 10:35:02 (S | E)
    Bonjour nano2000

    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale devenait compte tenu de l'âge de monsieur R., le processus doit être terminé, donc employez plutôt le plus-que parfait bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban fût il faut un conditionnel passé considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais il fût "fût" (avec l'accent) est un subjonctif imparfait qui ne convient pas ici, il faut un temps de l'indicatif ; allégez la phrase en enlevant le pronom personnel en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur son front et ses joues, chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision attentive changez le nom ou l'adjectif, ils ne vont pas bien ensemble s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, en plus de pour le sens, "à l'aide de" convenait mieux, cherchez une expression synonyme ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées, au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de laure95, postée le 21-03-2020 à 11:50:57 (S | E)
    Bonjour alienor,
    Désolée, j'avais trouvé sur internet que l'adjectif ovale pouvait se mettre s'écrire "oval" au masculin.
    Quant à ma formulation d'adjectif possessif, c'est une formulation que j'utilise en grammaire anglaise pour différencier des pronoms possessifs.



    Réponse : Portrait physique et moral de nano2000, postée le 21-03-2020 à 12:08:31 (S | E)
    Bonjour,
    Un grand merci à vous tous pour votre aide.
    Portrait physique et moral
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban aurait été considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais fut en pleine conformité avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues, chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision approfondie s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, au moyen de ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant, il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées, au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de alienor64, postée le 21-03-2020 à 14:13:39 (S | E)
    Bonjour laure95

    - Sur internet on trouve tout et... n'importe quoi ! Le site du CNRLL ne vous aurait pas induite en erreur : Lien internet


    - En grammaire française, il est impossible de confondre déterminants possessifs et pronoms possessifs ; chacun a sa fonction propre. Il n'y a donc aucune raison de ne pas employer la bonne dénomination.

    Bonne fin de semaine



    Réponse : Portrait physique et moral de gerold, postée le 21-03-2020 à 18:49:55 (S | E)
    Bonsoir

    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud, plein de graisse cette expression me gêne un peu. Elle est en décalage avec le reste de votre texte et ne donne pas vraiment envie de lire la suite. Je vous propose de l'enlever. Il faudra alors déplacer "courtaud" Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban aurait été* considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais fut en pleine conformité il faut l'imparfait, et utilisez plutôt le verbe "s'accorder" avec un adverbe (le contraire de "mal") avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues, il faudrait une ponctuation plus forte que la virgule chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision approfondie cette expression s'emploie au sens figuré (avoir une vision approfondie de la situation), cela ne convient pas dans ce contexte s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, au moyen de cherchez une expression synonyme mais qui conviendrait mieux ici ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant, changez la ponctuation il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées, idem au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.

    * Autre possibilité : le plus-que-parfait du subjonctif utilisé comme conditionnel passé deuxième forme, qui irait bien avec le style de votre texte.



    Réponse : Portrait physique et moral de nano2000, postée le 21-03-2020 à 21:09:24 (S | E)
    Bonjour gerold,
    Merci infiniment de votre aide, j'espère que cette correction vous plaît.
    Portrait physique et moral
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud et obèse, pourtant les traits de son visage étaient facilement identifiables. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban aurait été considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais s’accordait mieux avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues. Chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision forte s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, avec ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant. Il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées ; au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de gerold, postée le 22-03-2020 à 11:37:29 (S | E)
    Bonjour

    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud et obèse, point-virgule pourtant les traits de son visage étaient facilement identifiables. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban aurait été (ou eût été) considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, celle-ci mieux : faites une proposition relative couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais s’accordait mieux "mieux" est le comparatif de ...? avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues. Chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À sa vision forte cette expression s'emploie seulement au sens figuré (par exemple : "il avait une vision forte du rôle de la culture dans la société") "perçante" conviendrait, mais vous avez déjà employé cet adjectif dans la phrase précédente. Suggestion : À son œil de/d'(nom d'un animal) s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, avec ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant. Il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées ; au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de nano2000, postée le 22-03-2020 à 12:36:17 (S | E)
    Bonjour gerold,
    Merci de votre aide inconditionnelle, voici la correction du texte.
    Portrait physique et moral
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud et obèse ; pourtant les traits de son visage étaient facilement identifiables. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban eût été considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, qui couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais s’accordait le mieux avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues. Chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À son œil d’aigle s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, avec ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant. Il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées ; au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.



    Réponse : Portrait physique et moral de veronica71, postée le 22-03-2020 à 13:40:10 (S | E)

    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud et obèsepourtant les traits de son visage étaient facilement identifiables. 


    Je ne  comprends pas pourquoi vous avez ajouté cela à  votre phrase,  et "pourtant " ne me semble pas justifié ici.


    Je me  trompe peut-être, j'aimerais avoir l'avis de membres plus éclairés que moi sur le sujet.


    Bonne journée à tous, prenez soin de vous et de vos proches. 


     





    Réponse : Portrait physique et moral de gerold, postée le 22-03-2020 à 16:41:06 (S | E)
    Monsieur R. était un vieil homme de soixante-dix ans, courtaud et obèse ; pourtant les traits de son visage étaient facilement identifiables Je n'avais pas remarqué cet ajout qui, en effet, n'est peut-être pas indispensable. Quoiqu’il fût teinté de blanc à l’origine, son visage ovale était devenu bronzé à cause de l’exposition continue au soleil. Sa physionomie froide reflétait une personnalité sérieuse et discrète. Le vieil homme avait des cheveux blancs embellis de noir ; chaque poil blanc mémorisait l’expertise acquise durant sa vie. À l’extérieur de la maison, monsieur R. se couvrait toujours la tête avec un turban ; d’ailleurs, cette habitude faisait partie des coutumes et traditions des gens de la ville, le fait de paraître sans turban eût été considéré comme une atteinte à l’identité culturelle de la ville. Ses cheveux se confondaient avec sa barbe fournie, qui couvrait la moitié de ses joues et son menton rond. Il avait un nez camus qui n’allait pas avec son front large, mais s’accordait le mieux bien avec ses lèvres minces. Les années vécues avaient tracé sur sa peau des rides longitudinales bien visibles sur le front et les joues. Chacune de ces rides racontait les longues histoires qu’il avait vécues. Ses yeux flamboyants et enfoncés renseignaient sur sa sagesse incontestable. Son regard perçant, qui pouvait atteindre le fond de l’âme, lui procurait la capacité de comprendre son interlocuteur dès le premier coup d’œil. À son œil d’aigle* s’ajoutait son ouïe très développée ; cette dernière, avec ses grandes oreilles, percevait le moindre son. Cette qualité le rendait attentif à tout ce qui se passait autour de lui.
    Comme il était courtaud, son cou paraissait presque inexistant. Il semblait aux gens que sa tête se joignait directement au tronc. Celui-ci était formé d’un thorax graisseux, d’un ventre rebondi et d’épaules carrées ; au bas de chacune d’elle pendaient un bras et un avant-bras massifs terminés par une main à la fois craquelée et poilue. Concernant la partie inférieure, les cuisses étaient charnues, les mollets devenaient incapables de porter le reste du corps et les pieds paraissaient plats sous l’effet du poids excessif.
    Monsieur R. se vêtait toujours somptueusement, il portait une djellaba de laine immaculée avec des babouches de cuir brodées et ornées de fils de cuivre. Monsieur R. était le plus savant de la ville, par conséquent il était le plus connu et le plus respecté parmi ses pairs.

    * Autre possibilité : "À son œil de lynx ...".

    Votre texte est maintenant quasiment parfait, il est inutile de le reposter. Félicitation pour votre très bon niveau de français !




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