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    Violence-correction

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    Violence-correction
    Message de jerbiadel posté le 31-12-2013 à 10:30:54 (S | E | F)
    Bonjour tout le monde,
    Voulez-vous s'il vous plaît m'aider à corriger ce sujet. Je vous en remercie.
    Suite à un manque de confiance en soi, à un sentiment de non- appartenance, à l’aliénation et au désespoir, les jeunes deviennent de plus en plus brutales et ils se conduisent vers la violence pour exprimer leur refus de société. A ce sujet et en premier lieu, je m’intéresserai aux facteurs donnant naissance à la violence chez les jeunes. En second lieu j’aborderai ses effets sur la société. Enfin j’essaierai de donner une approche que je la voix susceptible de combattre, en partie, ce phénomène de refuge vers la violence.
    Plusieurs facteurs jouissant un vrais catalyseur de la violence dans une société. On trouve parmi eux, ceux qui sont lié à la pauvreté, à la vie familiale, au système scolaire et au non liberté de l’expression.
    En effet, Les jeunes qui vivent une pauvreté combinée à l’isolement, à des logements indignes et à la rappelle quotidienne du refus social sont marginalisés et soufrent d’une manque de l’estime de soi, de désespoir et au non- appartenances. Ces immenses sentiments de la marginalisassions et de souffrance les conduisent dans la plus part du temps à des comportements illégitimes.
    Plus, les jeunes élèves suspendus ou renvoyez de l’école, dans un âge critique et sans aucun soutien ni de l’aide social qui leur permis de poursuivre ou apprendre certaines activités positives, se sont trouvés dés leur enfance à la rue pendant une longue période. Une majorité de ces jeunes en question se sont entrainés dans une atmosphère non sain et à des fréquentations mal jugées.
    Encore, les jeunes vivaient dans des familles divisées, perturbées ou mal traitées subissent des conséquences endommageant leurs intérêts aux études, leurs capacités d’apprendre et leurs relations avec les autres. Ceux qui vivent aussi sans soutiens familiale ou s’eux qui n’ont même pas de famille se trouve en général dans des circonstances favorisant chez eux les caractères violents.
    J’ajoute aussi, les jeunes n’ayant pas la possibilité de s’exprimer, d êtres écoutés ou à confrontés à des sujet qui les concernent approuvent d’avantage les sentiments de l’aliénation et de manque de confiance en soi.
    Certes, on peut trouver d’autres causes conduisant à la violence. Mais ces facteurs dont je viens d’analysés sont a mon avis les plus sérieux. Ces causes d’une vaste diversité, toutes cumulées, entraineront des conséquences regrettables au niveau économique, politique et social. Une atmosphère de violence morale ou matérielle entrainera par obligation une Augmentation de taux de criminalités. Il Provoquera aussi Une diminution de taux d’investissements et par conséquence l’augmentation de taux de pauvreté et de chômages. Il conduira en d’autre terme la société à une crise sociale et à une instabilité sécuritaire dont les gens se sentiront angoissés et anxiétés.
    Ainsi, toutes les causes de la violence et ses conséquences fatales confrontées par notre société devraient être combattus.
    A mon sens, je voix qu’il faudra donner de l’espoir aux gens qui vivent dans la pauvreté ainsi aux familles connaissant des difficultés sociale, les aidé à surmonter ses difficultés et de les libérer de tous les signes négatifs que les déçoivent. Qu’on donnera plus d’importance aux interventions préscolaires et scolaires afin que les résultats de ses jeunes scolarisés deviennent positifs. Qu’on encouragera d’avantage les jeunes à proposer des idées nouvelles, de leur donner la possibilité de s’exprimer dans des domaines qui les concernes, de leur transmettre un message positif et les impliqués dans la prise de décisions.

    -------------------
    Modifié par mariebru le 03-01-2014 13:45


    Réponse: Violence-correction de alienor64, postée le 31-12-2013 à 12:15:14 (S | E)

