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    Correction / Nana

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    Correction / Nana
    Message de tya posté le 21-02-2014 à 16:05:44 (S | E | F)
    Bonjour à tous !
    Je venai viens de finir la première partie de mon commentaire sur l'extrait de Nana. Pourriez-vous m'aider pour la correction de la grammaire, s'il vous plaît ? Merci beaucoup!!!

    Nana, un livre d’un monument de la littéraire romanesque, les Rougon-Macquart, écrit par un grand écrivain Émile Zola, occupe une place essentielle dans l’histoire littéraire française. Cette œuvre décrit la société de cette époque-là objectivement mais dévoile l’ombre de la haute société. Aujourd’hui, je voudrais commenter sur l’extrait du septième chapitre de ce roman. Mon commentaire se sera attaché à deux points, le contraste et la théâtralisation.

    Nous pouvons voir que dans cet extrait, l’auteur a utilisé beaucoup des contrastes. Tout d’abord, le premier contraste existe entre la psychologie de Nana et ses actions. Dans ce roman, Nana voudrait la fortune du comte mais elle feignait d’être indifférent et « ne pouvait lui en vouloir de son avarice ». Cette nuit-là, elle était secouée, « montait le furieux besoin de faire une bêtise », elle avait sa révolte sourde. Elle détestait aussi Muffat comme elle lui appelait idiot, mais son révolte restait sourde et tout ce qu’elle faisait était seulement « soumise au bras du comte, en allant d’une vitrine à l’autre». En plus, ses actions dissolues et son idole, sa vision royale de Chamont, une image religieuse se forment un contraste distinct. A travers les deux contrastes, nous pouvons trouver que Nana est une fille l’acte de qui ne correspond pas avec sa pensée. Elle voudrait d’être respectée et vénérée, mais en réalité elle adorait la fortune, aimait passionnément une vie fastueuse.

    Le deuxième contraste existe dans son attitude envers l’homme, Steiner et Muffat. Nana menaçait de flanquer Steiner s’il n’apportait pas les milles francs, mais pour Muffat, l’homme qu’elle n’avait pas commencé à « mangé » encore, elle faisait semblant d’une femme vertueuse qui n’aimait pas l’argent. Bien qu’elle se citât comme un modèle d’économie, en fait elle « venait de manger le prince et Steiner » et prodiguait leur argent « à des caprices d’enfant ». Son moyen de traiter les hommes est comme elle partageait ses moyens. Elle avait besoin d’eux mais elle les utilisait et méprisait.

    Le troisième contraste se trouve dans la variabilité et l’invariabilité. Nana adorait le passage des Panoramas dès sa jeunesse. L’homme en accompagnant d’elle changeait, son sentiment changeait, sa fortune changeait, mais sa passion « pour le cliquant de l’article de Paris » ne changeait pas. Au fond de son cœur, elle était une petite fille qui s’était livrée à la fantaisie, donc elle poursuivait une vie tape-à-l’œil même elle a grandi.

    -------------------
    Modifié par mariebru le 21-02-2014 16:15


    Réponse: Correction / Nana de jij33, postée le 21-02-2014 à 17:22:06 (S | E)
    Bonjour tya
    Voici ce qu'il vous faudra corriger.

    Nana, un livre (il manque un participe présent : celui de "faire partie de" ou "figurer dans") d’un monument de la littéraire (remplacer l'adjectif par le nom) romanesque, les Rougon-Macquart, écrit par un grand écrivain (virgule) Émile Zola, occupe une place essentielle dans l’histoire littéraire française. Cette œuvre décrit la société de cette époque-là (quelle époque ? Remplacez par la mention du siècle, qui semblera plus précise) objectivement mais dévoile l’ombre (expression à revoir : voulez-vous dire "révéler l'influence de" ?) de la haute société. Aujourd’hui, je voudrais commenter sur l’ (remplacer par l'article indéfini, sans préposition)extrait du septième chapitre de ce roman. Mon commentaire se sera attaché (futur simple) à deux points, le contraste et la théâtralisation.