    Bonjour Jerbiadel

    Suite à un manque de confiance en soi, à un sentiment de non- appartenance( non-appartenance" à quoi ? à préciser), à l’aliénation et au désespoir, les jeunes deviennent de plus en plus brutales(erreur) et ils se conduisent(autre verbe) vers la violence pour exprimer leur refus de (il manque un article)société. A ce sujet et en premier lieu, je m’intéresserai aux facteurs donnant naissance à la violence chez les jeunes. En second lieu j’aborderai ses effets sur la société. Enfin j’essaierai de donner une approche que je la voix(verbe " voir") susceptible(mal dit; à reformuler clairement) de combattre, en partie, ce phénomène de refuge vers(autre préposition) la violence.
    Plusieurs facteurs jouissant(autre verbe à conjuguer au présent indicatif) un vrais(accord avec le nom qu'il qualifie) catalyseur(s'agit-il des " facteurs"?) de la violence dans une(article défini) société(Cette phrase est à reformuler car bien confuse). On trouve parmi eux, ceux qui sont lié(accord) à la pauvreté, à la vie familiale, au système scolaire et au(préposition + article féminin) non liberté de l’expression( mal formulé : " d'expression").
    En effet, Les(pas de majuscule) jeunes qui vivent une pauvreté combinée à l’isolement, à des logements indignes et à la rappelle quotidienne(groupe nominal masculin)du refus social sont marginalisés et soufrent(orthographe) d’une manque de l(!( d'))’estime de soi, de désespoir et au(préposition) non- appartenances(singulier + préciser de quelle non -appartenance il s'agit). Ces immenses(autre adjectif) sentiments de la marginalisassions(orthographe) et de souffrance les conduisent dans(enlever) la plus part(en un seul mot) du temps à des comportements illégitimes.
    Plus(mal dit : il manque une préposition devant ce mot), les jeunes élèves suspendus ou renvoyez(erreur) de l’école, dans un âge critique et sans aucun soutien ni de(enlever) l’(enlever)aide social(accord) qui leur permis(à conjuguer au conditionnel) de poursuivre ou(il faut une préposition) apprendre certaines activités positives, se sont trouvés dés(accent grave) leur enfance à la rue pendant une longue période. Une majorité de ces jeunes en question se sont entrainés(accent circonflexe + " entraînés " à quoi ? A préciser) dans une atmosphère non sain(accord féminin + autre adjectif synonyme) et à des fréquentations mal jugées( autre adjectif).



    Réponse: Violence-correction de alienor64, postée le 31-12-2013 à 12:57:08 (S | E)
    La suite !

    Encore(autre adverbe), les jeunes vivaient(pourquoi un imparfait ?) dans des familles divisées, perturbées ou mal traitées(autre terme pour décrire cela)( ici, il faut une conjonction de coordination) subissent des conséquences endommageant leurs intérêts(singulier) aux(enlever; " pour les études ") études, leurs capacités d’apprendre et leurs relations avec les autres. Ceux qui vivent aussi sans soutienssingulier) familiale(accord masculin) ou s’eux(orthographe) qui n’ont même pas de famille se trouve(pluriel) en général dans des circonstances favorisant chez eux les(autre article singulier + ne pas oublier d'accorder les mots qui suivent) caractères violents.
    J’ajoute aussi,(virgule à enlever; mettre un pronom relatif) les jeunes n’ayant pas la possibilité de s’exprimer, d êtres(orthographe) écoutés ou à(enlever) confrontés à des sujet(pluriel) qui les concernent(virgule) approuvent(ce n'est pas le bon verbe) d’avantage(en un seul mot : c'est un adverbe) les(article indéfini) sentiments de l d’aliénation et de manque de confiance en soi.
    Certes, on peut trouver d’autres causes conduisant à la violence. Mais ces facteurs dont(autre pronom relatif) je viens d’analysés(erreur; infinitif) sont a(accent) mon avis les plus sérieux. Ces causes d’une vaste diversité, toutes cumulées, entraineront(accent circonflexe) des conséquences regrettables au niveau économique, politique et social. Une atmosphère de violence morale ou matérielle entrainera par obligation( à formuler différemment) une Augmentation(pas de majuscule) de( autre article partitif) taux de criminalités(singulier). Il( Que représente ce pronom?) Provoquera(pas de majuscule) aussi Une(idem) diminution de(autre article) taux d’investissements et par conséquence l’augmentation de(idem) taux de pauvreté et de chômages(singulier). Il(voir plus haut) conduira en d’autre terme(pluriel) la société à une crise sociale et à une instabilité sécuritaire dont(autre pronom relatif) les gens se sentiront angoissés et anxiétés(erreur; il faut un adjectif) Cette partie de phrase est à reformuler . Il manque des ponctuations, dans vos phrases.
    Ainsi, toutes les causes de la violence et ses conséquences fatales confrontées(erreur; mettre un pronom relatif féminin qui désigne " notre société", suivi du verbe " confronter "à la forme passive) par(enlever) notre société devraient être combattus(accord).
    A mon sens, je voix(verbe "voir ") qu’il faudra donner de l’espoir aux gens qui vivent dans la pauvreté ainsi (il faut un pronom relatif après "ainsi")aux familles connaissant des difficultés sociale(accord), les aidé(erreur; infinitif) à surmonter ses(autre possessif) difficultés et de(enlever) les libérer de tous les signes négatifs que(autre relatif) les déçoivent. Qu’on donnera(mal formulé : il ne faut pas un futur) plus d’importance aux interventions préscolaires et scolaires afin que les résultats de ses(erreur; démonstratif et non possessif) jeunes scolarisés deviennent positifs. Qu’on encouragera(idem) d’avantage( orthographe : voir plus haut) les jeunes à proposer des idées nouvelles, de(préposition) leur donner la possibilité de s’exprimer dans des domaines qui les concernes(verbe "concerner"), de( autre préposition) leur transmettre un message positif et les impliqués(verbe " impliquer": infinitif) dans la prise de décisions.

    Bonne journée !




    Réponse: Violence-correction de jerbiadel, postée le 31-12-2013 à 16:24:11 (S | E)
    Merci monsieur alienor64 pour votre précieuse aide que Je viens d’en profiter. Je te remercie encore et j’espère que j’ai bien saisi vos notifications.
    Suite à un manque de confiance en soi, à un sentiment de non- appartenance à la société, à l’aliénation et au désespoir, les jeunes deviennent de plus en plus violents pour exprimer leur refus de la société. A ce sujet et en premier lieu, je m’intéresserai aux facteurs donnant naissance à la violence chez les jeunes. En second lieu j’aborderai ses effets sur la société. Enfin j’essaierai de donner une approche que je la vois capable de combattre, en partie, ce phénomène de refuge à la violence.
    Plusieurs facteurs jouent le rôle d’un vrai catalyseur de la violence dans notre société. On trouve parmi eux, ceux qui sont liés à la pauvreté, à la vie familiale, au système scolaire et à la non- liberté d’expression.
    En effet, les jeunes qui vivent une pauvreté combinée à l’isolement, à des logements indignes et au rappel quotidien du refus social sont marginalisés et souffrent d’une manque d’estime de soi, de désespoir et au non- appartenance à leur société. Ces douloureux sentiments de la marginalisation et de souffrance les conduisent souvent à des comportements illégitimes.
    En plus, les jeunes élèves suspendus ou renvoyés de l’école, dans un âge critique et sans aucun soutien ni aide social qui leur permet de poursuivre ou d’apprendre certaines activités positives, se sont trouvés dès leur enfance à la rue pendant une longue période. Une majorité de ces jeunes en question se sont entrainés à des mauvaises fréquentations.
    Je cite encore les jeunes vivants dans des familles divisées, perturbées ou ceux qui sont mal traitées, subissent des conséquences endommageant leur intérêt pour études, leurs capacités d’apprendre et leurs relations avec les autres. Ceux qui vivent aussi sans soutiens familiale ou ceux qui n’ont même pas de famille se trouvent en général dans des circonstances favorisant chez eux le caractère de la violence.
    J’ajoute aussi les jeunes n’ayant pas la possibilité de s’exprimer, d être écoutés ou se confrontés à des sujets qui les concernent, encaissent davantage des sentiments d’aliénation et de manque de confiance en soi.
    Certes, on peut trouver d’autres causes conduisant à la violence. Mais ces facteurs que je viens d’analyser sont à mon avis les plus sérieux. Ces causes d’une vaste diversité, toutes cumulées, entraineront des conséquences regrettables au niveau économique, politique et social. Une atmosphère de violence morale ou matérielle entrainera obligatoirement la diminution des taux d’investissements et par conséquence l’augmentation des taux de pauvreté, de chômage et de criminalité. Cette atmosphère conduira, en d’autres termes, la société à une crise sociale et à une instabilité sécuritaire dans laquelle les gens se sentiront angoissés et anxiétés.
    Ainsi, toutes les causes de la violence et ses conséquences fatales confrontes notre société devraient être combattues.
    A mon sens, je vois qu’il faudra donner de l’espoir aux gens qui vivent dans la pauvreté et aux familles connaissant des difficultés sociales, les aider à surmonter les difficultés et les libérer de tous les signes négatifs qui les déçoivent. Qu’on donne plus d’importance aux interventions préscolaires et scolaires afin que les résultats des jeunes scolarisés deviennent positifs. Qu’on encourage d’avantage les jeunes à proposer des idées nouvelles, leur donner la possibilité de s’exprimer dans des domaines qui les concernent, leur transmettre un message positif et les impliquer dans la prise de décisions.