    Nous pouvons voir que (virgule) dans cet extrait, l’auteur a utilisé beaucoup des ("beaucoup" se construit avec la préposition "de") contrastes. Tout d’abord, le premier contraste existe (une tournure impersonnelle conviendrait mieux : il existe...) entre la psychologie de Nana et ses actions. Dans ce roman, Nana voudrait (conditionnel passé) la fortune du comte mais elle feignait d’être indifférent (accord avec Nana) et « ne pouvait lui en vouloir de son avarice ». Cette nuit-là, elle était secouée, « montrait le furieux besoin de faire une bêtise », elle avait (plutôt le verbe "ressentir", plus précis) sa (article indéfini) révolte sourde. Elle détestait aussi Muffat comme elle lui appelait idiot (remplacer par une subordonnée relative commençant par "qu'"), mais son (accord avec le nom féminin qui suit) révolte restait sourde et tout ce qu’elle faisait était seulement (il manque des mots pour que la citation prenne sens) « soumise au bras du comte, en allant d’une vitrine à l’autre». En plus, ses actions dissolues et son idole, sa vision royale de Chamont, une image religieuse se forment un contraste distinct (Phrase très obscure, à clarifier). A travers les deux contrastes, nous pouvons trouver (choisir un verbe plus précis : supposer, comprendre, deviner...) que Nana est une fille l’acte de qui ne correspond pas avec sa pensée (incorrect : vous pourriez remplacer par une subordonnée relative commençant par "dont" et remplacer "l'acte" par "les actions"). Elle voudrait (conditionnel passé) d’être respectée et vénérée, mais en réalité elle adorait la fortune, aimait passionnément une vie fastueuse.

    Le deuxième contraste existe (plutôt le verbe "se trouver" ou "résider") dans son attitude envers l’homme, (inutile) Steiner et Muffat. Nana menaçait de flanquer Steiner (que voulez-vous dire ? Flanquer Steiner à la porte, flanquer Steiner dehors, rompre avec Steiner ?) s’il n’apportait pas les milles (déterminant numéral invariable) francs, mais pour Muffat, l’homme qu’elle n’avait pas commencé à « mangé » (infinitif) encore, elle faisait semblant d’ (ajouter l'infinitif d'un verbe d'état)une femme vertueuse qui n’aimait pas l’argent. Bien qu’elle se citât (Bravo pour cet imparfait du subjonctif !) comme un modèle d’économie, en fait elle « venait de manger le prince et Steiner » et prodiguait leur argent « à des caprices d’enfant ». Son moyen de traiter les hommes est comme elle partageait ses moyens (mal dit : à clarifier). Elle avait besoin d’eux mais elle les utilisait et (répéter le pronom personnel) méprisait.

    Le troisième contraste se trouve dans la variabilité et l’invariabilité. Nana adorait le passage des Panoramas dès sa jeunesse. L’homme en accompagnant d’elle (à remplacer par une subordonnée relative commençant par "qui") changeait, son sentiment changeait, sa fortune changeait, mais sa passion « pour le cliquant (ne serait-ce pas plutôt "le clinquant" ?) de l’article de Paris » ne changeait pas. Au fond de son cœur, elle était une petite fille qui s’était livrée à la fantaisie, donc elle poursuivait une vie tape-à-l’œil même (utiliser "même si", suivi du plus-que-parfait) elle a grandi (plus-que-parfait).

    Bonne correction



    Réponse: Correction / Nana de tya, postée le 22-02-2014 à 12:28:31 (S | E)
    Boujour jij33! Merci pour votre aide! Voici ma correction!

    Nana, un livre fait partie d’un monument de la littérature romanesque, les Rougon-Macquart, écrit par un grand écrivain, Émile Zola, occupe une place essentielle dans l’histoire littéraire française. Cette œuvre décrit la société de 19ème siècle objectivement mais dévoile la face cachée de la haute société. Aujourd’hui, je voudrais commenter un extrait du septième chapitre de ce roman. Mon commentaire attachera à deux points, le contraste et la théâtralisation.