    Réponse: Violence-correction de alienor64, postée le 31-12-2013 à 21:19:50 (S | E)

    Bonsoir Jerbiadel

    Suite à un manque de confiance en soi, à un sentiment de non- appartenance à la société, à l’aliénation et au désespoir, les jeunes deviennent de plus en plus violents pour exprimer leur refus de la société. A ce sujet et en premier lieu, je m’intéresserai aux facteurs donnant naissance à la violence chez les jeunes. En second lieu j’aborderai ses effets sur la société. Enfin j’essaierai de donner une approche que je la vois capable de combattre( de à : incompréhensible, à reformuler clairement), en partie, ce phénomène de refuge à(autre préposition) la violence.
    Plusieurs facteurs jouent le rôle d’un vrai catalyseur de la violence dans notre société. On trouve parmi eux, ceux qui sont liés à la pauvreté, à la vie familiale, au système scolaire et à la non- liberté d’expression.
    En effet, les jeunes qui vivent une pauvreté combinée à l’isolement, à des logements indignes et au rappel quotidien du refus social( c'est un peu confus, le " rappel du refus social" ! A exprimer plus clairement) sont marginalisés et souffrent d’une(masculin) manque d’estime de soi, de désespoir et au(erreur; il faut une préposition) non- appartenance à leur(erreur; il faut un article) société. Ces douloureux sentiments de la marginalisation et de(il manque un article) souffrance les conduisent souvent à des comportements illégitimes( ("illégitimes"? plutôt " illicites / "délictueux" / " prohibés"..... A vous de choisir!).
    En plus, les jeunes élèves suspendus ou renvoyés de l’école, dans un âge critique et sans aucun soutien ni aide social(erreur; si cet adjectif qualifie les deux noms qui le précèdent : masculin pluriel. S'il qualifie uniquement le mot "aide" : féminin singulier) qui leur permet(à conjuguer au conditionnel) de poursuivre ou d’apprendre certaines activités positives, se sont trouvés dès leur enfance à la rue pendant une longue période. Une majorité de ces jeunes en question(enlever : inutile) se sont entrainés(accent circonflexe) à des mauvaises fréquentations. (de à : à reformuler car mal exprimé)
    Je cite encore les jeunes vivants( participe présent, donc, invariable) dans des familles divisées, perturbées ou ceux qui sont mal traitées(en un seul mot et accord avec " ceux "),( ici, mettre un pronom relatif sujet) subissent des conséquences endommageant( autre mot) leur intérêt pour(il manque un article) études, leurs capacités d’apprendre et leurs relations(singulier) avec les autres. Ceux qui vivent aussi sans soutiens(singulier) familiale(erreur; accord avec " soutien") ou ceux qui n’ont même pas de famille(virgule) se trouvent en général dans des circonstances favorisant chez eux le caractère de la violence(de à : mal exprimé; à reformuler ).



    Réponse: Violence-correction de alienor64, postée le 31-12-2013 à 21:53:44 (S | E)
    La suite !

    J’ajoute aussi(il manque un pronom relatif) les jeunes n’ayant pas la possibilité de s’exprimer, d' être écoutés ou (il manque une préposition ) se confrontés(erreur) à des sujets qui les concernent, encaissent(autre verbe; ici, celui-ci ne veut rien dire) davantage des sentiments d’aliénation et de manque de confiance en soi.
    Certes, on peut trouver d’autres causes conduisant à la violence. Mais ces facteurs que je viens d’analyser sont à mon avis les plus sérieux. Ces causes d’une vaste diversité, toutes cumulées, entraineront(accent circonflexe) des conséquences regrettables au niveau économique, politique et social. Une atmosphère de violence morale ou matérielle entrainera(même erreur que plus haut et déjà signalée dans la correction précédente) obligatoirement la diminution des taux d’investissements et par conséquence(incorrect) l’augmentation des taux de pauvreté, de chômage et de criminalité. Cette atmosphère conduira, en d’autres termes( pourquoi " en d'autres termes" ?), la société à une crise sociale et à une instabilité sécuritaire dans laquelle les gens se sentiront angoissés et anxiétés(erreur déjà signalée dans la correction précédente; il faut un adjectif).
    Ainsi, toutes les causes de la violence et ses conséquences fatales confrontes(incompréhensible : ce mot, si c'est un verbe, est, non seulement mal conjugué, mais en plus incorrect dans cette phrase. A remplacer par un autre et le faire précéder d'un pronom relatif ) notre société devraient être combattues.
    A mon sens, je vois qu’il faudra donner de l’espoir aux gens qui vivent dans la pauvreté et aux familles connaissant des difficultés sociales, les aider à surmonter les difficultés et les libérer de tous les signes négatifs qui les déçoivent.(Ici, il manque la proposition principale, puisque vous avez mis une subordonnée. Par exemple : " Je souhaite" ) Qu’on donne plus d’importance aux interventions préscolaires et scolaires afin que les résultats des jeunes scolarisés deviennent positifs.(enlevez ce point et mettez une conjonction de coordination car la phrase continue) Qu’on encourage d’avantage les jeunes à proposer des idées nouvelles, leur donner la possibilité de( de à : inutile; à enlever et mettre une préposition devant " s'exprimer") s’exprimer dans des domaines qui les concernent, (il manque une préposition)leur transmettre un message positif et les impliquer dans la prise de décisions.