    Nous pouvons voir que, dans cet extrait, l’auteur a utilisé beaucoup de contrastes. Tout d’abord, le premier contraste, il existe entre la psychologie de Nana et ses actions. Dans ce roman, Nana aurait voulu la fortune du comte mais elle feignait d’être indifférente et « ne pouvait lui en vouloir de son avarice ». Cette nuit-là, elle était secouée, « montrait le furieux besoin de faire une bêtise », elle ressentait une révolte sourde. Elle détestait aussi Muffat qu’elle lui appelait idiot, mais sa révolte restait sourde et elle seulement « soumise au bras du comte, en allant d’une vitrine à l’autre». En plus, ses actions dissolues se forment un contraste distinct avec son idole qui est sa vision royale de Chamont, une image religieuse. A travers les deux contrastes, nous pouvons comprendre que Nana est une fille dont les actions ne correspondent pas avec sa pensée. Elle aurait voulu être respectée et vénérée, mais en réalité elle adorait la fortune, aimait passionnément une vie fastueuse.

    Le deuxième contraste se trouve dans son attitude envers Steiner et Muffat. Nana menaçait de flanquer Steiner dehors s’il n’apportait pas mille francs, mais pour Muffat, l’homme qu’elle n’avait pas commencé à « manger» encore, elle faisait semblant d’être une femme vertueuse qui n’aimait pas l’argent. Bien qu’elle se citât comme un modèle d’économie, en fait elle « venait de manger le prince et Steiner » et prodiguait leur argent « à des caprices d’enfant ».Elle traitait l’homme et l’argent pareillement. Elle avait besoin d’eux mais elle les utilisait et les méprisait.

    Le troisième contraste se trouve dans la variabilité et l’invariabilité. Nana adorait le passage des Panoramas dès sa jeunesse. L’homme qui lui accompagnait changeait, son sentiment changeait, sa fortune changeait, mais sa passion « pour le clinquant de l’article de Paris » ne changeait pas. Au fond de son cœur, elle était une petite fille qui s’était livrée à la fantaisie, donc elle poursuivait une vie tape-à-l’œil même si elle avait grandi.



    Réponse: Correction / Nana de jij33, postée le 22-02-2014 à 12:58:27 (S | E)
    Bonjour Tya
    C'est beaucoup mieux ! Quelques corrections doivent cependant encore être faites...

    Nana, un livre fait (participe présent) partie d’un monument de la littérature romanesque, les Rougon-Macquart, écrit par un grand écrivain, Émile Zola, occupe une place essentielle dans l’histoire littéraire française. Cette œuvre décrit la société de (contraction de "de+le") 19ème siècle objectivement mais dévoile la face cachée de la haute société. Aujourd’hui, je voudrais commenter un extrait du septième chapitre de ce roman. Mon commentaire attachera (vous aviez employé le verbe s'attacher, qui est celui qui convient) à deux points, (autre ponctuation: le signe deux-points, justement !) le contraste et la théâtralisation.

    Nous pouvons voir que, dans cet extrait, l’auteur a utilisé beaucoup de contrastes. Tout d’abord,le premier contraste, il existe un premier contraste entre la psychologie de Nana et ses actions. Dans ce roman, Nana aurait voulu la fortune du comte mais elle feignait d’être indifférente et « ne pouvait lui en vouloir de son avarice ». Cette nuit-là, elle était secouée, « montrait le furieux besoin de faire une bêtise », elle ressentait une révolte sourde. Elle détestait aussi Muffat qu’elle lui (à supprimer, et mettre idiot entre guillemets, puisque vous citez Nana) appelait idiot, mais sa révolte restait sourde et elle (il manque un verbe) seulement « soumise au bras du comte, en allant d’une vitrine à l’autre». En plus, ses actions dissolues se forment un contraste distinct avec son idole qui est sa vision royale de Chamont, une image religieuse. A travers les deux contrastes, nous pouvons comprendre que Nana est une fille dont les actions ne correspondent pas (plutôt le verbe "concorder") avec sa pensée. Elle aurait voulu être respectée et vénérée, mais en réalité elle adorait la fortune, aimait passionnément une vie fastueuse.

    Le deuxième contraste se trouve dans son attitude envers Steiner et Muffat. Nana menaçait de flanquer Steiner dehors s’il n’apportait pas mille francs, mais pour Muffat, l’homme qu’elle n’avait pas commencé à « manger» encore, elle faisait semblant d’être une femme vertueuse qui n’aimait pas l’argent. Bien qu’elle se citât comme un modèle d’économie, en fait elle « venait de manger le prince et Steiner » et prodiguait leur argent « à des caprices d’enfant ». (Espace, après un point)Elle traitait l’homme et l’argent pareillement. Elle avait besoin d’eux mais elle les utilisait et les méprisait.

    Le troisième contraste se trouve dans la variabilité et l’invariabilité. Nana adorait le passage des Panoramas dès sa jeunesse. L’homme qui lui (pronom personnel COD, élidé) accompagnait changeait, son sentiment changeait, sa fortune changeait, mais sa passion « pour le clinquant de l’article de Paris » ne changeait pas. Au fond de son cœur, elle était une petite fille qui s’était livrée à la fantaisie, donc elle poursuivait une vie tape-à-l’œil même si elle avait grandi.
    Bonne continuation.



    Réponse: Correction / Nana de tya, postée le 22-02-2014 à 13:25:50 (S | E)
    Bonjour jij33! Voici ma correction!!Si vous avez le temps, pourriez-vous m'aider à la correciton de la deuxième partie, s'il vous plaît? Merci beaucoup!!!

    Nana, un livre faisant partie d’un monument de la littérature romanesque, les Rougon-Macquart, écrit par un grand écrivain, Émile Zola, occupe une place essentielle dans l’histoire littéraire française. Cette œuvre décrit la société du 19ème siècle objectivement mais dévoile la face cachée de la haute société. Aujourd’hui, je voudrais commenter un extrait du septième chapitre de ce roman. Mon commentaire s’attachera à deux points:Le contraste et la théâtralisation.

    Nous pouvons voir que, dans cet extrait, l’auteur a utilisé beaucoup de contrastes. Tout d’abord, il existe un premier contraste entre la psychologie de Nana et ses actions. Dans ce roman, Nana aurait voulu la fortune du comte mais elle feignait d’être indifférente et « ne pouvait lui en vouloir de son avarice ». Cette nuit-là, elle était secouée, « montrait le furieux besoin de faire une bêtise », elle ressentait une révolte sourde. Elle détestait aussi Muffat qu’elle appelait « idiot », mais sa révolte restait sourde et elle faisait seulement « soumise au bras du comte, en allant d’une vitrine à l’autre». En plus, ses actions dissolues forment un contraste distinct avec son idole qui est sa vision royale de Chamont, une image religieuse. A travers les deux contrastes, nous pouvons comprendre que Nana est une fille dont les actions ne concordent pas avec sa pensée. Elle aurait voulu être respectée et vénérée, mais en réalité elle adorait la fortune, aimait passionnément une vie fastueuse.

    Le deuxième contraste se trouve dans son attitude envers Steiner et Muffat. Nana menaçait de flanquer Steiner dehors s’il n’apportait pas mille francs, mais pour Muffat, l’homme qu’elle n’avait pas commencé à « manger» encore, elle faisait semblant d’être une femme vertueuse qui n’aimait pas l’argent. Bien qu’elle se citât comme un modèle d’économie, en fait elle « venait de manger le prince et Steiner » et prodiguait leur argent « à des caprices d’enfant ». Elle traitait l’homme et l’argent pareillement. Elle avait besoin d’eux mais elle les utilisait et les méprisait.

    Le troisième contraste se trouve dans la variabilité et l’invariabilité. Nana adorait le passage des Panoramas dès sa jeunesse. L’homme qu’elle accompagnait changeait, son sentiment changeait, sa fortune changeait, mais sa passion « pour le clinquant de l’article de Paris » ne changeait pas. Au fond de son cœur, elle était une petite fille qui s’était livrée à la fantaisie, donc elle poursuivait une vie tape-à-l’œil même si elle avait grandi.
    Bonne continuation.



    Réponse: Correction / Nana de jij33, postée le 22-02-2014 à 14:53:21 (S | E)
    Un nouveau bonjour !
    Vous y êtes ! Un dernier petit effort...

    Je ne reprendrai que les points à revoir :
    - Mon commentaire s’attachera à deux points:Le contraste et la théâtralisation.Espace avant et après les deux-points, pas de majuscule après les deux-points.
    - elle faisait seulement « soumise au bras du comte..." Plutôt le verbe "sembler" ou, mieux encore, "elle se faisait".
    - un contraste distinct avec son idole qui est sa vision royale de Chamont, une image religieuse. La suite de votre commentaire2 confirme que vous avez confondu "idole" et "idéal"...




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