    --- J'ajoute que je ne suis pas " Monsieur Alienor " mais Madame !!!

    Bonne soirée !



    Réponse: Violence-correction de jerbiadel, postée le 01-01-2014 à 21:01:27 (S | E)
    madame alienor64.Bonne et heureuse anné 2014.



    Réponse: Violence-correction de jerbiadel, postée le 03-01-2014 à 14:51:55 (S | E)
    Bonsoir, voila une correction que je viens de faire en s’appuyant sur des propositions faite par madame alienor64 que je la remercie énormément de ses précieuses consignes, de sa volonté et de sa patience. Encore merci et bravo
    Suite à un manque de confiance en soi, à un sentiment de non- appartenance à la société, à l’aliénation et au désespoir, les jeunes s’expriment en violence.
    A propos de ce sujet et en premier lieu, je m’intéresserai aux facteurs favorisant la violence chez les jeunes. En second lieu j’aborderai ses effets sur la société. Enfin j’essaierai de proposer quelques mesures capables de résoudre, en partie, ce phénomène.
    Plusieurs facteurs favorisent, chez les jeunes, le sentiment de s’exprimer en violence. Parmi eux, On trouve ceux qui sont liés à la pauvreté, à la vie familiale, au système scolaire et à la non- liberté d’expression.

    En effet, les jeunes qui vivent une pauvreté combinée à l’isolement et à des logements indignes, sont marginalisés, désespérés et souffrent d’un manque d’estime de soi. Ces douloureux sentiments de la marginalisation et de la non- appartenance à la société les conduisent souvent à des comportements illicites.
    En plus, les jeunes élèves suspendus ou renvoyés de l’école, dans un âge critique et sans aucun soutien ni aide sociaux, leur permettaient de poursuivre ou d’apprendre certaines activités positives, se sont trouvés dés leur enfance à la rue pendant une longue période.

    Je cite encore les jeunes qui vivent dans des familles divisées, perturbées ou maltraitantes, Ceux qui sont sans soutien familial ou ceux qui n’ont même pas de famille. Ces jeunes subissent des effets négatifs bouleversant leur intérêt pour l’étude, leurs capacités d’apprendre et leur relation avec les gens de leur entourage.
    Je mentionne aussi les jeunes n’ayant pas la possibilité de s’exprimer, d’être écoutés ou de se confronter à des sujets de leur intérêt. Ces jeunes prouvent davantage les sentiments d’aliénation et de manque de confiance en soi et ils se trouvent en général dans des circonstances favorisant chez eux le caractère de violence.
    Certes, on peut trouver d’autres facteurs conduisant à la violence. Mais ceux que je viens d’analyser sont à mon avis les plus sérieux. Ces facteurs d’une vaste diversité, toutes cumulées, entraîneront des effets regrettables au niveau économique, politique et social.
    En effet, dans un environnement de violence les investissements se dégradent et le taux de pauvreté, de chômage et de criminalité se multiplient. Dans une telle circonstance la société est instable, les gens ne se sont pas sécurisés et ils se sentent angoissés. Ainsi, toutes ces conséquences fatales devraient être combattues et la question qui se pose est de quelle manière et quelles sont les moyens pour en arriver ?
    A mon sens, je vois que la société doive donner de l’espoir aux gens qui vivent dans la pauvreté et aux familles connaissant des difficultés sociales, les aider à surmonter les difficultés et les libérer de tous les signes négatifs qui les déçoivent ; Qu’elle donne plus d’importance aux interventions préscolaires et scolaires afin que les résultats des jeunes scolarisés deviennent positifs ; Qu’elle encourage davantage les jeunes à proposer des idées, à s’exprimer dans des domaines de leur intérêt. En un seul mot, la société doive transmettre aux jeunes un message positif et les impliquer à la prise de décisions.




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